par Ma Patrie, vendredi 10 juin 2011, 17:57
Au regard des évènements qui se sont produits en Côte d'Ivoire, on peut dire aisement que l'Onu avait une mission autre que celle de maintien de paix et de protection des populations civiles. C'était plutôt une mission de soutien et de protection de Ouattara avec 900 soldats onusiens (M. Choï précisé à l'époque depuis Dakar et avant les bombardements que : "La protection d'Alassane Ouattara à l'hôtel du golf est notre priorité"). L'Onu avait aussi une mission de guerre. Avec les achats de 2 hélicos de guerre Mi24 et des armes loudes, l'Onu avait bombardé les camps et les positions de l'armée régulière et souveraine ivoirienne afin de faciliter la prise du pays par les Frci de Ouattara. Ces bombardement ont d'ailleurs fait beaucoup de morts dans la populations civiles et beaucoup de dégâts matériels. L'Onu avait acheté beaucoup d'armes de guerre. On se souvient de ces centaines de conteneurs chargés d'armes de guerre pour l'Onu, saisis au port de Douala par les autorités camerounaises, puis acheminés en Côte d'Ivoire. Ces armes ont utilisé par le contingents onusiens et les mercenaires à la solde de Ouattara. L'Onu a combattu à visage découvert avec les forces françaises aux côtés des hommes de Ouattara (Frci) et ce à travers une médiatisation notoire dans le monde pour indiquer qu'elle instaurait la démocraitie. Etait-ce son rôle ?
Aujourd'hui, l'Onu organise des séminaires de formation à l'endroit des Frci de Ouattara sur la gestion humaine et le comportement pacifique devant la population. Ce qui prouve que l'Onu sait pertinament qu'elle a à faire à des sauvages et des sanguinaires. Notons que la majorité des Frci d'Alassane sont des illettrés.
Fort de ce qui précède, l'Onu ne saurait être neutre ni être arbitre. On ne saurait accordée de crédibilité à ses enquêtes post-électoraux en Côte d'Ivoire. Car sa responsabilité est très engagée dans les massacres et les exactions dans ce pays.
L'Onu s'est gravement discréditée. Et le plus flagrant est son jeu de calcul sur le nombre de victimes dans cette crise. En partant de 300 puis 500 morts au début, elle parle maintenant 1012 morts après les critiques et révélations de Amnesty et le CICR. Mais pire, l'Onu a procédé à la catégorisation raciale, ethnique et politique de ses 1012 cadavres. Comme pour atténuer ou minimiser les crimes commis par les soldats de Ouattara. INCROYABLE ! Heureusement que la réalité est tout autre, la vérité parle aujourd'hui d'elle-même. Trop de morts et trop de massacres commis par les Frci de Ouattara sur les pauvres populations. Cela se poursuit d'ailleurs.
C'est ce qui a sans doute pousser l'Onu à adopter une nouvelle stratégie : accuser les deux camps (Fds et miliciens pro Gbagbo et Frci de Ouattara) d'exactions. Jouer le bon arbitre. Mais ce n'est pas nouveau, l'Onu l'avait déjà dit ou fait après son enquête "bidon" post-électoral donnant les 500 morts. Mais la nouveauté dans cette stratégie, est la tendance de l'Onu à prendre le devant des choses maintenant, à bouger son "cul" en visitant les victimes et prisonniers, à faire des déclarations sommaires et à accuser directement Alassane Ouattara.
L'Onu dans ses récentes déclarations veut faire preuve de neutralité et d'arbitrage dans le bilan macabre de la crise post-électorale en Côte d'Ivoire alors qu'elle y est impliquée directement, voire accusée par certains organismes internationaux de droit de l'homme.
En effet, l'Onu doit répondre aux accusations de Amnesty internationale portées contre elle sur sa passivité et sa complicité dans les massacres en Côte d'Ivoire. Au quel cas, l'Onu se doit d'assumer les crimes commis par les rebelles de Ouattara, ces mercenaires et miliciens qu'elle a entretenu, équipé, convoyé et soutenu pour renverser du pouvoir le Président Gbagbo.
En effet, l'Onu doit répondre aux accusations de Amnesty internationale portées contre elle sur sa passivité et sa complicité dans les massacres en Côte d'Ivoire. Au quel cas, l'Onu se doit d'assumer les crimes commis par les rebelles de Ouattara, ces mercenaires et miliciens qu'elle a entretenu, équipé, convoyé et soutenu pour renverser du pouvoir le Président Gbagbo.
Au regard des évènements qui se sont produits en Côte d'Ivoire, on peut dire aisement que l'Onu avait une mission autre que celle de maintien de paix et de protection des populations civiles. C'était plutôt une mission de soutien et de protection de Ouattara avec 900 soldats onusiens (M. Choï précisé à l'époque depuis Dakar et avant les bombardements que : "La protection d'Alassane Ouattara à l'hôtel du golf est notre priorité"). L'Onu avait aussi une mission de guerre. Avec les achats de 2 hélicos de guerre Mi24 et des armes loudes, l'Onu avait bombardé les camps et les positions de l'armée régulière et souveraine ivoirienne afin de faciliter la prise du pays par les Frci de Ouattara. Ces bombardement ont d'ailleurs fait beaucoup de morts dans la populations civiles et beaucoup de dégâts matériels. L'Onu avait acheté beaucoup d'armes de guerre. On se souvient de ces centaines de conteneurs chargés d'armes de guerre pour l'Onu, saisis au port de Douala par les autorités camerounaises, puis acheminés en Côte d'Ivoire. Ces armes ont utilisé par le contingents onusiens et les mercenaires à la solde de Ouattara. L'Onu a combattu à visage découvert avec les forces françaises aux côtés des hommes de Ouattara (Frci) et ce à travers une médiatisation notoire dans le monde pour indiquer qu'elle instaurait la démocraitie. Etait-ce son rôle ?
Aujourd'hui, l'Onu organise des séminaires de formation à l'endroit des Frci de Ouattara sur la gestion humaine et le comportement pacifique devant la population. Ce qui prouve que l'Onu sait pertinament qu'elle a à faire à des sauvages et des sanguinaires. Notons que la majorité des Frci d'Alassane sont des illettrés.
Fort de ce qui précède, l'Onu ne saurait être neutre ni être arbitre. On ne saurait accordée de crédibilité à ses enquêtes post-électoraux en Côte d'Ivoire. Car sa responsabilité est très engagée dans les massacres et les exactions dans ce pays.
L'Onu s'est gravement discréditée. Et le plus flagrant est son jeu de calcul sur le nombre de victimes dans cette crise. En partant de 300 puis 500 morts au début, elle parle maintenant 1012 morts après les critiques et révélations de Amnesty et le CICR. Mais pire, l'Onu a procédé à la catégorisation raciale, ethnique et politique de ses 1012 cadavres. Comme pour atténuer ou minimiser les crimes commis par les soldats de Ouattara. INCROYABLE ! Heureusement que la réalité est tout autre, la vérité parle aujourd'hui d'elle-même. Trop de morts et trop de massacres commis par les Frci de Ouattara sur les pauvres populations. Cela se poursuit d'ailleurs.
C'est ce qui a sans doute pousser l'Onu à adopter une nouvelle stratégie : accuser les deux camps (Fds et miliciens pro Gbagbo et Frci de Ouattara) d'exactions. Jouer le bon arbitre. Mais ce n'est pas nouveau, l'Onu l'avait déjà dit ou fait après son enquête "bidon" post-électoral donnant les 500 morts. Mais la nouveauté dans cette stratégie, est la tendance de l'Onu à prendre le devant des choses maintenant, à bouger son "cul" en visitant les victimes et prisonniers, à faire des déclarations sommaires et à accuser directement Alassane Ouattara.
En réalité, l'Onu est déboussolé et consciente qu'elle est coupable de faits graves susceptible de faire couler ses dirigents le 31 Décembre prochain lors de l'élection du Secrétaire générale. Et à l'instar de l'Onu, les pays occidentaux sont conscients que le navire onusien risque de couler avec eux face à cause de leurs actions mafieuses.
L'Onu a décidé de changer de fusil d'épaule sans doute à cause de l'existence de preuves contre elle. Notamment, l'utilisation et l'entretien de mercenaires de guerre dans ses troupes de mission de maintien de paix (qui sont en réalité des missions de guerre d'intérêts et des missions d'installation de présidents pour le compte des pays occidentaux comme ça été le cas en CI). L'Onu fait un volt-face pour laisser couler ses complices d'hier et faire aussi couler les suceptibles témoins et faire taire toutes preuves contre elle et ses dirigeants. Ce "manchin" est vraiment un danger pour les pays en voie de développement et un bien pour les pays riches.
Mais l'Onu n'est pas éternel, Ban Ki-Moon non plus. Hier c'était à la suite d'une guerre que la SDN (Société des Nations) a été dissoute pour laisser place à l'Onu. Mais les même pratiques qui ont perdu la SDN continuent sous une autre forme. Certaines puissances diligentent des conflits dans les pays pauvres pour leurs intérêts contre parfois les intérêts d'autres puissances concurrentes.
L'Onu a décidé de changer de fusil d'épaule sans doute à cause de l'existence de preuves contre elle. Notamment, l'utilisation et l'entretien de mercenaires de guerre dans ses troupes de mission de maintien de paix (qui sont en réalité des missions de guerre d'intérêts et des missions d'installation de présidents pour le compte des pays occidentaux comme ça été le cas en CI). L'Onu fait un volt-face pour laisser couler ses complices d'hier et faire aussi couler les suceptibles témoins et faire taire toutes preuves contre elle et ses dirigeants. Ce "manchin" est vraiment un danger pour les pays en voie de développement et un bien pour les pays riches.
Mais l'Onu n'est pas éternel, Ban Ki-Moon non plus. Hier c'était à la suite d'une guerre que la SDN (Société des Nations) a été dissoute pour laisser place à l'Onu. Mais les même pratiques qui ont perdu la SDN continuent sous une autre forme. Certaines puissances diligentent des conflits dans les pays pauvres pour leurs intérêts contre parfois les intérêts d'autres puissances concurrentes.
La refonte de l'Onu est plus que jamais urgente et indispensable aujourd'hui dans un cadre de discussion responsable et égalitaire. Au risque, comme hier avec la SDN, d'assister à la disparition de l'Onu à partir d'une guerre généralisée d'intérêts entre les puissances, ou encore par la révolte des pays pauvres (leurs populations) longtemps martyrisés et exploités, par ceux-ci avec l'aide de l'Onu.
Ma Patrie (ma.patrie@ymail.com)
Ban Ki-Moon, Sg de l'Onu
Ma Patrie (ma.patrie@ymail.com)
Ban Ki-Moon, Sg de l'Onu
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