samedi 26 mars 2011

LES SOUTIENS DE OUATTARA SONT DÉJÀ ESSOUFFLÉS!

VENDREDI 25 MARS 2011
http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQm6Koj-66aPhpjEZ-5eeOZCKNrRMn-Gz0Yif64ARLCxRrF-Ot_IgL’appel d’Alassane Ouattara et ses hommes à une intervention militaire internationale semble tomber dans l’oreille des sourds. Puisque, paradoxalement, ses soutiens appelés pompeusement ‘’communauté internationale’’, donnent de vibrants signes d’essoufflement.
La France refuse d’être partout à la fois ; la CEDEAO s’en remet à l’UA et à l’Onu ; l’Onu n’a plus d’argent pour faire face à la crise ivoirienne et l’Union africaine ramène Alassane Dramane Ouattara au Conseil constitutionnel, seule institution pouvant valider ‘’son élection’’. Autant de signes et d’aveux qui expriment éloquemment l’essoufflement des soutiens du chef des terroristes qui endeuillent la Côte d’Ivoire depuis 2002. En claire, dans les jours qui suivent, ses commanditaires et financiers de la crise ivoirienne pourraient jeter l’éponge, vues les réalités du terrain.


La CEDEAO s’en remet à l’UA et à l’ONU La CEDEAO pourrait demander à l’ONU d’aller plus loin dans sa réponse à la crise ivoirienne qui s’aggrave, a indiqué mercredi le président nigérian Goodluck Jonathan à l’ouverture d’un sommet Ouest-Africain qui a eu lieu, le mercredi 23 mars à Abuja au Nigéria. « Je pense que nous pouvons adopter une résolution pour demander à l’ONU de prendre des mesures un peu plus sérieuses concernant la situation en Côte d’Ivoire », a déclaré Goodluck Jonathan.
Il s’adressait aux chefs d’Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest réunis en sommet ordinaire dans la capitale fédérale Nigériane à Abuja, en présence de représentants de l’ONU et de l’Union africaine (UA), soulignant ainsi,”l’engagement et la détermination collective” de l’organisation régionale pour mettre fin à la crise postélectorale en Côte d’Ivoire. Il a dit espérer que cela serait possible “sans faire usage de la force légitime”. Par ailleurs, l’option militaire en Côte d’Ivoire est, pour l’heure, écartée par la CEDEAO.
La France n’en peut plus « Nous ne pouvons pas tout faire partout », a déclaré, le mercredi 23 mars, lors d’une conférence de presse, le chef de la diplomatie française, Alain Juppé, en parlant de son pays, la France, tout en appelant l’ONU à prendre ses responsabilités en Côte d’Ivoire. Le ministre français des Affaires étrangères répondait ainsi à une question sur la différence de traitement réservé par la France à la Libye et à la Côte d’Ivoire. « Il y a en Afrique une organisation qui s’appelle l’Union africaine et à Abidjan une force qui s’appelle l’Onuci, Organisation des Nations Unies pour la Côte d’Ivoire (…). Ce n’est pas à la France d’aller sur le terrain », a-t-il insisté, avant d’ajouter qu’il va à nouveau appeler les Nations unies à jouer leur rôle. « À chacun de prendre ses responsabilités », a-t-il lancé et de poursuivre :”nous souhaitons que les Nations unies et l’Union Africaine prennent leurs responsabilités, ce n’est pas à l’ancienne puissance coloniale d’aller s’interposer entre les combattants », a conclu Alain Juppé…
Source: Infoscotedivoire.net 

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