Publié le15 août 2011 parAllain Julles
Les malheurs de l’été du président Obama se poursuivent. Au lieu de s’occuper des Américains, l’homme s’est aligné comme un mouton, pour aller tuer des innocents Libyens. On a appris avec joie que, sa cote de popularité est au plus bas. Un score jamais atteint par lui. Selon un sondage Gallup, journalier, l’homme est descendu en-dessous de 40% pour la première fois de sa présidence.
Il n’y a plus que 39% des Américains qui approuvent le travail de M. Obama, tandis que 54% s’y opposent. Ce sont les pires chiffres de sa présidence. Cette cote d’Obama a oscillé aux alentours de 40% pendant la majeure partie de 2011, pour culminer à 53% dans les semaines qui ont suivi la mort d’Oussama ben Laden.
Hélas, en s’alliant à Al Qaïda pour chasser Mouammar Kadhafi, les Américains le lui rendent très bien. Pourvu que ça dure. Il faut aussi noter dans le package, le débat désastreux sur la plafond de la dette américaine. Au moment même où il signait la loi fédérale pour éviter l’effondrement des finances américaines, il était déjà embourbé dans un 40% épouvantable.
Les malheurs de l’été du président Obama se poursuivent. Au lieu de s’occuper des Américains, l’homme s’est aligné comme un mouton, pour aller tuer des innocents Libyens. On a appris avec joie que, sa cote de popularité est au plus bas. Un score jamais atteint par lui. Selon un sondage Gallup, journalier, l’homme est descendu en-dessous de 40% pour la première fois de sa présidence.
Il n’y a plus que 39% des Américains qui approuvent le travail de M. Obama, tandis que 54% s’y opposent. Ce sont les pires chiffres de sa présidence. Cette cote d’Obama a oscillé aux alentours de 40% pendant la majeure partie de 2011, pour culminer à 53% dans les semaines qui ont suivi la mort d’Oussama ben Laden.
Hélas, en s’alliant à Al Qaïda pour chasser Mouammar Kadhafi, les Américains le lui rendent très bien. Pourvu que ça dure. Il faut aussi noter dans le package, le débat désastreux sur la plafond de la dette américaine. Au moment même où il signait la loi fédérale pour éviter l’effondrement des finances américaines, il était déjà embourbé dans un 40% épouvantable.