mercredi 29 juin 2011

ENLEVEMENT DU PRESIDENT GBAGBO : UNE COLLABORATRICE DE SIMONE GBAGBO RACONTE LA VIE AU GOLF (2ème PARTIE)


par Toussaint Alain, mercredi 29 juin 2011, 21:23
Après nous avoir livré dans un entretien précédent les derniers instants dans le bunker et l’arrestation du président Gbagbo, Mme TANOH Agnès nous raconte comment les personnes arrêtées au palais présidentiel ont été conduites au Golf et traité dans cette prison.
Comment avez-vous été traités au golf hôtel ?
 Mais avant d’arriver au golf, il fallait traverser la cour de la résidence. Déjà, dans la salle où les militaires nous ont trouvés, ils ont pris tout ce que nous avions : téléphones, ordinateurs portables, argent, pièces d’identité, clefs de voitures, sac à main. A chaque étape, on nous prenait ce qui restait sur vous. Ma montre bracelet m’a été prise par une rebelle quand je m’apprêtais à monter à bord du KIA et mon alliance de mariage m’a été enlevée par un autre quand nous étions entassés dans la camionnette. Le seul pagne qui me restait m’a été enlevé quand je suis arrivée au Golf.

Situation socio-politique/Koulibaly Mamadou se déchaîne contre Ouattara

Publié le mercredi 29 juin 2011 

© Abidjan.net par Emma 
Application des recommandations de l`Union africaine: les partisans de Gbagbo rejettent la main tendue de la majorité présidentielle
Mercredi 25 mai 2011. Abidjan. Siège du Congrès national de la résistance pour la démocratie (Cnrd), à Cocody. Mamadou Koulibaly, président par intérim du Front populaire ivoirien (FPI) anime une réunion du comité central élargi au CNRD

Ivoiriens, Kongolais, Camerounais...AFRICAINS debarassez-nous des imperialistes!


Washington planifie plus d’actions contre le Venezuela


Le Département d’État a mentionné aujourd’hui qu’il considère « sérieusement » classifier le Venezuela comme un « État terroriste ».

21 juin 2011 – Au cours d’une audience, aujourd’hui, le Comité des relations extérieures de la Chambre des représentants du Congrès des Etats-Unis portant sur « les activités pouvant être sanctionné du Venezuela », les congressistes démocrates et républicains ont demandé au gouvernement de Barack Obama de prendre des décisions plus agressives contre le gouvernement d’Hugo Chavez au Venezuela. Le chef du Sous-comité des relations extérieures pour l’hémisphère Est, Connie Mack, républicain de la Floride, a décrit le gouvernement vénézuélien de « terroriste » en déclarant que « il est l’heure d’agir pour endiguer l’influence dangereuse d’Hugo Chavez et ses relations avec l’Iran. »

Article de Investig'Action - Michelcollon.info l'info décodéeInvestig'Action - Michelcollon.info l'info décodéeInvestig'Action - Michelcollon.info l'info décodéemichelcollon.info   lire la suite

Grèce: l'Europe agite le chiffon rouge d'une faillite "immédiate"


Risque de faillite "immédiate" d'Athènes, mise en danger de l'euro et même de l'économie mondiale: l'Europe a pris des accents dramatiques mardi pour placer le Parlement grec face à ses responsabilités, avant un vote crucial sur un impopulaire plan d'austérité.
L'adoption du plan d'austérité est "le seul moyen d'éviter un défaut (de paiement) immédiat" de la Grèce et "il n'y a pas de plan B", a prévenu le commissaire européen aux Affaires économiques, Olli Rehn.
La crise grecque "menace de déstabiliser d'autres économies de la zone euro et même le bon fonctionnement de l'union monétaire européenne, avec des effets sérieux pour les perspectives de croissance dans de grandes parties de l'Europe et au-delà", a insisté le commissaire à la Concurrence, Joaquin Almunia.
"Les heures qui viennent seront décisives, capitales non seulement pour le peuple grec, mais aussi pour la zone euro et même pour la stabilité de l'économie mondiale", a enfin renchéri le président de l'Union européenne, Herman Van Rompuy.
Le Parlement grec vote cette semaine sur un programme très impopulaire prévoyant 28,4 milliards d'euros d'économies d'ici 2015 et des privatisations censées rapporter 50 milliards d'euros supplémentaires.
Cette cure, imposé par les bailleurs de fonds internationaux de la Grèce, est la condition sine qua non d'un versement de 12 milliards d'euros de prêts dont Athènes a absolument besoin pour honorer des remboursements de dette autour de la mi-juillet.
Mais son examen a lieu dans un contexte très tendu. Le pays est en grève générale et l'opposition de droite refuse toujours de soutenir l'austérité.
Ces 12 milliards font partie du premier plan de sauvetage grec de 110 milliards d'euros sur trois ans promis l'an dernier par les Européens et le Fonds monétaire international. Il faudra y ajouter plus d'une centaine de milliards dans le cadre d'un deuxième plan de sauvetage dont Athènes a fait officiellement la demande la semaine dernière.
"L'Europe peut seulement aider la Grèce si la Grèce s'aide elle-même", a toutefois averti Olli Rehn.
Des décisions sur le déblocage de la tranche de 12 milliards, mais aussi sur les nouvelles aides, sont espérées lors d'une réunion dimanche des ministres des Finances de la zone euro. Mais la Commission européenne et le ministre néerlandais des Finances, Jan Kees De Jager, ont laissé entendre qu'il faudrait peut-être attendre un peu plus pour le deuxième plan de sauvetage.
La salve de déclarations alarmistes de mardi vise à prendre le contre-pied de propos ayant laissé entendre ces derniers jours qu'il y aurait un plan B si le Parlement grec échouait à voter le programme d'austérité.
Le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble a notamment indiqué que "tout doit être organisé pour affronter le pire". Et un haut responsable européen a évoqué, sous couvert de l'anonymat, des préparatifs pour un tel plan B, assurant que "la prochaine étape n'est pas un défaut de paiement".
Du coup, les responsables de l'UE sont montés au créneau pour s'assurer que la pression sur les élus grecs ne retombe pas.
Sans ce vote, "aucun autre argent ne sera versé et une restructuration (de la dette grecque) devra avoir lieu", a insisté le ministre slovaque des Finances, Ivan Miklos.
Les Européens le martèlent sur tous les tons, les dirigeants politiques grecs doivent désormais "prendre leurs responsabilités".
"L'Europe n'est pas à la source des problèmes, les problèmes ont été créés il y a dix ans", a souligné Herman Van Rompuy, dénonçant notamment "un manque de (responsabilité) politique, un manque de surveillance" des comptes de la nation et une "fraude fiscale massive".

Un article de  leParisien.fr   Lire la suite

Ave Gbagbo! Ceux qui t'ont vu mourir te saluent...




Africains pour douter de la profondeur de l’amitié franco-africaine. L’amour que la France nourrit pour l’Afrique est pour le meilleur et pour le pire. Seules les ’’mauvaises langues’’ persistent à s’imaginer que dans cet attelage, la France s’arroge le meilleur en confinant l’Afrique au pire. Mais peut-être vaut-il mieux pécher par lucidité que par imbécillité. La Cote d’Ivoire donne en effet la pleine mesure de l’immense amour que la France des libertés, de la fraternité et de l’égalité nourrit pour l’Afrique : un amour un peu écarlate, il est vrai. Mais le rouge vif des roses ne symbolise-t-il pas l’éclat de l’amour qu’on témoigne à l’objet aimé?

L’amour de la France pour l’Afrique est donc si rouge et si vif qu’il se confirme comme un amour négrophage, si carnassier qu’il fait de la France une grande puissance hémophage.

Au nom de la démocratie françafricaine, nul n’aurait spontanément imaginé que la France eût simplement pu songer à assassiner près de 3000 jeunes Ivoiriens à Abidjan ! Mais ces chiffres circulent sur internet et sont disponibles dans certaines grandes Chancelleries. Cette nation de la fraternité ne saurait assassiner autant de frères humains : la France a donc seulement supprimé la vie à ces jeunes Africains proclamés criminels pour avoir osé soutenir le Président National qu’ils estiment avoir élu, contre un Président élu par la Communauté internationale. Ils sont passés de vie à trépas parce que le Napoléon nouveau est arrivé en France, et que tout crime africain de lèse Tricorne mérite d’être puni de mort par la Licorne.

Côte d'Ivoire : le Synappci dénonce la "scandaleuse" inculpation de journalistes pro-Gbagbo


 Par André Silver Konan
Un cameraman de la RTI, qui a été au centre de la guerre des images, a été inculpé. © AFP

Après l’inculpation de quinze personnalités - dont des journalistes proches de Laurent Gbagbo - par la justice ivoirienne, la réaction du syndicat de la presse privée ne s’est pas fait attendre. Par la voix de Guillaume Gbato, son secrétaire général, le Synappci a jugé la décision "scandaleuse".

« L'inculpation de certains journalistes est scandaleuse », selon Guillaume Gbato, le secrétaire général du Syndicat national de la presse privée de Côte d'Ivoire (Synappci), réagissant après mise en accusation, ce week-end, par la justice ivoirienne de quinze personnalités proches de Laurent Gbagbo.

Les Japonais sont en train de crever dans l’indifférence des médias !

Appeal for Fukushima

Très mauvaise nouvelle. Pour le moment et compte tenu des technologies aujourd’hui disponibles, l’objectif d’empècher l’explosion nucléaire de l’ensemble du site de Fukushima paraît hors de portée alors que le processus cataclysmique ne cesse de prendre de l’ampleur.

APPEL POUR FUKUSHIMA :LES JAPONAIS SONT EN TRAIN DE CREVER DANS INDIFFERENCE DES MEDIAS !!!

PETITION MONDIALE "APPEL POUR FUKUSHIMA"

Signez la PETITION !! LES JAPONAIS SONT EN TRAIN DE CREVER DANS INDIFFERENCE DES MEDIAS !!!


site international Appeal for Fukushima


Le scandaleux silence au sujet de Fukushima. Fukushima : It’s much worse than you think

Très mauvaise nouvelle. Pour le moment et compte tenu des technologies aujourd’hui disponibles, l’objectif d’empècher l’explosion nucléaire de l’ensemble du site de Fukushima paraît hors de portée alors que le processus cataclysmique ne cesse de prendre de l’ampleur.

par Jean-Paul Baquiast et Christophe Jacquemin - 19/06/2011

Croyant qu’ils se trouvaient face au Président Gbagbo, des pro-Ouattara se font bastonner par Wade


  1. Sénégal – Ce n’est un secret pour personne, l’ONG RADHO,
  2. ONG proche de Ouattara, était parmi ceux qui ont aidé à attiser le feu en Côte d’Ivoire durant la crise postélectorale.
  3. Cette ONG avait notamment dénoncé la confiscation du pouvoir par Laurent Gbagbo qui refusait de reconnaître sa défaite, selon ses termes alors que tout le monde sait les conditions dans lesquels les résultats avaient été proclamés.
  4. Youssouf Bakayoko, qui alors n’avait pas la main libre et n’en a pas non plus jusqu’à présent, avait même été enlevé et transféré en France alors qu’aucune menace ne pesait contre lui.
  5. Ainsi donc, au plus fort de la crise postélectorale, cette ONG: Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADHO) avait mobilisé à Dakar des organisations de la société civile d’Afrique subsaharienne, afin qu’elles parlent d’une même voix, pour que Ouattara soit installé de gré ou de force au pouvoir. Leur parrain, Abdoulaye Wade, était parmi les anti-Gbagbo les plus farouches qui ne voulaient pas que le Président constitutionnellement élu de Côte D’Ivoire au soir des elections de Novembre 2010 prenne son pouvoir. Il soutenait donc les actions que menait cette ONG sur son territoire.
  6. Abdoulaye Wade, a ces derniers jours, alors qu’il met le feu chez les voisins croyant que cela seulement qu’aux autres, met en place une réforme constitutionnelle très controversée.
  7. Cette réforme crée le soulèvement au niveau de la couche sociale et donc se met à manifester pour que cette loi ne soit pas du tout appliquée.
  8. Parmi les manifestants, l’on pouvait voir le RADHO, au côté de la société civile et pour leur dire que là où ils étaient c’était le Sénégal et non la Côte d’Ivoire de Alassane Ouattara, Wade les a fait bastonné copieusement et même fait des blessés parmi eux y compris leur président Alioune Tine.
  9. Source: Wade Le Bon correspondant au Sénégal – Infodabidjan.net
Souce:  infodabidjan.net