jeudi 23 juin 2011

LES ÉMISSAIRES DE OUATTARA ÉCHOUENT À CONVAINCRE LE COL KONAN BONIFACE.

Depuis son exil
Le Col-major Konan Boniface parle:
«Je rentrerai au moment opportun»
D’ordinaire peu bavard, on n’avait eu aucune nouvelle de lui depuis l’arrestation du président Gbagbo. Le Colonel-major Konan Boniface, ex-Commandant du théâtre des opérations et des célèbres Fumaco (fusiliers marins commando), une unité d’élite de l’armée ivoirienne, a fait parler de lui récemment.

Libye: Kadhafi se déclare "dos au mur"

Mouhammar Kadhafi réaffirme ce mercredi, qu'il il ira jusqu'au bout dans la lutte contre "les croisés".
Le colonel Mouammar Kadhafi a affirmé ce mercredi soir qu'il était "dos au mur", qu'il ne craignait pas la mort et que la bataille contre l'Occident "croisé" se poursuivra "jusqu'à l'au-delà", dans un message sonore diffusé par la télévision libyenne. "Il n'y a plus aucun accord entre nous après que vous ayez tué nos enfants et nos petit-enfants (...). Nous sommes dos au mur. Vous (l'Occident) pouvez faire marche arrière", a-t-il ajouté. "Nous n'avons pas peur. Nous ne cherchons pas à vivre ou à nous sauver", a-t-il dit dénonçant une croisade lancée contre un pays musulman, visant des civils et des enfants.
Kadhafi ému par la mort d'un compagnon
"Nous résisterons et la bataille se poursuivra jusqu'à l'au-delà, jusqu'à ce que vous soyez achevés. Mais nous ne serons pas finis", a déclaré le colonel Kadhafi dans un hommage à son compagnon, Khouildi Hmidi, dont plusieurs membres de sa famille ont été tués ce lundi dans des raids de l'Otan sur sa résidence. "De quel droit vous visez les hommes politiques et leurs familles?", a dénoncé le colonel Kadhafi, la voix grave.
Il a affirmé que le bureau de Khouildi Hmidi à Tripoli avait été bombardé à quatre reprises."Ils le cherchaient parce que c'est un héros. Quand ils ne l'ont pas trouvé dans son bureau, ils ont voulu le tuer dans sa maison, a-t-il dit. Il a appelé l'Onu à envoyer des enquêteurs à la résidence bombardée de M. Hmidi pour vérifier qu'il s'agit d'un site civil et non militaire comme le dit l'Otan. Il a promis par ailleurs de construire un monument, "le plus haut en Afrique du Nord", à la gloire de Khaleda, quatre ans, la petite-fille de M. Hmidi, tuée dans le raid, selon les autorités de Tripoli.
La responsabilité de l'OTAN
Ce lundi, l'Otan a mené un raid aérien à Sorman, à 70 km à l'ouest de Tripoli, visant une résidence de Khouildi Hmidi, un homme politique influent et (...) Lire la suite sur lexpress.fr

Aucun test sur les mesures radioactives au Canada: toutes les agences refusent de procéder à des tests!


* Vous savez pourquoi?  Parce que les cultures, les élevages, l'eau de consommation et tous les produits de consommation sont probablement irradiés.  Parce que nous sommes tous les jours sous des pluies invisibles de matières radioactives, condamnés sans relâche à des cancers mortels...

Détention de Laurent Gbagbo, persécution des cadres Lmp… : La réconciliation nationale piégée


Publié le jeudi 23 juin 2011 | Le Temps
Alors que le nouveau pouvoir dit vouloir réconcilier la Nation brisée par la guerre, Laurent Gbagbo, sa famille et nombre de ses collaborateurs sont détenus dans diverses geôles à travers le pays. Pendant que les cadres Lmp font l’objet d’une traque sans répit et subissent des représailles de tous genres. Un paradoxe qui est loin de traduire en actes une réelle volonté de «remettre les Ivoiriens ensemble».

La crise a transformé l’Espagne en Espagnistan


Comprendre la crise espagnole en 6 minutes.


Emeutes à Dakar


Emeutes à Dakar (forte tension): Aliou Tine gravement blessé et il est transporté a l'hôpital





FRCI au Ghana


-Publié le jeudi 23 juin 2011 | L'Inter  Des éléments présentés comme étant issus des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI), au nombre de quatre, ont été capturés hier mercredi 22 juin au Ghana par la Police de John Atta Mills. Selon la source qui nous a donné l'information, les faits se sont déroulés à Elubo, première localité ghanéenne frontalière de la Côte d'Ivoire. C'est aux environs de 14h, a confié notre source, que les quatre éléments FRCI, partis d'Abidjan, sont arrivés à la frontière ivoiro-ghanéenne à bord d'une double cabine blanche immatriculée M328 FE 01. Le véhicule à bord duquel étaient ces hommes en armes, a-t-on précisé, appartiendrait au Port Autonome d'Abidjan (PAA). 

Presse : Ecrits offensants et injurieux pour le président et les Frci / Le CNP va frapper fort


Publié le jeudi 23 juin 2011 | Le Patriote
© Abidjan.net 
Monsieur Eugène Kacou, Président du CNP
Avec le retour des journaux dans les kiosques, le CNP se réjouit des efforts fournis par les Rédactions pour proposer aux lecteurs des informations traitées avec beaucoup plus de rigueur professionnelle. Cependant, depuis quelques semaines, le CNP relève dans certaines publications des écrits émanant de journalistes ou de contributeurs extérieurs, tendant à :
- ne pas reconnaître la légitimité du président de la République ;
- traiter les Forces républicaines de Côte d`Ivoire (FRCI) « de milices, de rebelles, d`hommes, de combattants ou de forces de OUATTARA » ;
- opposer, du point de vue de la légalité, les FRCI aux autres forces de défense et de sécurité, notamment la Police et la Gendarmerie. Le CNP relève, d`une part, que Monsieur Alassane OUATTARA a été régulièrement élu Président da le République de Côte d`Ivoire et a prêté serment en cette qualité devant le Conseil constitutionnel, et, d`autre part que les Forces Républicaines de Côte d`Ivoire, instituées par l`Ordonnance n° 2011-002 du 17 mars 2011 suite à la fusion des ex Forces Armées Nationales de Côte d`Ivoire (FANCI) et des ex Forces Armées des Forces Nouvelles (FAFN), constituent désormais l`armée régulière de l`Etat. 

En conséquence, le CNP rappelle l`ensemble des responsables de publications au respect de leurs obligations professionnelles et informe qu`il ne saurait tolérer davantage des écrits, d`où qu`ils viennent, offensants pour le Président de la République et injurieux pour l`Institution Militaire de l`Etat. 

Pour le CNP / Le Président
Eugène DIE KACOU

Le kidnapping à Abidjan Une pratique des Frci pour se faire de l’argent


NOTRE VOIE - Jeudi 23 Juin 2011 - 11:44



Depuis qu’ils sont entrés dans la capitale économique ivoirienne avec les nouvelles armes que leur ont offertes le Nigeria et la France, les hommes de Ouattara pillent, séquestrent, enlèvent et tuent tous les supposés partisans de Laurent Gbagbo. Il y a quelque temps, ils ont inventé un autre moyen de se faire de l’argent : le rapt. Lorsqu’ils vous enlèvent, ils font exactement ce que font les terroristes. A savoir, revendiquer l’enlèvement et ensuite demander une forte somme d’argent pour la libération de celui ou celle qui a été enlevé. Généralement, selon que vous habitez tel ou tel quartier, selon que vous êtes fortuné ou pas, vous payez entre 800.000 et 6 millions de FCFA. Dans les villages et campements, la somme varie entre 70.000 et 200.000FCFA. Voici un enlèvement raconté par une dame dont le frère et la famille ont vécu un enfer avant d’obtenir la libération d’un des leurs.

BAYOTA-POUR VENGER UN GUINÉEN, DES DOZOS TUENT 3 BÉTÉ!

Bayota : Descente musclée des Dozos dans un village. Bilan, 3 morts et plusieurs blessés.
Les autochtones du village de Sanepa, situé à une vingtaine de kilomètres de la sous-préfecture de Bayota ont connu une terrible nuit, celle de lundi à mardi dernier.

Dans la nuit du lundi à hier mardi, aux environs de 23 heures, des allogènes du village de Zanepa, aidés de dozos, armés de gourdins, machettes et fusils ont fait une descente «punitive» chez ‘‘leurs tuteurs’’. Bilan de cette triste nuit, un mort et plusieurs blessés. Alors que tout semblait normal dans ce paisible village de Sanepa, où autochtones bété et allogènes dioula et étrangers ont toujours vécu en parfaite harmonie, les choses vont prendre une autre tournure ce lundi nuit.

DECLARATION DU MOUVEMENT DES FORCES VIVES DE LA NATION

C’est avec stupeur que les sénégalais ont appris le jeudi 16 juin 2011 à 23 heures la nouvelle trouvaille du Président Wade visant à instaurer le mécanisme du ticket à la prochaine élection présidentielle .Cette réforme préparée clandestinement revêtira la forme d’une loi constitutionnelle dont le projet est déjà adopté par le gouvernement du Sénégal et déposé sur la table de l’Assemblée Nationale. Si elle venait à être adoptée par ses députés et sénateurs, cette loi scélérate aura des implications importantes sur les plans juridique, institutionnel et politique.