Eric Woerth, ancien ministre du Budget et ex-trésorier de l’UMP et de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007, devrait être entendu mercredi prochain. En risquant de faire rebondir le scandale en plein campagne présidentielle.
Les juges qui instruisent à Bordeaux la tentaculaire affaire Bettencourt n’ont pas perdu de temps. Mardi, la cour de cassation, confirmant un arrêt de la cour d’appel de Bordeaux, a définitivement validé l’utilisation à des fins judiciaires des fameux enregistrements réalisés par l’ancien majordome de Liliane Bettencourt à son domicile à Neuilly. Des enregistrements, révélés à l’été 2010, qui avaient déclenché un véritable séisme politique en levant le voile sur une série de possibles délits : évasion fiscale, abus de faiblesse, financement illicite d’activités politiques, trafic d’influence… Mais aussi sur le rôle trouble joué par l’Elysée dans ce dossier et, notamment, les liens – longtemps niés - entre Eric Woerth et l’héritière L’Oréal.
Les juges qui instruisent à Bordeaux la tentaculaire affaire Bettencourt n’ont pas perdu de temps. Mardi, la cour de cassation, confirmant un arrêt de la cour d’appel de Bordeaux, a définitivement validé l’utilisation à des fins judiciaires des fameux enregistrements réalisés par l’ancien majordome de Liliane Bettencourt à son domicile à Neuilly. Des enregistrements, révélés à l’été 2010, qui avaient déclenché un véritable séisme politique en levant le voile sur une série de possibles délits : évasion fiscale, abus de faiblesse, financement illicite d’activités politiques, trafic d’influence… Mais aussi sur le rôle trouble joué par l’Elysée dans ce dossier et, notamment, les liens – longtemps niés - entre Eric Woerth et l’héritière L’Oréal.
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