jeudi 28 juillet 2011

Sarkozy style: "parvenu m'as tu vu" habillé par le Coq Sportif

Et un déjeuner de travail :" hein Sylvio,on n'est pas là pour se pavaner..
on bosse ici,vu que l'on nous regarde...

Le Vrai Sarkozy, ne respecte pas la Loi !



Un Ministre qui n'applique pas la Loi qu'il avait pourtant lui-même signé !

Conseil Constitutionnel de Côte d'Ivoire dérapages incontrôlés



Avant de s’envoler pour les Etats-Unis, M. Alassane Ouattara a posé un dernier acte en nommant d’autres membres au Conseil constitutionnel le lundi 25 juillet 2011. Cette nomination serait passée inaperçue sans ses conséquences qui semblent remettre en cause aussi bien la crédibilité que l’indépendance de l’institution.

En effet, depuis 2003, le Conseil constitutionnel change dans sa composition tous les trois ans, obéissant à un cycle imposé par la Constitution elle-même (article 89 alinéa2 C). Mais avec l’arrivée de M. Ouattara, cette règle semble ignorée. Alors même que les prochaines nominations étaient attendues pour août 2012, un premier changement de deux membres est intervenu à la mi-mai. Ce 25 juillet 2011, deux autres membres viennent d’être débarqués en plus du Président, portant ainsi le nombre à cinq sur sept. Les deux derniers sont-ils en sursis ? Le changement n’intervient donc plus tous les trois ans, mais à un rythme et une périodicité qui déroutent les observateurs les plus attentifs. Surtout, le constat est que les membres du Conseil constitutionnel peuvent être remplacés avant le terme de leur mandat. Le principe de l’inamovibilité des membres, qui leur est reconnue en vertu de leur assimilation aux magistrats de l’ordre judiciaire (article 5 loi organique n°2001-303 du 05 juin 2001), et qui est l’une des garanties de l’indépendance de l’institution n’est donc plus respecté.

La Cruauté et le crime dans la vie politique africaine

I – Les indépendances africaines ont fait de nous tous les témoins d’une histoire mouvementée aux côtés de peuples qui aspirent au bonheur et à la liberté. Et pourtant par une sorte d’aberration incroyable et d’une inculture sans nom, nous nous sommes retrouvés assassins de nos valeurs et dans des situations où le pouvoir politique a été souvent utilisé pour faire du mal avec une grande dose de méchanceté et de cruauté criminelle.

Les massacres cachés des avions de l'Otan

TÉMOIGNAGES POIGNANTS DE DEUX JEUNES LIBYENS À L'EXPRESSION
C'est sous un déluge de bombes que le citoyen libyen accueille chaque nuit, la peur au ventre, dans l'attente d'une fatale explosion. 

Ils ont respectivement 28 et 30 ans. Ils s'appellent Abdelmalek Al Aqari et Ismaïl Al Gharyane. L'un est médecin et l'autre ingénieur en télécommunications. Ces deux jeunes Libyens, qui ont échappé à l'enfer des bombardements de l'Otan, nous ont fait part de leurs témoignages poignants sur les atrocités et le déluge de feu que crachent les avions des coalisés quotidiennement, jour et nuit sur leurs têtes. Abdelmalek et Ismaïl suffoquent. Choqués à jamais par les spectacles atroces, ils ne trouvent pas les mots pour exprimer leur douleur en voyant cet acharnement meurtrier contre la population civile. «On est fatigués, lessivés et surtout inquiets. On n'oubliera jamais ces images d'enfants carbonisés, ces femmes massacrées et ces vieillards brandissant des rameaux d'oliviers, partis en direction de Benghazi dans le but de mener une mission de réconciliation et de paix. Ils furent bombardés par l'Otan», témoignent-ils avec un courage admirable et réprimant leurs larmes. Des images pleines d'horreur que l'Occident cherche à dissimuler ou à brouiller par une terrible campagne d'intox assumée avec un zèle extrême par Al Jazeera en ce qui concerne le Monde arabe. Face à une telle situation, Abdelamalek s'est tout de suite rendu compte de l'urgence d'une réaction populaire libyenne afin de rétablir les vérités occultées par la manipulation. 

Saga des Frci dans la sous préfecture de Lakota : 4 personnes atrocement tuées à Gragba-Dagolilié

Les villageois de la paisible commune rurale de Gragba-Dagolilié de 300 à 400 habitants, dans la sous-préfecture de Lakota sont encore sous le choc.

Pis, ils continuent de dormir non seulement la peur au ventre, mais dans la psychose. S’ils ne se terrent pas en brousse dès qu’ils voient un véhicule venir vers le village.

Les faits selon des témoins « remontent au 8 avril dernier, lorsque des éléments des Frci ont fait irruption dans ce village pour non seulement brûler des habitations mais aussi rançonner le chef central M. Seripka Dago » Ce, à la demande d’un burkinabé qui a payé une parcelle de forêt avec un habitant de ce village.
Ce dernier aurait trouvé la mort dans des conditions troubles. Alertés par des allogènes, les Frci vont revenir sur leurs traces, c’est-à-dire à Gragba- Dagolilié, pour se venger dans le sang. Le bilan est lourd.

AMNESTY ACCUSE DES DOZOS DE CRÉER UN CLIMAT DE PEUR AU RETOUR DES PERSONNES DÉPLACÉES


Abidjan, 28 juil (AIP)-L’organisation internationale de défense des droits de l’homme, Amnesty international (AI) accuse, dans un rapport publié jeudi, des dozos notamment de créer un climat de peur au retour des personnes déplacées à leurs domiciles.


Intitulé “Nous voulons rentrer chez nous, mais nous ne pouvons pas”, le rapport d’Amnesty international publié sur son site relève que des centaines de milliers de personnes déplacées suite aux violences postélectorales sont empêchées de retourner chez elles par des “forces de sécurité gouvernementales et une milice composée de dozos (chasseurs traditionnels) qui créent un climat de peur”, notamment dans l’ouest du pays.


Amnesty international qui dit avoir mené durant deux semaines une enquête sur “les crimes au regard du droit international et les violations et atteintes aux droits humains commis à Abidjan et dans trois autres régions du sud et de l’ouest du pays, a relevé “l’existence d’une relation étroite entre les dozos et les FRCI (forces pro-ouattara), y compris en termes de fourniture de matériels, de munitions et en matière de planification d’opérations”.

Rumeurs récurrentes de déstabilisation, La France et l’Onu au four et au moulin pour sauver le régime Ouattara



Le nouveau chef de l’Etat ivoirien, Alassane Dramane Ouattara, semble dormir que d’un œil. Devant les rumeurs de coup d’Etat ou de rébellion armée dont bruit le tout Abidjan, depuis quelque temps. Des informations visiblement  infondées dont les habitants de la capitale économique sont pourtant abreuvées de façon cyclique. Il n’empêche,  le nouveau régime est sur le-qui-vive, au point de délaisser les chantiers de la réconciliation nationale, de la reconstruction et du développement économique du pays, en lambeaux.
En dépit des  recommandations du séminaire gouvernemental du 05 et 06 juillet derniers. C’est le compte rendu du conseil des ministres du mercredi 29 juin dernier qui met la puce à l’oreille de plus d’un ivoirien. Il y est mentionné que Alassane Dramane Ouattara à l’intention de rencontrer, ce jour-là, ses homologues du Ghana, John Atta Mills et du Liberia, Ellen Johnson Sirleaf en marge du 17è sommet de l’Union Africaine (Ua), à Malabo, en Guinée équatoriale. Officiellement, il s’agissait de sécuriser les frontières communes. En réalité, selon des sources concordantes, il était question de convaincre ces deux  Chefs d’Etat voisins sur la nécessité d’aider à la protection du pouvoir Ouattara. Le chef de l’Etat ivoirien voit, à tort ou à raison, en la présence des réfugiés ivoiriens au Ghana et au Liberia (officiellement, 140.000 Ivoiriens sont regroupées dans des camps) une menace constante. Cette préoccupation est également partagée par son gouvernement qui l’a fait savoir à la réunion du conseil des ministres de l’Union du fleuve Mano, le samedi 16 juillet, à la Mairie de Monrovia (Liberia). Une réunion à laquelle ont pris part trois ministres ivoiriens : à savoir les ministres des affaires étrangères, Kablan Duncan, de l’intégration africaine, Adama Bictogo et celui délégué à la Défense, Paul Koffi Koffi. Ils étaient tous là pour supplier leurs homologues afin qu’ils sensibilisent (encore un peu plus) leurs présidents afin qu’aucun militaire ou mercenaire ne franchisse la frontière commune pour déstabiliser le pouvoir fraîchement acquis d’Alassane Ouattara. En somme, ils ont plaidé pour que la Sierra Léone, la Guinée et le Liberia qui font partie de l’Union, au même titre que la Côte d’Ivoire, ne servent pas de base arrière à un projet de déstabilisation.

Grande JOURNEE de la SOLIDARITE ,de LEVEE de FONDS et de COLLECTE [HQ]


Ce SAMEDI 30 Juillet de 10H à 20H au STADE *SOUS La LUNE* de NOGENT sur Marne --> Metro Chateau de Vincennes puis Bus 210 Arrêt Rue du Port **contact 0646570838-0761024385-06638108​59- Maître CAZENAVE Huissier de Justice à Fontenay sus Bois
Source : Facebook

Panique dans le camp Ouattara: Wattao au Ghana depuis hier pour désamorcer la bombe

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Alors que la rumeur d’un coup de force militaire contre le régime Ouattara enfle à Abidjan, le chef rebelle Issiaka Ouattara dit Wattao est parti au Ghana, hier mercredi 27 juillet 2011. C’est que des milliers d’Ivoiriens, civils et militaires pour la plupart proche du président Laurent Gbagbo, ont trouvé refuge dans ce pays voisin à la Côte d’Ivoire.
«Je vais au Ghana aujourd’hui (mercredi 27 juillet 2011, Ndlr) et je serai de retour vendredi( 29 juillet 2011). Je vais travailler pour le pays, c’est tout ce que je peux vous dire. Quand je serai de retour, on va se voir pour parler », nous a confié hier Wattao, au téléphone, quelques heures avant de quitter Abidjan.Si l’ancien chef d’Etat-major adjoint des Forces rebelles du nord n’a pas voulu en dire davantage sur le contenu de sa mission, de bonnes sources indiquent que son voyage au Ghana vise, pour lui, à avoir un contact physique avec les Ivoiriens exilés depuis plusieurs mois dans ce pays. D’ailleurs, au cours d’un meeting mardi dernier à Port-Bouët, le chef rebelle Wattao avait clairement affiché sa volonté d’aller à la rencontre des Ivoiriens réfugiés au pays d’Atta Mills pour leur demander de rentrer en Côte d’Ivoire et proposer un schémas de discussion avec le camp Ouattara dont il est issu.
Comme l'avait annoncé le COM'THEATRE dans son message à la nation hier, Wattao participera à la discussion avec certains de ministres de Ouattara envoyés aussi en mission pour "calmer les esprits" selon les propres termes de Ouattara.
Hier, Wattao a donc joint l’acte à la parole au moment où une tentative de déstabilisation du pouvoir Ouattara fait grand bruit à Abidjan.
Déjà des voix se lèvent pour dire non à cette négociation, que beaucoup de patriotes voient comme une tentative de diversion du camp Ouattara pour gagner du temps afin de mieux s'organiser pour parer à toute éventualité.

Source: L'inter
Source Par thruthway /cotedivoire-lavraie

Alpha Blondy l'homme qui valait 300...$

"Entre deux concerts en France et en Angleterre, Alpha Blondy, la star mondiale du Reggae, a bien voulu s’ouvrir au quotidien Le Patriote".
C'est en ces termes que débute un article,une interview d'Alpha Blondy merveilleux chanteur qui à touché aux travers de ces productions des millions de coeur.
Malheureusement il n'est guère convaincant quand à ses prises de positions politico-religieuses qui s'avèrent être un mixage étonnant,pour ne pas dire "détonnant":


Voici quelques moments d'anthologies :

Libye : Kadhafi est "prêt au sacrifice" | France Soir







Libye : Kadhafi est "prêt au sacrifice" | France Soir:
Mouammar Kadhafi profite de l'enlisement du conflit libyen pour multiplier les menaces sur les rebelles, qui lui ont fixé un ultimatum, pour qu'il quitte le pouvoir. Pendant ce temps-là, à Londres, la Grande Bretagne invite l'organe politique de la rébellion à s'installer à l'ambassade du pays."

Nasrallah menace Israël d’attaquer ses installations pétrolières

Le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a mis en garde Israël contre toute tentative de toucher aux ressources pétrolières du Liban.


Pour le cinquième anniversaire de « la victoire de juillet 2006 », le Hezbollah a vu grand : un gigantesque rassemblement dans la banlieue sud accompagné d’une exposition de « butins de guerre » (notamment des pièces du fameux blindé israélien Merkava), de nouvelles chansons pour insister sur « la libanité » du Hezbollah, des documentaires célébrant l’événement, comportant des interventions du président de la Chambre et du général Aoun, et un discours de Nasrallah, le tout après l’hymne national... 

Paupérisation et développement en Afrique. Par Engelbert Mveng.

http://www.peuplesawa.com/archivespics1/667.jpg
Des chefs d`États, des hommes politiques, devenus mendiants, sont vite transformés en marionnettes ou en toupies entre les mains des manipulateurs invisibles qui font tourner le monde.
I. "La clameur de mon peuple..." ( Exode... )

Le président Ronald Reagan, faisant ses adieux aux États-Unis après son double mandat, déclarait à la face du monde que jamais l´économie des États-Unis n´avait été aussi prospère ! Au même moment, partout en Afrique et dans le Tiers-monde, monte le cri de désespoir de peuples innombrables écrasés par une crise économique aveugle, insatiable, implacable, lâchée comme une meute de chiens enragés sur nos peuples affamés, depuis bientôt trois ans.