Les combats débutés dépuis hier, continuent jusqu'à ce jour (Mardi 03/05/2011), surtout aux niveaux de la base navale de Locodjro, nouveau quartier, mossikro et Koweit. Ce sont les zones les chaudes actuellement, selon des témoins sur place.
Les hélicos de la force française assurent l'appui aérien en bombardant les positions des forces resistantes de la commune de Yopougon. Ceci, pour faciliter l'avancée des forces pro-ouattara qui peinent devant la détermination des soldats de Yopougon. Ses nombreux assauts répétés se sont soldés par des échecs, les pro-Ouattara essuyant de sérieux revers.
Des négociations ont été engagées et ont abouti vendredi à une cérémonie de dépôt d’armes par une cinquantaine de combattants. Pour les résistants, il s’agissait de montrer leur bonne foi après tous les nombreux appels. Pour l’essentiel de leurs revendications, les résistants exigent la cessation immédiate des exactions commises envers les populations jugées proches du Président Gbagbo.
Une vague de violences dirigées principalement contre ses proches s’était abattue suite à la capture le 11 avril du Président ivoirien investi selon les lois constitutionnelles du pays. Des centaines de personnes avaient été arrêtés « arbitrairement » puis déportées dans des camps au nord du pays.
Plusieurs centaines d’autres sont portées disparues. De nombreux témoignages rapportent des massacres et exécutions sur indication. A l’ouest, toutes les organisations internationales présentes sur le terrain s’accordent sur l’existence « de massacres d’envergure dirigés contre les ressortissants Guéré proches deLaurent Gbagbo et commises par les forces d’Alassane Ouattara».
Les hélicos de la force française assurent l'appui aérien en bombardant les positions des forces resistantes de la commune de Yopougon. Ceci, pour faciliter l'avancée des forces pro-ouattara qui peinent devant la détermination des soldats de Yopougon. Ses nombreux assauts répétés se sont soldés par des échecs, les pro-Ouattara essuyant de sérieux revers.
Des négociations ont été engagées et ont abouti vendredi à une cérémonie de dépôt d’armes par une cinquantaine de combattants. Pour les résistants, il s’agissait de montrer leur bonne foi après tous les nombreux appels. Pour l’essentiel de leurs revendications, les résistants exigent la cessation immédiate des exactions commises envers les populations jugées proches du Président Gbagbo.
Une vague de violences dirigées principalement contre ses proches s’était abattue suite à la capture le 11 avril du Président ivoirien investi selon les lois constitutionnelles du pays. Des centaines de personnes avaient été arrêtés « arbitrairement » puis déportées dans des camps au nord du pays.
Plusieurs centaines d’autres sont portées disparues. De nombreux témoignages rapportent des massacres et exécutions sur indication. A l’ouest, toutes les organisations internationales présentes sur le terrain s’accordent sur l’existence « de massacres d’envergure dirigés contre les ressortissants Guéré proches deLaurent Gbagbo et commises par les forces d’Alassane Ouattara».
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