lundi 30 janvier 2012

Surveillons l'USS Entreprise ! (Vidéo à ne pas manquer)


Bayrou - Hollande distribue déjà les places-

Côte d’Ivoire – France: Oh honte! il ne sait pas que la France n’est plus à la mode!



Alassane chez son patron
Il ne le sait pas. Et cela me permet de comprendre pourquoi les petits Sénoufo ivoiriens l’appelaient à l’époque Mossi Dramane. Quel broussard de l’esprit !
La France n’est plus à la mode. Se faire accueillir en France n’est plus à la mode. Parce qu’il n’y a rien à y gagner. C’est comme se faire accueillir en fanfare par des mendiants ou des affamés. Leur grande joie de vous voir, sans s’interroger sur votre lugubre réputation, traduit tout simplement l’espoir de trouver à croquer et à grignoter après avoir essuyé le sang qui a souillé la poche qui offre. Parce que ce qui sera offert sort de la poche d’un criminel aux mains pleines de sang.

Ouattara à Paris : une prise de parole problématique, par Théophile Kouamouo


Décidément, il faut se rendre à une évidence. Anne Méaux, patronne de l’agence de communication Image 7, qui corrompait les patrons des médias français pour le compte du dictateur tunisien déchu Zine El Abidine Ben Ali, selon des révélations du Canard Enchaîné, et dont le client africain le plus en cour actuellement à Paris est Alassane Ouattara, fait du bon boulot. A chacune des (très nombreuses) visites de l’homme qui dirige aujourd’hui la Côte d’Ivoire en France, elle lui obtient nombre d’interviews et de plateaux télé. Du coup, l’on peut avoir l’impression (fâcheuse) que Ouattara s’exprime bien plus lorsqu’il est sur les bords de Seine que quand il se trouve sur les rives de la lagune Ebrié.

GRANDE MARCHE PANAFRICAINE

GRANDE MARCHE PANAFRICAINE : samedi 11 février 2012 les Africains, les Afro-descendants et tous le peuple noir et Arabe s'invitent dans la campagne présidentielle en France. "nous avons notre mot à dire" le samedi 11 Février 2012 de 13h00 à 19h30. Rassemblement place de la Bastille et nous marcherons jusqu'à la place d'Italie. participerons à cette marche : la Côte d’Ivoire, le Kongo, le Cameroun, les caraïbes, la Libye, la Tunisie, l'Egypte, l'Algérie, le Sénégal, le Gabon, le Togo, le Bénin, la Guinée Bissau, le Mali, Madagascar et bien d'autres pays qui n'ont pas encore confirmés leur présence. faire suivre ce message sans modération
Source F.B Abel NAKI

Dramane et la solution des oboles symboliques




L’information est tombée la semaine dernière. Dramane Ouattara a promis au patronat Français, réticent à venir investir dans un pays dont le système sécuritaire repose sur la science d’un dozo ( Koné Zakaria, le responsable de la police militaire raconte quelque part comment il est devenu dozo), de lui vendre toutes les banques de la Côte d’Ivoire.
Quand on se rappelle de sa technique de vente, les Ivoiriens peuvent être sûrs qu’ils n’en tireront qu’une obole symbolique. Cela faisait-il partie de son programme de gouvernement ? D’aucuns nous diront qu’il n’avait pas besoin de l’écrire et de nous prévenir parce que c’est un proverbe de chez nous qui dit qu’un chien ne change jamais sa manière de s’asseoir.

Pour comprendre les derniers événements de janvier en Côte d’Ivoire

Tapé GROUBERA
Depuis le début mois de janvier 2012, la Côte d’Ivoire connait beaucoup de mouvements : arrivée de la secrétaire américaine Hillary CLINTON, suivi de sa déclaration, l’envoie par Sarkozy d’un n ième conseiller à son « petit » Ouattara (pour emprunter les mots aux Ivoiriens), sans oublier l’attaque du meeting du Front Populaire Ivoirien. Enfin, il y a l’arrivée en France de M. Ouattara. Mais qu’est-ce qui cache tous ces évènements ?

POURQUOI DEMANDE-T-ON AUX EVEQUES DE DEMANDER PARDON ?

« Nos évêques doivent s’excuser. Ils doivent demander pardon aux Ivoiriens pour ce qu’ils ont fait pendant la crise »

Getty Images
Ce titre ronflant barrait, le mercredi 25 janvier dernier, la une d’un journal auquel je ne veux faire aucune publicité en le nommant ici mais qui se reconnaîtra forcément. Dans la forme, je relève deux ambiguïtés majeures dans cet article :première ambiguïté : à la une de ce journal, il est clairement écrit : « Le Chef de l’Etat a ouvert hier, à Yamoussoukro, la conférence des Evêques de l’Afrique de l’Ouest ». En gros plan on peut lire : « Nos évêques doivent s’excuser ! » « Ils doivent demander pardon aux Ivoiriens pour ce qu’ils ont fait pendant la crise ». La question que je me pose est de savoir qui est l’auteur de ces phrases ? Est-ce le Chef de l’Etat qui ouvre les travaux de la Conférence épiscopale de l’Afrique de l’Ouest à Yamoussoukro ou le journaliste qui écrit cet article ? Tentative de réponse : pour celui qui comme moi n’a pas suivi l’ouverture de ces travaux et donc le discours qu’aurait prononcé le Chef de l’Etat à cette occasion, l’auteur de ces phrases ne peut qu’être l’auteur de l’article, c’est-à-dire le journaliste de ce canard. Ce qui me conforte dans ma réponse, c’est qu’aucune de ces phrases n’est mise entre guillemet. En grammaire, nous connaissons le rôle, la mission et la valeur de ces signes. Comprenez avec moi que l’ampleur de ces propos eût été proportionnelle à la qualité de celui qui les tient. Si ces propos avaient été prononcés par le Chef de l’Etat lui-même, ils auraient été plus graves que s’ils sont écrits par un simple citoyen, en l’occurrence ce frère journaliste.

Le Ps et le Senat refusent de recevoir Ouattara

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Le Ps et le Senat français ont tous refusé de recevoir Dramane Ouattara dans sa balade parisienne. Il sait son ami au crépuscule de sa carrière politique. D’ailleurs, Sarkozy le reconnaît lui lorsqu’il évoque une possible défaite à la présidentielle. «Depuis que je fais la politique, c’est la première fois que je suis confronté à la fin de ma carrière», a-t-il confié à des journalistes, en pensant à sa position qui plonge de plus en plus dans les sondages.
Quasiment à sa septième ballade dans la capitale parisienne depuis qu’il s’est retrouvé au palais, Ouattara sait que son ami Sarkozy qui tient son pouvoir est visiblement en train de partir. Ce qui n’est pas bon signe pour lui. Car l’homme est bien au courant qu’il n’est pas le choix des Ivoiriens qui continuent de regarder son pouvoir de loin.

Primature – Qui a mis le feu aux bureaux de Soro Guillaume?

Incendie de la primature
Un incendie s’est déclenché ce samedi 28 janvier 2012, aux environs de 7 heures 40 minutes, dans les locaux de la Primature au Plateau.
La direction des Affaires Financières et du Matériel est partie en fumée. Les circonstances exactes de l’incendie ne sont pas encore connues, mais une enquête devrait permettre de savoir les causes réelles du feu qui a entièrement ravagé les installations et le bâtiment construit en bois situé au sein de la Primature, lieu de travail du Premier ministre.

Un préfet à Paris…


Nicolas Sarkozy est bien l’homme de la rupture : rupture des engagements pris, rupture du principe d’égalité entre citoyens au moyen d’une politique visant à protéger les classes les plus favorisées, rupture du pacte républicain, notamment avec l’ouverture d’un débat nauséabond sur l’identité nationale et pour ce qui nous amène ici, rupture avec les usages de la république en dévoyant le protocole de la présidence.
C’est en effet la première fois dans l’histoire de la Vème république qu’un préfet aura été reçu avec les honneurs dus à un chef d’état, couverture médiatique maximale à l’encan.
Alassane Ouattara, le boucher d’Abidjan, brave petit soldat d’un ordre mondial se vautrant dans la rapine et le crime de masse, vivant de la spoliation des peuples, au nom des droits de l’homme, de la démocratie et du progrès humain, a été l’heureux bénéficiaire de cette entorse aux traditions républicaines, dernier crachat sarkozyste à la face de l’Afrique.