vendredi 24 février 2012

UN PARLEMENT JUIF DANS L’UE? NOUS POUSSE-T-ON À L’ANTISÉMITISME JUIF?

Ce qui se déroule devant nos yeux est absolument hallucinant lorsqu’on y réfléchit une petite minute. Voilà qu’une toute petite minorité européenne dispose au sein du parlement européen d’un espace entièrement dédiée à ses préoccupations et à ses objectifs politiques. En quel honneur? Au nom de quel droit démocratique cette communauté s’est élevée au-dessus de tous les autres communautés humaines?

La désintégration européenne.
Voici la vidéo:

Dans les coulisses de la CPI:Affaire Lubanga : suspension des procédures, 8 juillet 2010



Le 8 juillet 2010, la Chambre de première instance I de la Cour pénale internationale (CPI) a ordonné la suspension des procédures dans l'affaire Le Procureur c. Thomas Lubanga Dyilo, considérant que l'équité des procédures à l'encontre de l'accusé n'est plus garantie, du fait du non respect par l'Accusation des ordonnances émises par la Chambre. La Chambre avait ordonné au Bureau du Procureur de divulguer confidentiellement à la Défense les noms de l'intermédiaire 143 ainsi que d'autres informations sur son identité.

Elargissement des enquêtes de la CPI à 2002 : comment Ocampo continue de protéger Soro, Ouattara et la France, par Théophile Kouamouo


De nombreux observateurs se sont réjouis de ce que les crimes commis depuis le début de la guerre en Côte d’Ivoire pourront désormais être examinés par la Cour pénale internationale. Mais la lecture de la décision de la Chambre préliminaire III montre bien un procédé idéologique bien rôdé, dont l’objectif est de garantir l’impunité des «barons» du camp Ouattara-Soro. Et bien entendu de Blaise Compaoré et de la France.

Situation en Côte d'Ivoire : Programme « Demandez à la Cour »


Gilbert Bitti, Conseiller juridique principal à la Section préliminaire de la CPI, répond à des questions au sujet de la décision de la Chambre préliminaire III concernant le cadre temporel de l'enquête sur la situation en Côte d'Ivoire.
Le 22 février 2012, la Chambre préliminaire III de la Cour pénale internationale (CPI) a décidé d'élargir son autorisation d'enquêter sur la situation en Côte d'Ivoire pour inclure les crimes relevant de la compétence de la Cour qui auraient été commis entre le 19 septembre 2002 et le 28 novembre 2010.

CRIMES CONTRE L’HUMANITE EN CÔTE D’IVOIRE: LA CPI DESAVOUE OUATTARA ET LE PROCUREUR OCAMPO


Dans un communiqué référencé ICC-CPI-20120223-PR768, la Chambre préliminaire III de la Cour pénale internationale (CPI) a pris une importante décision le 22 février 2012. Celle-ci est relative à l’implication de la Cour dans le dossier ivoirien.
Elle a, en effet, décidé «d’élargir son autorisation d’enquête sur la situation en Côte d’Ivoire pour inclure les crimes relevant de la compétence de la Cour qui auraient été commis entre le 19 septembre 2002 et le 28 novembre 2010.», précise le communiqué. La Chambre a fondé sa décision sur sa considération selon laquelle «les évènements violents survenus en Côte d’Ivoire pendant cette période (y compris ceux qui auraient eu lieu depuis le 28 novembre 2010) doivent être traités comme une seule situation dans laquelle une crise continue, impliquant une querelle politique prolongée et une lutte pour le pouvoir, a mené aux événements sur lesquels la Chambre a déjà autorisé l’ouverture d’une enquête.» Car, poursuit le communiqué, «En se concentrant sur les exemples les plus significatifs d’incidents, la Chambre a conclu qu’il y a une base raisonnable de croire que des crimes de meurtre et de viols, qui pourraient constituer des crimes de guerre ou des crimes contre l’humanité, auraient été commis au cours de ces événements.» Voilà qui est clair pour tous.

Grande victoire du camp Gbagbo !

A la une
Disons le tout net ! La décision des juges de la Cour pénale internationale (Cpi) d’étendre les enquêtes sur la crise ivoirienne à la période allant de 2002 à 2010 constitute une grande victoire pour le camp Gbagbo. En effet, Alassane Dramane Ouattara et tous ses soutiens n’ont jamais voulu que les enquêtes sur les crimes de guerre et crimes contre l’humanité en Côte d’Ivoire prennent en compte la période allant de 2002, année du déclenchement de la rébellion armée pro-Ouattara à 2010, année de la tenue de l’élection présidentielle. Pour eux, seule la période post-électorale doit être prise en compte par les enquêtes de la Cpi. Ils estiment donc que les ivoiriens qui ont été tués entre 2002 et 2010 ne valent pas ceux qui l’ont été pendant la crise postélectorale.

Côte d’Ivoire, Libye: Faits et méfaits du “droit d’ingérence”


Getty Images
Après la Lybie, la France intervient en Côte d’Ivoire. On pourrait tout autant dire qu’avant la Lybie, la France était intervenue en Côte d’Ivoire, tant l’ingérence et l’intervention militaire de la France ont été chroniques dans ce pays depuis son indépendance. En 2004, les troupes françaises avaient ouverts le feu sur la foule à Abidjan, faisant 90 morts et 2000 blessés.

France: Avis de tempête


La surdité du monde politique français, à l’énoncé des revendications de la composante afro-française de sa population, a entraîné une frustration fortement teintée d’amertume, risquant de se traduire par un vote massif pour Marine Le Pen, candidate du Front National à l’élection présidentielle. Revenir sur les fondements de ce choix nihiliste serait dresser le bilan de l’échec des politiques dites d’intégration, et brosser le tableau d’un mépris teinté de paternalisme, réponse apportée aux revendications politiques et sociales de cette composante de la Nation.

Crimes contre l’humanité et crimes de guerre en Côte d’Ivoire: La Cpi étend l’enquête à septembre 2002

Le 22 février 2012, la Chambre préliminaire III de la Cour pénale internationale (CPI) a décidé d’élargir son autorisation d’enquêter sur la situation en Côte d’Ivoire pour inclure les crimes relevant de la compétence de la Cour qui auraient été commis entre le 19 septembre 2002 et le 28 novembre 2010. La Chambre a considéré que les événements violents survenus en Côte d'Ivoire pendant cette période (y compris ceux qui auraient eu lieu depuis le 28 novembre 2010) doivent être traités comme une seule situation dans laquelle une crise continue, impliquant une querelle politique prolongée et une lutte pour le pouvoir, a mené aux événements sur lesquels la Chambre a déjà autorisé l’ouverture d’une enquête. En se concentrant sur les exemples les plus significatifs d’incidents, la Chambre a conclu qu’il y a une base raisonnable de croire que des crimes de meurtre et de viols, qui pourraient constituer des crimes de guerre ou des crimes contre l’humanité, auraient été commis au cours de ces événements. La Chambre avait, le 3 octobre 2011, fait droit à la requête du Procureur aux fins de l’ouverture d’une enquête sur les crimes présumés relevant de la compétence de la Cour, qui auraient été commis en Côte d’Ivoire depuis le 28 novembre 2010, ainsi que sur les crimes qui pourraient être commis dans le futur dans le contexte de cette situation. Dans cette décision, la Chambre préliminaire III, composée des juges Silvia Fernández de Gurmendi (juge présidente), Adrian Fulford et Elizabeth Odio Benito, avait demandé au Procureur de lui fournir toute information supplémentaire à sa disposition sur des crimes qui pourraient relever potentiellement de la compétence de la Cour et qui auraient été commis entre 2002 et 2010. Le Procureur a fourni des informations supplémentaires le 4 novembre 2011.

(Source : Site officiel de de la Cour pénale internationale)
NB : le titre est de la rédaction de Notre Voie

Les FRCI du PK17 au bord du soulèvement.


Grogne chez les FRCI: Les FRCI du PK17 au bord du soulèvement. Le ministre de la Défense Paul Koffi Koffi et le sous-chef d’état-major Déto Létoh, en pompiers !
Koffi Koffi Paul, ministre de la Défense, au micro de Onuci-Fm.

Publié le vendredi 24 février 2012 | IVOIREBUSINESS – Plusieurs faits et non des moindres montrent un mécontentement grandissant au sein des FRCI, l’armée ivoirienne agissant à la solde d’Alassane Ouattara.

Une vidéo dont voici le lien (http://www.ivoirebusiness.net/?q=node/8441) a récemment montré que les FRCI d’Abobo manifestaient leur mécontentement devant les mensonges d’Alassane Ouattara et refusaient en conséquence de déposer les armes.
Ils disaient dans cette même vidéo que la chute du régime Ouattara viendrait sûrement d’Abobo.
Pense-t-ils tout haut ce que beaucoup de FRCI pensent tout bas ? Rien n’est moins sûr, toujours est-il que hier, c’est au tour des éléments FRCI du PK17 sur la route d’Abobo, d'entrer en rébellion.