En prenant la responsabilité d’engager l’armée française au côté d’Alassane Ouattara dans son offensive sur Abidjan, et cela dans un cadre juridique plus que discutable – qui va bien au-delà de la seule protection des civils – le gouvernement a pris la responsabilité de choisir un camp contre un autre, au lieu de défendre le droit.
Dans un moment où tout laisse à penser que les forces de Monsieur Ouattara ont pu commettre des exactions passibles de la Cour Pénale Internationale, la diplomatie française renoue avec la politique de la canonnière et de la fuite en avant.
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