lundi 25 avril 2011

Réconciliation impossible en Côte d'Ivoire!!!




Ouattara rend lui-même la réconciliation impossible

Laurent Gbagbo est détenu à Korhogo, sans aucun mandat, sans acte d'accusation, en dehors de toute légalité. Ses avocats n'ont pas la possibilité de le rencontrer.

Son épouse, Simone Gbagbo, député d'Abobo, présidente du groupe FPI à l'assemblée nationale, est retenue dans des conditions ignobles par Ouattara. Ces geoliers l'exposent sur internet comme un trophée de Guerre, ils sont même soupconnés de lui avoir fait subir des sévices sexuels, c'est du moins ce dont ils se vantent sur les sites rebelles.


Voir ces quelques photos qui circulent dans le monde entier mais que la presse française ne vous montrera pas.

http://www.africa-libre.com/index.php?view=category&catid=2&option=com_joomgallery&Itemid=550&lang=fr

La presse française va continuer à vous dire que Ouattara continue à oeuvrer pour la réconciliation et que seuls ses opposants y font obstacle.

Le président du FPI, qui était en résidence surveillée à l'hotel Pergola en Zone 4 sous la protection de l'ONU, a été "kidnappé" et transféré à l'hotel du golf pour avoir accordé une interview à un média français.

Plus aucun journal ne partageant pas complètement les idées de Ouattara n'existe.

Les arrestations arbitraires et les assassinats continuent. Deux militaires des FDS, venus faire allégeance à Ouattara au golf hotel, y ont été exécutés sans autre forme de procès.

Les journalistes et politiques français qui ont confectionné un costume de dictateur à Laurent Gbagbo depuis 2000, assistent silencieux et complices à l'installation d'une vraie dictature en Côte d'Ivoire.

La france n'est pas complice, elle est coupable de cet état de fait; c'est elle qui a permis et favorisé cela.

La majorité des ivoiriens d'Abidjan, favorables à Laurent Gbagbo, vivent dans la terreur.

Les premiers cas de commerçants français victimes de racket sont signalés en Zone 4.

L'image de la France auprès des populations africaines ne s'est jamais dégradée aussi rapidement.

Merci Sarkozy



Source : Dr Michel Lambret - Médiapart

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