samedi 28 janvier 2012

Côte d’Ivoire – France: le ballet des rigollots n’est qu’un cri de désespoir!

La poubelle tenue par Venance Konan nous parle dans sa Une du jeudi 26 janvier 2012, d’une cérémonie d’accueil comme si la France fêtait le 14 juillet. Et les autres rigollots de la même obédience lui emboîtent le pas. Curieusement, j’ai entendu des Résistants ivoiriens se sentir blessés par cet accueil en fanfare à Paris d’un criminel au service de la France.
Et pourtant j’ai eu pitié pour la première fois de la France. Indigne, comme une prostituée, s’offrant en spectacle sans pudeur, s’offrant au plus vil des criminels juste pour trouver à manger et à boire à la maison.

GBAGBO à La Haye : Les manigances juridiques de Sarkozy et Ocampo

Alors que l'on s’attendait à ce qu’il se saisisse des auteurs des crimes commis en Côte d’Ivoire depuis la nuit du 19 septembre 2002 à ce jour, le Procureur Luis Moreno Ocampo a surpris. Il a limité ses enquêtes, depuis longtemps, attendues aux violences postélectorales. Après un mois d’enquête, il dit avoir affiné les renseignements qu’il possédait, avoir rassemblé de nouvelles preuves, pour accuser et faire décerner un mandat d’arrêt à Laurent Gbagbo. En revanche, s’agissant des forces dites pro-Ouattara, il affirme la main sur le cœur, n’avoir à ce jour aucun élément pour les suspecter de crimes contre l’humanité.
L’acharnement contre Laurent Gbagbo est-il la réalisation du souhait jadis exprimé par Jacques Chirac qui, on se souvient, avait menacé de faire traduire son homologue insoumis à la Cour pénale internationale ? Jacques Chirac est parti mais son souhait a été réalisé par Nicolas Sarkozy. Laurent Gbagbo est unsouffre-douleur de Nicolas Sarkozy et pourrait trouver place sur la longue liste des victimes du président français que deux journalistes français ont fait parler dans un livre intitulé : «Sarko m’a tuer». Le concernant, c’est Charles Onana, journaliste d’investigation, qui lève un coin de voile sur ce que nous savions vaguement, la stratégie du Président français de réduire l’iconoclaste d’Abidjan à néant.

Situation en Libye 28 janvier

Libye – Un bataillon des rebelles de Tripoli sous la direction de Abdelhakim Belhadj aux portes de Bani walid (28 janvier 2012)
Publié le 28/01/2012 à 17:46 
Source : ALGERIA ISP
ALGERIA ISP / Selon Haraka Elmokawama Libya, des informations confirment la présence d'un bataillon de rebelles de Tripoli dans la porte Est de la ville des héros de Warfala « Bani walid » sous
la direction de Abdelhakim Belhadj. Les combattants de Warfala ne laisseront aucun rebelle entrer dans la ville. Ils sont préparés pour défendre la ville jusqu'à la dernière balle.
A Tripoli, hier, Les combattants de la résistance verte ont réussi a libérer 3 combattants de la Jamahiriya de la prison de Aïn Zara ; 2 combattants des volontaires et un militaire du bataillon « Liwae Elmouazez » de l'armée de la Jamahiriya. Ils les ont conduits en Tunisie dans un lieu sûr.
Une photo du général Abdelfateh Younes avec un pilote de l'Otan. Comment peut on détruire son propre pays sans aucun état d'âme.

Source : ALGERIA ISP

DRAMANE OUATTARA: CHEF D’ETAT OU CHEF DE TRIBU?

Alassane chef de tribu
Tel un gangster qui convoie le fruit du braquage à son commanditaire, DRAMANE OUATTARA débarque en France pour remettre la Cote d’Ivoire « braquée » à son commanditaire SARKOZY. Il a tenu à préciser qu’une partie du butin est réservée aux membres du gang recrutés parmi les ressortissants du nord :
« Il s’agit d’un simple rattrapage. Sous GBAGBO, les communautés du Nord, soit 40% de la population, étaient exclues des postes de responsabilité »