mercredi 9 novembre 2011

Situation en Libye 9 novembre


Libye – Un jeune homme Libyen de Taouerga a été torturé par ce qu'il est noir (9 novembre 2011)
Source : ALGERIA ISP

ALGERIA ISP / Selon Chabab Libya EL Ahrar, un jeune homme de 24 ans, monsieur Ibrahim Khaled, qui est un chauffeur de taxi de la ville de Taouerga a été enlevé par le bataillon de Misrata.
Ils l'ont humilié et torturé parce que il est libyen NOIR de Taouerga !!
Cette haine contre les libyens de peau noir en Libye a été crée par Eljazeera et ses commanditaires en lançant des rumeurs que le guide Kadhafi a recruté des mercenaires africains.







Libye – Une carte militaire illustre les régions occupées en Libye (9 novembre 2011)
Source : ALGERIA ISP
ALGERIA ISP / Selon Chabab Libya EL Ahrar, cette carte militaire illustre les régions occupées en Libye.
En couleur rouge : les régions occupées par le CNT.
En couleur noir : les régions occupées par la Qaida.
En couleur verte : les régions occupées par l'armée e la libération de la Libye.
Ce qui prouve que la Libye pourra redevenir verte.


Libye – Libye – L'agresseur du guide Kadhafi a été identifié (9 novembre 2011)
Source : ALGERIA ISP

ALGERIA ISP / Selon Zengtena, le rebelle qui a agressé le guide Kadhafi avec un couteau ou un
morceau de fer par derrière en blessant le guide Kadhafi. Un geste immorale. Il a été identifié, il s'agit de « Jibril Osmane » qui est du bataillon 051 de Misrata et il habite à Misata.
Il est recherché par les combattants de l'armée de la libération de la Libye. Il est condamné à mort !




Libye – La Tunisie se couche devant le CNT
Source : Allain jules

Le 3 novembre dernier, dans un article intitulé « La Tunisie va-t-elle se coucher devant le CNT ? », nous nous interrogions sur le bien fondé d’une telle mesure. D’abord, l’arrestation de l’ancien premier ministre de Mouammar Kadhafi Al

Baghdadi Ali al Mahmoudi, accusé d’être entrée illégalement en Tunisie, est un déni de la vérité. Quand un pays est en guerre, ses habitants qui fuient la terreur, ne doivent pas être considérés comme des immigrés illégaux. D’ailleurs, c’est même inhumain de les traiter de la sorte. La Tunisie qui a vu ses fils fuir en Italie ferait quoi, si ces derniers sont jugés et emprisonnés ?

La demande d’extradition de l’ancien Premier ministre de Mouammar Kadhafi, Al Baghdadi Ali al Mahmoudi, examinée ce jour, 8 novembre, a été approuvée par la Justice tunisienne. Peut-on vraiment parler de justice ? Qu’est-ce qui peut motiver cette action ? La folie meurtrière du Conseil national de transition (CNT), agrégat de renégats, de malfrats, de traîtres, d’islamistes obscurantistes et de bandits de grands chemins n’est pourtant plus à démontrer. Comment la Justice tunisienne peut-elle se coucher devant ces gens ? A défaut, la Tunisie est simplement devenue le vassal de l’OTAN.

La Tunisie et sa Justice viennent de démontrer au monde entier les prostituées de l’Occident. L’inhumanité de leur action prouve que rien n’a changé. Alors que Me Mabrouk Korchid, son conseil, avait à juste titre mis en avant les menaces planant sur la vie de son client s’il était extradé en Libye, la Justice tunisienne envoie donc à l’abattoir, un homme. Il faut, certes, dire le droit, mais, la jurisprudence existe dans des cas spéciaux. La logique voudrait, aussi, que la législation Kadhafi-Ben Ali ne soit pas appliquée, en matière d’extradition. Les deux ont été renversés.



Dar Yasmine, un centre au service des femmes en difficulté
Source : APS
TIPASA - Le Centre National des Femmes Victime de Violence et en Situation de Détresse (CNFVSD) de Bou Ismail, dans la wilaya de Tipasa, plus connu sous le nom de "Dar Yasmine" offre aux femmes en difficulté un espace de vie convivial qui les aide à se reconstruire, se réinsérer dans la vie sociale. Voire même à refaire leur vie.

"Dar Yasmine", un nom de fleur proposé par l’ex ministre de la solidarité, Djamel Ould Abbès, apporte un plus à des femmes qui n’ont pas été gâtées par la vie où elles ont trouvé un semblant de vie familiale à l’abri des dangers.

Le centre, qui a ouvert ses portes en 1998 pour recevoir les femmes victimes de viol commis par des terroristes, puis élargi à toutes les victimes du terrorisme et de la violence conjugale ou autre, abrite actuellement 30 femmes et jeunes filles dont des sans domiciles fixes qui ont été arrachées à la rue.

D’une capacité d’accueil de 20 lits, le centre pouvait en charge entre 20 et 40 personnes, selon les situations d’urgence, a indiqué à l’APS sa directrice, Benghanem Hanifa, précisant qu’il leur arrive très souvent de refuser des femmes faute de place, lesquelles sont, en général, orientées vers d’autres structures, en fonction de leurs problèmes et leur situation particulière.

Début 2007, le centre a fait l’objet de travaux d’extension pour plus de 9 millions de DA qui porté ses capacités d’accueil à 60 pensionnaires. S’agissant de la tranche d’âge des femmes hébergées dans ce centre, la directrice a signalé que celle-ci se situe va de 18 à 60 ans.

Les pensionnaires, quant à elles, sont issues de diverses catégories sociales, avec une prédominance cependant de mères célibataires, de femmes divorcées et des femmes victimes de violence conjugale ou familiale.

Lors de notre passage au centre, les pensionnaires, une trentaine, vaquaient à leurs occupations. Un petit groupe répétait une pièce théâtrale, un autre se prélassait au salon en regardant un programme à la TV, au moment où certaines femmes déambulaient entre la cuisine et leurs chambres.

Autrement dit, un parfait train de vie familiale, avec ses moments de loisirs et ses travaux pratiques, ici, des travaux d’apprentissage au sein de 4 ateliers de l’établissement pour apprendre la couture, la coiffure, la broderie et enfin celui réservé à l’alphabétisation et aux cours d’informatique.

Redonner l’envie de vivre à des femmes qui ne croient plus en l’avenir

Depuis son ouverture, le centre, une EPA (entreprise publique à caractère administratif), qui emploie une quarantaine de personnes, a hébergé plus de 1000 femmes.

Il en a mariées 13, réinséré des dizaines au sein de leurs familles, placé plusieurs autres dans des familles d’accueil, obtenu des logements sociaux pour trois, qui vivent complètement autonomes, et trouvé du travail pour d’autres encore.

La réinsertion socioprofessionnelle est l’objectif principal des responsables de ce centre, a souligné sa directrice, qui se félicite d’avoir réussi à ’régler 90% des problèmes de ses pensionnaires, avec la contribution de différents services, dont ceux de la DAS et de la wilaya, qui "s’impliquent beaucoup dans cette mission de prise en charge des femmes en détresse", a-t-elle précisé.

La réinsertion par le travail et la formation est le principal axe de travail dans ce centre qui est arrivé à placer cette année une dizaine de jeunes filles dans des écoles et centres de formation, entre autres à Corso (Boumerdès), Birkhadem (Alger) et Tipasa.

Durant l’année 2006, le CNFVSD a hébergé une trentaine de mères célibataires sur les 117 pensionnaires recensées, Sur ces pensionnaires, 32 ont bénéficié de réinsertion familiale après un séjour thérapeutique au sein de l’établissement, 17 récupérées aussitôt par leur famille après leur accouchement, 25 suivies à l’extérieur (chez elle ou dans des familles d’accueil), 11orientées vers des institutions spécialisées (maison acceptant des enfants ou des personnes âgées), deux (02) envoyées en formation spécialisée (assistante sociale et styliste), et enfin une vingtaine en phase d’investigation psychosociale.

Un règlement intérieur strict est soumis aux pensionnaires dont les entrées et sorties sont réglementées sur la base d’un engagement moral signé par elles avant leur admission.

Outre un suivi psychologique régulier dans le centre, un suivi médical hebdomadaire est pris en charge par les responsables du centre qui font appel à des médecins bénévoles de Bou Ismail, "très à l’écoute des besoins du centre en particulier en matière de prise en charge gynécologique", a indiqué la directrice.

"Les bonnes volontés existent pour venir en aide aux femmes du centre sous diverses formes", a tenu à témoigner, à cet égard, Benghanem.

Des projets, Mme Benghanem en a pour ses pensionnaires, qu’elle appelle affectueusement "mes filles". Ceux-ci, qui se concrétiseront prochainement sur un espace de 7 ha, portent sur la réalisation d’une vingtaine de chambres, d’un terrain de sport et sur l’aménagement d’espaces verts pour rendre les lieux encore plus conviviaux et redonner l’envie de vivre à des femmes désabusées, qui ne croient plus en l’avenir.

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