Après des mois de recherches et de tergiversations, "Human Rights Watch", en publiant, finalement, son rapport, sur l'utilisation, par le gouvernement de George W. Bush, de la torture et d'autres méthodes de maltraitance, violations des droits de l'Homme, incluses, a exigé la poursuite en justice de Bush et de son adjoint, Dick Cheney.
Alterinfo / RTBF
Après des mois de recherches et de tergiversations, "Human Rights Watch", en publiant, finalement, son rapport, sur l'utilisation, par le gouvernement de George W. Bush, de la torture et d'autres méthodes de maltraitance, violations des droits de l'Homme, incluses, a exigé la poursuite en justice de Bush et de son adjoint, Dick Cheney. Selon le quotidien "Foreign Policy", Kenneth Roth, le directeur exécutif de "Human Rights Watch", a déclaré qu'il existe des preuves solides concernant l'autorisation de torturer les prisonniers, donnée par Bush, Cheney, Donald Rumsfeld, le secrétaire américain à la Défense de l'administration de Bush et George Tenet, l'ancien chef de la CIA. Roth a ajouté que les Etats-Unis sont, en vertu de la loi, tenus d'examiner et d'ouvrir une enquête sur ces crimes. En cas des tergiversations américaines envers les crimes commis par Bush et ses alliés, les autres pays doivent poursuivre en justice, conformément à la loi internationale, ces autorités, impliquées, dans la perpétuation de crimes, à l'encontre des prisonniers.
Human Rights Watch appelle les gouvernements étrangers à poursuivre l'ancien président américain et de hauts responsables en place pendant son mandat pour crimes de guerre si l'administration Obama ne le fait pas, alors que les preuves de recours à la torture, d'enlèvement et de mauvais traitement des prisonniers s'accumulent.
George W. Bush n'est pas le seul visé : Human Rights Watch accuse aussi son vice-président Dick Cheney, l'ancien secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld et l'ancien directeur de la CIA George Tenet.
De quoi sont-ils accusés exactement ? Des pratiques en vigueur dans les camps-prisons de Guantanamo et Abou Ghraib. Rien de neuf, reconnaît Human Rights Watch, mais il faut agir car les preuves se multiplient, avec la publication progressive de documents classifiés, les confessions faites dans des livres par George W. Bush et d'autres, ainsi que des fuites provenant de rapport de la Croix-rouge.
Source : cameroonvoice.com
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire