Un article de la Voix de l'Amérique
Anne Look | Dakar, le Sénégal
Les militants des Droits de l'Homme critiquent le régime du Président Ivoirien Alassane Ouattara qui arrête et charge seulement ses ennemis après une lutte de pouvoir de six mois, une crise post-électorale qui a plongé le pays en arrière dans la guerre civile.
Cette semaine on a vu des douzaines d'alliés de l'ancien leader Ivoirien de Laurent Gbagbo, mis en accusation par rapport à la violence post-électorale, y compris jeudi de 58 officiers de l'armée ivoirienne accusés de crimes, de meurtre, de viol et d'achat d'armes illégaux et de recrutement de mercenaires.
En somme, la Côte d'Ivoire a chargé judicierement 94 militaires et alliés politiques de M. Gbagbo, qui étaient en état d'arrestation après sa capture en avril par les forces loyales envers le président actuel, Alassane Ouattara,
Depuis l'entrée en fonction en mai, M. Ouattara promettait à plusieurs reprises d'examiner des abus et d'amèner les criminels des deux côtés à la justice.
Les groupes de droits disent qu'il doit donner suite à ses déclarations
Source : La Voix de l'Amérique
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