Paul Yao N'Dré considère que la responsabilité de la crise ivoirienne est partagée.© Reuters
De retour du Ghana, le président du Conseil constitutionnel ivoirien, Paul Yao N'Dré, très proche du président déchu Laurent Gbagbo, a été obligé de faire amende honorable... du bout des lèvres.
C'est ce qui s'appelle aller à Canossa. Paul Yao N'Dré, le président du Conseil constitutionnel qui avait validé (en passant outre l'article 64 du code électoral) la « réélection » contestée de Laurent Gbagbo, s'est rendu jeudi soir au Golf Hôtel d'Abidjan pour une entrevue de trois quarts d'heure avec Alassane Ouattara.
Visiblement tendu, redoutant de se sentir humilié, Yao N'Dré a donné son point de vue sur la crise. « Nous sommes allés trop loin, les Ivoiriens », a-t-il déclaré devant la presse. Interrogé sur sa part de responsabilité, il a nié être le seul fautif.
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De retour du Ghana, le président du Conseil constitutionnel ivoirien, Paul Yao N'Dré, très proche du président déchu Laurent Gbagbo, a été obligé de faire amende honorable... du bout des lèvres.
C'est ce qui s'appelle aller à Canossa. Paul Yao N'Dré, le président du Conseil constitutionnel qui avait validé (en passant outre l'article 64 du code électoral) la « réélection » contestée de Laurent Gbagbo, s'est rendu jeudi soir au Golf Hôtel d'Abidjan pour une entrevue de trois quarts d'heure avec Alassane Ouattara.
Visiblement tendu, redoutant de se sentir humilié, Yao N'Dré a donné son point de vue sur la crise. « Nous sommes allés trop loin, les Ivoiriens », a-t-il déclaré devant la presse. Interrogé sur sa part de responsabilité, il a nié être le seul fautif.
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