Ne soyons pas dupe la françafrique et les gouvernements français qui se sont succédés depuis ces soixantes
dernières années,c'est "blanc bonnet et bonnet blanc".
Au travers des déclarations douteuses de Monsieur Bourgi on peut voir la volonté du gouvernement de Mr Sarkozy de continuer ce mouvement de recolonisation et de remodelage de l'Afrique.Il va s'attaquer maintenant à ses "amis" africains qui vont passer aussi à la trappe.
Monsieur Sarkozy fait preuve d'un cynisme hors norme en faisant abstraction de la Côte d'Ivoire et du Président Gbagbo qui est un modèle quand à une volonté politique de démocratie.Il noye le poisson pour retrouver une nécessaire"virginité".Monsieur Sarkozy qui veut nous faire croire par l'entremise de Monsieur
Copé secrétaire générale de l'UMP qu'il semble plus préoccupé par les grands défis auxquels la France doit faire face que par les élections de 2012.La politique de rupture de Monsieur Sarkozy est une politique
de décollation,et souvent se sont des boucs émissaires qui montent à l'échafaud.
L'avocat Robert Bourgi.
AFP/LUDOVIC MARIN
Par Christine Muratet
« Je veux une France propre. Je veux une relation avec l'Afrique assainie (...) je veux aider le président dans sa politique de rupture. Ce n'est pas l'homme à encourager les chefs d'État qui restent 30, 35, 40 ans au pouvoir ». Robert Bourgi a allumé un incendie en accusant Jacques Chirac d'avoir reçu des financements africains occultes, accusations reprises à Abidjan, alors que l'ex-président français a annoncé qu'il portait plainte pour diffamation. Dans Le Journal du Dimanche publié hier, Robert Bourgi, 66 ans, avocat d'affaires franco-libanais devenu le « Monsieur Afrique » décrit avec luxe de détails des remises de fonds émanant de chefs d'État africains."
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Philippe Ehua