La ville de Dabou, située à 30 km d'Abidjan, a été hier le théâtre d'affrontements armés.
Selon plusieurs témoignages et certaines presses, il s'agirait d'une attaque des combattants pro-Gbagbo, en fuite de Yopougon, contre les forces pro-ouattra en faction au corridor sud de Dabou.
Mais nos investigations sur place, nous montrent que les choses ne se sont pas exactement passées ainsi.
Lorsque la coalition licorne-onuci-rebelles menait l'offensive contre les forces résistants de yopougon, les éléments des forces pro-ouattara ont renforcé leur position de Dabou pour empêcher tout éventuel renfort des résistants et aussi tout repli de ceux qui combattent à yopougon.
La veille des combats de Dabou, c'est-à-dire, le Mardi 03 les forces de Ouattara ont entrepris des visites inopinées dans les villages environnants pour s'assurer qu'il n'y avait pas "des miliciens embusqués, prêts à intervenir pour soutenir ceux de Yopougon", selon leur dire.
C'est ainsi qu'ils se sont rendus à Mopohem, village de feu le professeur Harris Memel fôté, pour procéder à des fouilles systématiques, sous prétexte qu'il y aurait des caches d'armes. Ce qui s'est avéré inexact par la suite. Comme à leur habitude, ils ont molesté les personnes âgées qui s'y trouvaient.
Les forces résistantes informées de ce qui se préparait, ont pris très tôt le mercredi matin position dans la ville de Dabou au cas où celles de yopougon auront besoin d'effectuer un repli stratégique.
Lorsque le besoin s'est fait sentir, les forces résistantes venues en renfort ont, aux environs de 6 heures du matin, attaqués les positions des forces pro-ouattara qui ont été très vite mises en déroute. Il s'agissait de libérez le passage pour faciliter le repli de leurs compagnons de yopougon. Ce qui a été aisément fait.
La mission achevée, les forces resistantes se sont retirées de la ville Dabou qui ne faisait pas partir de leurs objectifs immédiats.
Le bilan fait état d’au moins huit (8) tués parmi les forces pro-ouattara et deux civiles qui ont pris des balles perdues.
Correspondant sur place
Selon plusieurs témoignages et certaines presses, il s'agirait d'une attaque des combattants pro-Gbagbo, en fuite de Yopougon, contre les forces pro-ouattra en faction au corridor sud de Dabou.
Mais nos investigations sur place, nous montrent que les choses ne se sont pas exactement passées ainsi.
Lorsque la coalition licorne-onuci-rebelles menait l'offensive contre les forces résistants de yopougon, les éléments des forces pro-ouattara ont renforcé leur position de Dabou pour empêcher tout éventuel renfort des résistants et aussi tout repli de ceux qui combattent à yopougon.
La veille des combats de Dabou, c'est-à-dire, le Mardi 03 les forces de Ouattara ont entrepris des visites inopinées dans les villages environnants pour s'assurer qu'il n'y avait pas "des miliciens embusqués, prêts à intervenir pour soutenir ceux de Yopougon", selon leur dire.
C'est ainsi qu'ils se sont rendus à Mopohem, village de feu le professeur Harris Memel fôté, pour procéder à des fouilles systématiques, sous prétexte qu'il y aurait des caches d'armes. Ce qui s'est avéré inexact par la suite. Comme à leur habitude, ils ont molesté les personnes âgées qui s'y trouvaient.
Les forces résistantes informées de ce qui se préparait, ont pris très tôt le mercredi matin position dans la ville de Dabou au cas où celles de yopougon auront besoin d'effectuer un repli stratégique.
Lorsque le besoin s'est fait sentir, les forces résistantes venues en renfort ont, aux environs de 6 heures du matin, attaqués les positions des forces pro-ouattara qui ont été très vite mises en déroute. Il s'agissait de libérez le passage pour faciliter le repli de leurs compagnons de yopougon. Ce qui a été aisément fait.
La mission achevée, les forces resistantes se sont retirées de la ville Dabou qui ne faisait pas partir de leurs objectifs immédiats.
Le bilan fait état d’au moins huit (8) tués parmi les forces pro-ouattara et deux civiles qui ont pris des balles perdues.
Correspondant sur place
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