mardi 19 avril 2011

Jean-Luc Mélanchon soutient Gbagbo

Gbagbo victoire




Côte d’Ivoire : Laurent Gbabgo a peut-être perdu la bataille mais Alassane Ouatara n’a pas encore gagné la guerre.


Par paris côte d'azur, mercredi 13 avril 2011 à 08:59 :: Les paradoxales. :: #3003 ::
La messe est encore loin d’avoir été dite, tel est le sens de ce billet envoyé par un ancien fonctionnaire d’une institution des Nations Unis, en poste à Abidjan durant quatre ans.

Ouattara Président illégal !



Entretien avec Ibrahim Coulibaly par Leslie Varenne (La Tribune de Genève)

Encadré : "Un acteur clé de la crise ivoirienne"Ibrahim Coulibaly est l'acteur majeur du coup d'État de 1999 qui renversa Henri Konan Bédié et de la rébellion de 2002. En rupture totale avec les Forces Nouvelles deGuillaume Soro, aujourd'hui Premier ministre d'Alassane Ouattara, il s'est exilé en 2003. IL est rentré en Cote d'Ivoire au début de l'année 2011 pour créer le commando invisible afin de combattre l'armée deLaurent Gbagbo et libérer le quartier d'Abobo, cible majeure des crimes et des exactions du camp Gbagbo.
Entretien avec Ibrahim Coulibaly par Leslie Varenne (La Tribune de Genève)

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Burkina Faso: "Un coup d'Etat militaire n'est pas exclu"



Photo :DR
Photo :DR           

 


              



























La contestation au Burkina Faso, qui a repris ce mardi dans le Nord, semble assez disparate. Pour Philippe Hugon, spécialiste de l'Afrique à l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques, la crise se joue en premier lieu au sein des milieux étudiant et militaire. 

Quels sont les facteurs de la crise burkinabée? 

Le Burkina Faso n'est généralement pas un pays caractérisé par des mouvements de violence. Mais cette crise a d'abord été déclenchée par une étincelle venue du milieu étudiant. Le 20 février, un jeune Burkinabé, Justin Zongo, décède dans des circonstances assez troubles. Cela fait penser à l'immolation du jeune martyr tunisien Mohamed Bouazizi, qui a donné naissance à la vague de contestation que l'on sait, et la chute du régime Ben Ali. 

Le président nomme un nouveau Premier ministre 
Le président burkinabé Blaise Compaoré a nommé ce lundi un nouveau Premier ministre pour tenter de freiner les divers mouvements de révolte grandissants. L'ambassadeur burkinabé à Paris, Luc-Adolphe Tiao, remplace ainsi Tertius Zongo, dont le gouvernement avait été dissout le 15 avril. Cette nomination a été annoncée quelques heures après une manifestation d'étudiants qui a dégénéré à Koudougou (centre-ouest). 
On retrouve par ailleurs tous les facteurs économiques qui ont conduit aux révolutions arabes: abence de perspectives pour les jeunes, chômage de masse, pas encore de transition démographique, des prix alimentaires qui flambent, et une ouverture sur le reste l'Afrique via le réseau Internet, si faible soit-il. Les récents mouvements de violence ont sans doute été initiés sur le modèle de ceux intervenus en Afrique septentrionale. 
En revanche, le Burkina Faso a également sa propre lecture de la crise. Le pays subit les effets des troubles en Côte d'Ivoire, avec le retour des migrants partis chercher du travail dans ce pays voisin. Cette importante main d'oeuvre a fui les combats, et se retrouve sans revenus au Burkina Faso. La crise libyenne a aussi entraîné le retour au pays des travailleurs burkinabés. A la marge, le soutien de Compaoré à Kadhafi peut aussi expliquer la crise actuelle. 
Les mouvements de contestation semblent somme toute assez désunis (voir encadré). Peuvent-ils représenter une réelle menace pour Blaise Compaoré? 

Des mouvements disparates 

Outre les manifestations et violences issues des milieux étudiants et militaires, d'autres mouvements touchent le pays, et ils sont parfois en opposition. Peu après les soldats, c'est la garde présidentielle qui est touchée, elle qui proteste plutôt contre le non-versement de primes. Les magistrats eux se sont mis en grêve, pour protester contre la libération par les autorités de certains militaires condamnés. Les détenus réclamaient notamment "la reprise des activités de justice", et la fin de la surpopulation carcérale. Enfin, de leur côté, les commerçants manifestaient contre les pillages perpétrés par les militaires. 
A mon sens, les deux principaux mouvements à suivre actuellement sont celui des étudiants, et celui des militaires. Les premiers manifestent pour dénoncer la mort de l'un des leurs (voir ci-dessus), et les seconds ont manifesté fin mars contre la condamnation de quatre camarades, aujourd'hui libérés. [Depuis, ils manifestent surtout pour des problèmes de hiérarchie et de conditions de vie, ndlr]. Selon moi, les autres mouvements, comme celui des commerçants [ainsi que celui des magistrats et des détenus, ndlr] semblent peu convaincants. Et la révolte de la garde présidentielle est encore trop surprenante pour être bien analysée. 
Il est vrai que ces deux principaux mouvements semblent corporatistes et divisés. Mais il n'est pas impossible que les deux s'unissent, certes a minima, car in fine, c'est la légitimité du pouvoir qui est contesté dans les deux camps. Pour qu'ils se coordonnent, il faudrait que l'armée soit dépassée par un mouvement étudiant prenant de plus en plus d'ampleur. L'armée laisserait ensuite volontairement grandir la contestation, et pourrait à terme la récupérer. Le régime serait là réellement menacé. 

Actuellement, quelles issues peut-on envisager à la crise burkinabée ? 

Un coup d'Etat militaire, avec à sa tête un jeune capitaine, n'est pas à exclure, le pays en déjà connu [Thomas Sankara en 1983 et Blaise Compaoré lui-même en 1987, ndlr]. En comparaison, on observe qu'en Egypte, le pouvoir militaire a repris la main après la contestation populaire. Un autre cas de figure peut aussi émerger: comme au Niger, le pouvoir peut être confisqué momentanément par l'armée, pour ensuite être redonné à la population civile. 
Toutefois, d'autres scénarios sont possibles. L'armée [contentée par le pouvoir par la révocation du chef d'Etat-major, et le versement de primes de logements et alimentaire, ndlr], pourrait décider de réprimer les mouvements contestataires, et empêcher toute transition du pouvoir. Ou alors, comme il l'a fait pour l'armée, le président Compaoré, usé et toujours entâché par l'assassinat de son prédécesseur Thomas Sankara, pourrait répondre aux revendications matérielles des différents groupes [comme la lutte contre la cherté de la vie ou le respect des franchises scolaires, ndlr], et ainsi calmer la crise. 
En revanche, envisager un assouplissement politique du régime n'est pas concevable dans la mesure où Blaise Compaoré est en train de modifier l'article 37 de la Constitution, qui lui permettrait de faire plus de deux mandats à la tête du pays.
Mardi 19 Avril 2011


De nouvelles violences éclatent au Nigeria après la victoire de Jonathan

De nouvelles violences ont éclaté dans le nord du Nigeria, mardi, où des partisans musulmans de l'opposition refusent d'accepter la victoire — annoncée la veille — du président sortant Goodluck Jonathan.
Dans la ville de Kaduna, au moins six corps calcinés portant des blessures de machettes avaient été abandonnés en bordure de route. Des colonnes de fumée s'élevaient aussi en plusieurs endroits, pendant que des autobus et voitures incendiés bloquaient les autoroutes à proximité de la ville.
Les autorités hésitent à publier un bilan officiel, par crainte de provoquer des représailles. Une agence gouvernementale confirme toutefois qu'il y a eu des victimes, tandis que la Croix-Rouge nigériane évoque quelque 400 blessés.
Dans un discours télévisé tard lundi soir, le président Jonathan, qui l'a emporté avec plusieurs millions de voix d'avance, a lancé un appel au calme avant de congédier son ministre de l'Intérieur en raison de nombreux «manquements».
Dans la ville de Kano, dans le nord du pays, un prêtre a révélé que trois églises ont été incendiées par des manifestants en colère. Une foule armée aurait aussi tenté de s'en prendre à un prêtre à une gare de bus, avant qu'un musulman témoin de la scène n'intervienne.
Lundi, dans la foulée de l'annonce de la victoire de M. Jonathan, des partisans de l'opposition avaient incendié plusieurs demeures affichant les couleurs du parti au pouvoir. Le nord du pays appuyait massivement le principal adversaire du président sortant, l'ancien dirigeant militaire Mohammadu Buhari.
Des allégations de fraude ont rapidement commencé à circuler et les deux principaux partis d'opposition du Nigeria, dont la formation de M. Buhari, ont porté plainte auprès de la commission électorale du pays.
Copyright © 2011 The Canadian Press

Source : Telediaspora.net

Côte d`Ivoire : le "général IB" revendique sa part dans la victoire

Publié le mardi 19 avril 2011 | AFP


© Autre presse par DR
Crise post-électorale : le général Ibrahima Coulibaly (IB)
Photo: le général Ibrahima Coulibaly (IB) chef du "Commando invisible" dans son QG d`Abobo PK18

ABIDJAN - "Donne à César ce qui est à César": l`ex-putschiste Ibrahim Coulibaly, dit "IB", demande au nouveau pouvoir du président ivoirien Alassane Ouattara de reconnaîre son rôle et celui de ses
hommes dans la chute de Laurent Gbagbo.
L`ancien sergent-chef, "père fondateur" - selon ses propres termes - de la
rébellion de 2002 qui avait échoué à renverser M. Gbagbo, se fait désormais
appeler, à 47 ans, "général IB". Il a sa base aux confins d`Abobo et d`Anyama,
quartiers nord d`Abidjan.
C`est là qu`à partir de janvier des insurgés baptisés "commando invisible"
avaient mis en échec les forces armées de M. Gbagbo, jusqu`à les expulser de
la zone, avant même que les pro-Ouattara n`arrêtent le président sortant le 11
avril.
Dans un entretien avec l`AFP, l`un des personnages les plus mystérieux de
la scène ivoirienne depuis une décennie - chef charismatique pour les uns,
affabulateur incontrôlable pour les autres - en revendique la paternité et
prend date.
"Ce sont mes hommes", assure-t-il au grand dam des chefs des forces
pro-Ouattara (formées en grande partie de ses anciens compagnons de la
rébellion), que le retour d`"IB" en pleine lumière, après ses années d`exil au
Bénin et au Ghana, irrite visiblement.
Certains de ses hommes, treillis et béret rouge impeccable, sont auprès de
lui quand il reçoit dans son salon meublé de larges fauteuils en cuir et de
vases asiatiques.
Au bout d`un chemin de terre cahoteux auquel on accède en passant par de
nombreux barrages d`hommes en armes en pleine ville, le même secteur
résidentiel propret accueille un peu plus loin, parmi des herbes folles, son
"état-major".
"Nous avons pris les armes" pour "protéger la population" contre le
"dictateur" Gbagbo, explique l`ex-rebelle, revendiquant "au moins 5.000
hommes".
Un chiffre qui laisse sceptiques de nombreux observateurs, même s`ils
s`accordent à dire qu`il peut compter sur des éléments dévoués, évalués au
minimum à plusieurs centaines.
Carrure de basketteur américain, fines lunettes et barbichette, il assène
d`une voix posée: "pour qu`il y ait assaut final" contre Laurent Gbagbo, "il
faut qu`il y ait un début", et ce début a eu lieu à Abobo.
"C`est le commando invisible qui a déstabilisé l`état-major de Côte
d`Ivoire", dit-il, tout en refusant aux Forces républicaines (FRCI) de M.
Ouattara le prestige de la victoire: "les vrais acteurs de l`assaut final,
c`est la (force française) Licorne et (la mission onusienne) Onuci".
"Le commando invisible, ce sont des enfants de ce pays, des Ivoiriens, on
ne peut pas les exclure", insiste le "général IB". Il n`y pas d`autre choix
que "d`être reconnaissant vis-à-vis de ces combattants", avance-t-il, sans
préciser sa pensée.
Il assure toutefois ne rien demander, se dit "optimiste" et se place sous
les ordres d`Alassane Ouattara.
"L`avenir du commando invisible dépend du chef suprême de l`armée",
explique-t-il. Il se dit "en contact téléphonique" avec celui dont il fut
jadis le garde du corps: "c`est un père pour moi".
Pas de contact récent en revanche avec le Premier ministre Guillaume Soro,
qui lui arracha le leadership de la rébellion après le putsch raté de 2002, à
l`issue de combats fratricides.
"Il n`y a plus de problème entre Soro et moi", jure-t-il, même si
l`entourage d`"IB" ne cache pas que leurs relations ne sont pas des plus
cordiales.
Mais l`ancien putschiste se veut au diapason de la "réconciliation" voulue
par le nouveau régime: sanglé dans son treillis, il prône pour les Ivoiriens
"unité, paix, amour". "Il faut qu`on pardonne".

Peur sur Abidjan


PILLAGES DE MAGASINS, D`ENTREPRISES ET DE DOMICILES - OÙ VA LA CÔTE D`IVOIRE ?


 Les derniers événements survenus en Côte d'Ivoire et notamment à Abidjan, la capitale économique, n'auront pas été sans conséquences pour les opérateurs économiques et certaines personnalités du pays.
En effet, de nombreux commerces et autres grands magasins ont été pillés durant plusieurs jours par des vandales et par des éléments de la FRCI (force pro-ouattara).
Profitant du cafouillage créé par cette situation de panique générale avec les affrontements entre les forces Pro-Ouattara et les soldats de l'armée nationale, ces personnes sans foi ni loi s'en sont pris aux commerces et magasins.

Désavoué, Sarkozy mise gros sur les troubles de mémoire

Les enquêtes montrent une opinion en désaccord sur son action de façon constante et renouvelée, tandis que le désaveu touche aussi désormais les ministres les plus emblématiques de la droitisation en cours à des fins électoralistes.

SOS JOURNALISTES EN DANGER EN CÔTE D'IVOIRE!


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Un de nos confrères, Saint Claver OULA, rédacteur en chef du Nouveau Courrier vit, depuis le 15 Avril dernier dans la clandestineté. Pour cause?

Le vendredi, 15 Avril 2011 Saint Claver OULA est l'un des récipiendaires du message suivant:

De : Mamadou Ouatara
À : ftoti@nouveaucourrier.com; frankoliviert@yahoo.fr; bahi_stephane@yahoo.fr;sbahi@nouveaucourrier.com; eakani@nouveaucourrier.com; saintcoula@yahoo.fr;cyletemps@yahoo.fr
Envoyé le : Ven 15 avril 2011, 15h 48min 19s
Objet : vos jours sont comptes

Vous les journalistes de GBAGBO la vous aller voir on va vous poursuivre jusqu.à votre dernier retranchement , et vous corriger un à un .
Votre protecteur n.est plus la , c,est ADO qui est la maintenant et donc vous aller payer toutes vos injures. Il n,y aura plus de liberte de presse ici en CI
on va tous vous tuer vous les asticos de GBAGBO.
A bon entendeur salut . on vous aura tous.

Côte d’Ivoire : Les révélations d’un agent secret français sur le complot contre Gbagbo


mar, 19 avr. 2011 - 8:20
Laurent Gbagbo et son épouse, déshumanisés et humiliés lors de leur capture, le 11 avril 2011.
Le 19 avril 2011 par IvoireBusiness -

Bon nombre d’Ivoiriens, qui admettent que la crise ivoirienne est fomentée par la France,
continuent de s’interroger sur l’intérêt « subit » éprouvé par les États-Unis d’Amérique de s’associer à la France pour accomplir le coup d’ État en Côte d’Ivoire…. Un ancien agent de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) affirme que les Ivoiriens se trompent. L’homme au fait des micmacs des services secrets américains ne supporte plus de voir son pays, la France, et ses dirigeants jouer aux « boys » des Américains en Côte d’Ivoire. Par des canaux complexes, il nous a permis de prendre son témoignage. «Plus que les Français, les Américains, à travers la CIA, ont décidé de s’emparer de la Côte d’Ivoire à partir d’un plan machiavélique conçu avant les années 1988. C’est (de nos jours) ce plan qui a été réactivé. La construction de la grande ambassade des États- Unis en Côte d’Ivoire fait partie de ce plan tout comme l’installation d’un burkinabé, en la personne d’Alassane Ouattara, à la tête du pays. 

RECOLONISATION

RECOLONISATION
Objectivité et indépendance des médias dans la crise en Côte d’Ivoire
Selon le dernier classement mondial de la liberté de la presse, la France a encore régressé et se place désormais au 44e rang derrière bon nombre de jeunes républiques africaines (Mali, Cap vert, Ghana, Tanzanie, Afrique du Sud, etc). Une telle régression amène à s’interroger sur l’objectivité de l’information diffusée lorsqu’il s’agit de l’actualité des pays africains. L’uniformisation de l’information concernant la crise ivoirienne, constatée dans la quasi-totalité de la presse française et journaux télévisés, amène à soulever la question d’un risque de formatage de l’opinion publique.

Côte d'Ivoire - Ouattara c'est Peau noire, masques blancs



"L'ONU cache depuis août 2010 un rapport


Va-t-on vers une recolonisation de l’Afrique ?


Berlin II : va-t-on vers une recolonisation de l’Afrique ?

Certaines puissances envisagent d’abolir les frontières héritées des accords de Berlin. Derrière cette idée se cache visiblement une volonté de relancer la machine capitaliste en crise et de maintenant sous leur domination le peuple africain. La peur de voir des pays émergeants comme l’Inde, le Brésil mais surtout la Chine leur disputer l’hégémonie en Afrique explique aussi cette démarche. Guy De Boeck et Raf Custers donnent une lecture élaborée de ce qui se fait actuellement sur le terrain en Afrique même.
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Le Congo a été au centre des discussions à l’Espace Matonge à Bruxelles. Vendredi 20 février, Guy De Boeck et Raf Custers ont chacun de sa façon analysé les stratégies en présence des puissances occidentales sur l’Afrique.

LE CRIME DES INSTITUTIONS FMI

Ajustements structurels, dévaluations, bonne gouvernance, ouverture extérieure, privatisations, voici ce que Allassane a réussi, exactement à faire de 90 à 93, mais fera pire de 2011 à 2061 ... car dans ce qui se prépare, allassane et ses congénères ont préparé un contrat de leasing des terres et richesses ivoiriennes pendant 50ans !!!!
Le tout couronné par plus de 70 à 80% de bénéfices offerts aux différents investisseurs étrangers.
Nous venons de rentrer dans la première phase, en recevant les qqes 400 million d'euros, avec ça, on a le pétrole qui part pour 50 ans. D'ailleurs, le premier gazier vient d'arriver.
Au moment de s'en rendre compte, on aura été spolié, on retombera dans pire qu'avant, puis on aura en face des coups d'états incessants!


IVOIRIENS, AFRICAINS LEVONS NOUS IL EST L'HEURE

par 1 Million de Plaintes Contre la FRANCE au Nom de la Côte d'Ivoire, mardi 19 avril 2011, 03:29

A Duékoué, des massacres embarrassants pour le nouveau pouvoir


Ajoutée le 18/04/2011 à 21h18
En Côte d'Ivoire, après Abidjan, c'est à Duékoué qu'ont eu lieu la majorité des combats pendant les semaines précédant la chute de Laurent Gbagbo. Dans cette ville de l'ouest du pays, les partisans l'ancien président ont subi des exactions et sont aujourd'hui réfugiés dans un camp protégé par l'ONU… Malgré la fin des combats, la plupart d'entre eux refusent toujours de rentrer dans leurs maisons. ATTENTION CLIENTS: CERTAINES IMAGES PEUVENT CHOQUER, NOUS LES AVONS LAISSEES TELLES QUELLES DANS LE MONTAGE A DES FINS INFORMATIVES, AFIN DE VOUS LAISSER TOUTE LIBERTE SUR LEUR UTILISATION.

Côte d’Ivoire – Fissure chez les avocats de Gbagbo


Côte d'Ivoire - Clash chez les avocats de Laurent Gbagbo !

Paris – Me Gilbert Collard, l’un des cinq avocats saisis par Marie-Antoinette Singleton, fille de Simone Ehivet épouse Gbagbo, a écrit ce lundi, indique l’AFP,  au nouveau président de Côte d’Ivoire, Alassane Dramane Ouattara, pour lui demander un « permis de visite » au chef de l’Etat déchu, Laurent Gbagbo, actuellement en résidence surveillée à Karhogo, dans le nord du pays.

Lire la suit
e

Dernières nouvelles d'Abidjan : Le rebelle ouattariste Ibrahim Koulibaly dit IB s'auto-procclame Président de la Côte d'Ivoire !

Selon nos informations Ouattara serait sur le point de nommer un "Premier Ministre" d'origine sénégalaise. Outré, Soro qui n'est ni à la Primature ni à la défense se serait retiré à Bouaké avec ses rebelles. IB et Sherif Ousmane jouent leurs cartes pour le contrôle du pouvoir. Les jeunes loups ouattaristes n'en ont pas fini avec leurs œuvres !

Guillaume Soro serait rentré à Bouaké avec ses rebelles. IB et Sherif Ousmane se disputent le pouvoir. Le sieur IB, un des chefs rebelles se serait auto-procclamé Président de la République de Côte d'Ivoire voici quelques heures ! Il aurait aussitôt été encerclé par des éléments de l'opération Licorne.

La Côte d'Ivoire n'est malheureusement pas tirée d'affaire.

A notre humble avis, toute l'Afrique francophone est en train de rentrer en zone rouge !

Bruno Ben MOUBAMBA

Devoir de mémoire : Comment Alassane Ouattara devient Ivoirien ?


Le journal « Le Temps » réédite pour ses lecteurs, les confidences du premier Président de la République ivoirienne à un de ses proches. C’est un document ayant pour source le journal hebdomadaire « Le Phénix » paru, du lundi 9 au dimanche 15 décembre 2002. Révélations. 



    «Je suis pratiquement au soir de ma vie et il est impérieux que je vous livre quelques informations capitales pour préserver la Côte d’Ivoire d’une éventuelle rupture sociale après que je ne sois plus. En effet, je me rends en France pour subir une intervention chirurgicale et je ne puis vous dire si je vais revenir vivant. Ainsi, vous pourriez utiliser à des fins utiles ces révélations, si je rentrais, si je rentrais effectivement silencieux de la France. Voilà pourquoi je vous ai fait appeler d’urgence. 
Sachez à toutes fins utiles que mon ambition majeure pour la Côte d’Ivoire, notre beau pays, a toujours été de l’élever au rang de pays fortement industrialisé, doté d’infrastructures modernes qui le rendraient totalement indépendant. C’est pourquoi, je me suis investi à faire de la Côte d’Ivoire un pays économiquement fort, avec le cacao et la café qui font la fierté du pays. Malheureusement, la France et ses alliés vont user de tous les moyens pour arrêter cette noble ambition que j’ai pour mon pays. Ils vont donc former spécialement des jeunes cadres africains, dont Alassane Dramane Ouattara, pour m’assassiner et détruire la Côte d’Ivoire. 

Odile Tobner : La Côte d'Ivoire et ses fantômes