Les mercenaires un problème internationale... |
Choi remplace des soldats de l’ONUCI par des rebelles
Mr CHOI le responsable de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), Choi, vient de se livrer à un scandale de trop. La grossièreté de ce dernier scandale devrait normalement, conduire l’organisation mondiale à limoger le fonctionnaire coréen qui compte semer la désolation en Côte d’Ivoire pour tenter de réaliser les bas desseins de la France. De quoi s’agit-il ?
Suite à la débâcle des terroristes et du RHDP, en Décembre dernier, à l’issue de la marche insurrectionnelle par eux organisée pour tenter de prendre possession de la RTI (Radiodiffusion Télévision Ivoirienne), Young Jin Choi, représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU en Côte d’Ivoire, a décidé d’accroitre la capacité opérationnelle des forces subversives se faisant abusivement appeler Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire. Dans cette perspective, plusieurs mercenaires ressortissants de la sous-région ont été enrôlés dans les effectifs de l’ONUCI.
La stratégie consiste, selon des sources internes à l’organisation, à remplacer les soldats des contingents qui se retirent pour des raisons de fin de mission, par des mercenaires recrutés au sein de la rébellion ou de la sous-région. Cette opération est entrée dans sa phase active avec les effectifs du Niger, du Benin et du Sénégal. S’agissant du Niger, 13 soldats retournés dans leur pays ont été automatiquement remplacés par des mercenaires, avec la complicité du Commandant du contingent nigérien, Assoumane Abdou dont la troupe a formé le bataillon d’infanterie et de parachutistes. Selon des informations en provenance du Nord du pays, ils mènent des patrouilles ces derniers jours à la frontière entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso et escortent des missions de l’ONU à la ville frontalière de Tingrela.
Ce sont eux qui, au sein de l’ONUCI, facilitent le trafic économique au profit de l’opération de destruction dans le grand nord de la Côte d’Ivoire. Quant au Bénin, il a rappelé 15 hommes que Choi et ses lieutenants ont remplacés aussitôt, avec l’aval du Commandant du bataillon béninois, le Lieutenant-colonel Sanni Bachabi. Ces mercenaires sont chargés notamment de prendre part en secret, aux combats entre les FDS et les rebelles à Guiglo et Touleupleu, afin de favoriser l’avancée des rebelles avec l’appui logistique mis à leur portée. On note également la relève et le remplacement de 37 soldats sénégalais, avec la couverture du Lieutenant-colonel Sadio Diallo.
Lire également : La grande déraison!
Ce sont ces mercenaires infiltrés au sein du contingent sénégalais qui, selon les mêmes sources, opèrent dans le district d’Abidjan. Sous les insignes de l’ONUCI, ils ont fait plusieurs victimes dans les rangs des Forces de Défense et de Sécurité dans la commune d’Abobo aux premières heures de l’insurrection. Avec la complicité de Choi et des ‘’véritables’’ casques bleus mandatés par l’ONU, ils ont réussi à convoyer des armes dans certains quartiers du district d’Abidjan, attendant l’arrivée d’autres mercenaires recrutés pour entrer en scène.
Comme on peut le constater, l’ONU est, en Côte d’Ivoire, en train de violer toutes les dispositions des accords et autres traités internationaux, y compris les accords de Vienne, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et la Charte même de l’Organisation des Nations Unies qui fait de la souveraineté des Etats, de la paix, de la sécurité et des droits de l’homme la raison d’être de sa création.
Hervé Gobou
La stratégie consiste, selon des sources internes à l’organisation, à remplacer les soldats des contingents qui se retirent pour des raisons de fin de mission, par des mercenaires recrutés au sein de la rébellion ou de la sous-région. Cette opération est entrée dans sa phase active avec les effectifs du Niger, du Benin et du Sénégal. S’agissant du Niger, 13 soldats retournés dans leur pays ont été automatiquement remplacés par des mercenaires, avec la complicité du Commandant du contingent nigérien, Assoumane Abdou dont la troupe a formé le bataillon d’infanterie et de parachutistes. Selon des informations en provenance du Nord du pays, ils mènent des patrouilles ces derniers jours à la frontière entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso et escortent des missions de l’ONU à la ville frontalière de Tingrela.
Ce sont eux qui, au sein de l’ONUCI, facilitent le trafic économique au profit de l’opération de destruction dans le grand nord de la Côte d’Ivoire. Quant au Bénin, il a rappelé 15 hommes que Choi et ses lieutenants ont remplacés aussitôt, avec l’aval du Commandant du bataillon béninois, le Lieutenant-colonel Sanni Bachabi. Ces mercenaires sont chargés notamment de prendre part en secret, aux combats entre les FDS et les rebelles à Guiglo et Touleupleu, afin de favoriser l’avancée des rebelles avec l’appui logistique mis à leur portée. On note également la relève et le remplacement de 37 soldats sénégalais, avec la couverture du Lieutenant-colonel Sadio Diallo.
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Ce sont ces mercenaires infiltrés au sein du contingent sénégalais qui, selon les mêmes sources, opèrent dans le district d’Abidjan. Sous les insignes de l’ONUCI, ils ont fait plusieurs victimes dans les rangs des Forces de Défense et de Sécurité dans la commune d’Abobo aux premières heures de l’insurrection. Avec la complicité de Choi et des ‘’véritables’’ casques bleus mandatés par l’ONU, ils ont réussi à convoyer des armes dans certains quartiers du district d’Abidjan, attendant l’arrivée d’autres mercenaires recrutés pour entrer en scène.
Comme on peut le constater, l’ONU est, en Côte d’Ivoire, en train de violer toutes les dispositions des accords et autres traités internationaux, y compris les accords de Vienne, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et la Charte même de l’Organisation des Nations Unies qui fait de la souveraineté des Etats, de la paix, de la sécurité et des droits de l’homme la raison d’être de sa création.
Hervé Gobou
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