mardi 8 mars 2011


Côte d’Ivoire/ Partialité criante Les crimes que la Cpi refuse de voir












L'ONUci arme les terroristes






Les preuves que l'Onuci arme les terroristes :30 containers d'armes de l'Onu saisis par la gendarmerie à Bertoua (Cameroun)








par LAURENT GBAGBO, mardi 8 mars 2011, 13:40









Gbagbo prend le contrôle!!






Gbagbo prend le contrôle des exportations ivoiriennes de Cacao
Le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo a signé lundi un décret qui fait de l'achat du cacao et de son exportation une prérogative des pouvoirs publics, annonce la Radiotélévision ivoirienne. "Les exportations de produits issus du secteur du café et du cacao seront du ressort de l'Etat, de ceux mandatés par l'Etat, ou de titulaire d'un permis d'exporter conforme aux dispositions déterminées par le décret", a-t-on déclaré à l'antenne

La faillite morale des Etats Unis


Respect des droits de l’Homme : La ‘‘faillite morale’’ des Etats-Unis barack-obama-hillary-clinton_18.jpg
Barack et Clinton
Avant que des enquêtes sérieuses ne dissipent le brouillard qui demeure sur l’affaire «tuerie de six femmes à Abobo», il est frappant de constater que l’annonce de cette nouvelle a été suivie d’une «chorégraphie de l’indignation» dans laquelle les Etats-Unis se sont caractérisés par leurs outrances. Alors même que la France, actionnaire de référence de la nébuleuse pro-Ouattara, se contentait de demander une enquête onusienne sur la question, la diplomatie du pays de l’Oncle Sam chaussait ses gros sabots pour désigner de manière péremptoire le coupable : le président Laurent Gbagbo, affublé de toutes sortes d’épithètes. «La faillite morale de Laurent Gbagbo est évidente au moment où ses forces ont tué des femmes qui manifestaient et que son pays est à cours de ressources», a déclaré Philip Crowley, porte-parole du Département d’Etat sur son compte Twitter, sans que l’on sache vraiment en quoi l’épuisement financier de la Côte d’Ivoire lié aux sanctions internationales témoigne d’une quelconque «faillite morale», si ce n’est celle des «grandes puissances» qui empêchent les bateaux remplis de médicaments d’accoster au port d’Abidjan.