Publié le16 novembre 2011 parAllain Jules
Brahim Mohamed Elhalbous (tenue militaire)
Ce petit post pouvait aussi être intitulé, «mort d’un renégat de Benghazi à Paris». Le titre choisi va aussi bien. Enfin, je pense. Oui, parfois, certaines informations, malgré la mort d’un homme vous réjouisse. Mais, ici, ce n’est pas le cas. Même si d’ailleurs, il s’agit d’un renégat. Mais, il est important, ici, de relever le fait que, important au demeurant, cet énergumène est décédé à Paris. Une mort d’une certaine envergure. Celle d’un suceur de sang de milliers de Libyens innocents.
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