Un séisme modéré secoue l'est et le nord-est de l'Inde
Par Shang Xu, le 21/11/2011 à 09:36 © Chine Nouvelle (Xinhua)
Un séisme modéré d'une magnitude de 5,9 sur l'échelle ouverte de Richter a secoué lundi plusieurs régions de l'est et du nord-est de l'Inde, ont fait savoir des responsables météorologiques du pays.
Toutefois, aucune information sur les victimes et les dégâts n'a été rapportée pour l'instant.
Le tremblement de terre a été ressenti à 08h47 heure locale dans la plupart des régions des Etats d'Assam, de Nagaland et de Manipur, dans le nord-est de l'Inde, ainsi que dans la ville de Kolkata, située dans l'est du pays.
L'épicentre du séisme était situé en Birmanie, et a été localisé à 24,947 degrés de latitude nord et à 95,226 degrés de longitude qui est à quelque 130 km à l'est d'Imphal, capitale de l'Etat reculé du Manipur, selon l'Observatoire américain géologique (USGS).
De hauts responsables du gouvernement indien sont déjà arrivés dans les régions touchées par le séisme.
Par Shang Xu, le 21/11/2011 à 09:36 © Chine Nouvelle (Xinhua)
Un séisme modéré d'une magnitude de 5,9 sur l'échelle ouverte de Richter a secoué lundi plusieurs régions de l'est et du nord-est de l'Inde, ont fait savoir des responsables météorologiques du pays.
Toutefois, aucune information sur les victimes et les dégâts n'a été rapportée pour l'instant.
Le tremblement de terre a été ressenti à 08h47 heure locale dans la plupart des régions des Etats d'Assam, de Nagaland et de Manipur, dans le nord-est de l'Inde, ainsi que dans la ville de Kolkata, située dans l'est du pays.
L'épicentre du séisme était situé en Birmanie, et a été localisé à 24,947 degrés de latitude nord et à 95,226 degrés de longitude qui est à quelque 130 km à l'est d'Imphal, capitale de l'Etat reculé du Manipur, selon l'Observatoire américain géologique (USGS).
De hauts responsables du gouvernement indien sont déjà arrivés dans les régions touchées par le séisme.
L'astéroïde 2011 WP4 passera à 0.0045 AU de la Terre le 24 novembre prochain
Graphique de son orbite sur JPL:
http://ssd.jpl.nasa.gov/sbdb.cgi?sstr=2011WP4;orb=1;cov=0;log=0;cad=1
Condition Code: 8 (orbite très incertaine)
Estimé à 20 mètres de diamètre
Aucune alerte n'est émise cependant
Graphique de son orbite sur JPL:
http://ssd.jpl.nasa.gov/sbdb.cgi?sstr=2011WP4;orb=1;cov=0;log=0;cad=1
Condition Code: 8 (orbite très incertaine)
Estimé à 20 mètres de diamètre
Aucune alerte n'est émise cependant
Irradiation planétaire: blackout médiatique!
Les mesures radioactives ne cessent d'augmenter partout à travers le monde suite à la catastrophe de Fukushima, l'alimentation est contaminée et l'air que l'on respire est chargée d'éléments radioactifs. Sans compter les récentes découvertes sur les neutrinos qui, selon les scientifiques, pourraient affecter la matière et donc, impacter sur les isotopes médicaux utilisés dans les traitements au nucléaire.
Voici un article, en anglais, qui montre l'ampleur d'un holocaust silencieux...
http://usahitman.com/blackout-radiation/
ALERTE en cours à Fukushima : L'architecte du réacteur 3 met en garde contre une explosion massive hydrovolcanique
* Notez que les niveaux d'iode 131 sont en hausse en Europe et en Amérique du Nord, laissant crainte à moyen et long terme une contamination généralisée... Nous sommes assis sur des bombes nucléaires!
Dans cette interview, il a admis que l'explication de TEPCO n'avait pas de sens, et que le syndrome chinois était inévitable !!!
Il a déclaré que, compte tenu des huits mois passé sans aucune amélioration, il était inévitable que le combustible fondu soit sorti de l'enceinte de confinement et qu'il ait coulé sous terre, ce qui est appelé le syndrome Chinois.
De ce fait lorsque le combustible atteindra une veine d'eau souterraine, cela provoquera la contamination des eaux souterraines, la contamination des sols et la contamination de la mer. Par ailleurs, si les veines d'eau souterraines continuent à être chauffées pendant longtemps, une explosion massive de type hydrovolcanique pourrait arriver.
Il a également averti que les débris radioactifs continuent de se répandre dans l'océan Pacifique. Et que ces tonnes de débris avaient atteint les îles Marshall depuis le 15 novembre...
Source:
http://fukushima-diary.com/2011/11/architect-of-reactor-3-warns-massive-hydrovolcanic-explosion/
* Notez que les niveaux d'iode 131 sont en hausse en Europe et en Amérique du Nord, laissant crainte à moyen et long terme une contamination généralisée... Nous sommes assis sur des bombes nucléaires!
Dans cette interview, il a admis que l'explication de TEPCO n'avait pas de sens, et que le syndrome chinois était inévitable !!!
Il a déclaré que, compte tenu des huits mois passé sans aucune amélioration, il était inévitable que le combustible fondu soit sorti de l'enceinte de confinement et qu'il ait coulé sous terre, ce qui est appelé le syndrome Chinois.
De ce fait lorsque le combustible atteindra une veine d'eau souterraine, cela provoquera la contamination des eaux souterraines, la contamination des sols et la contamination de la mer. Par ailleurs, si les veines d'eau souterraines continuent à être chauffées pendant longtemps, une explosion massive de type hydrovolcanique pourrait arriver.
Il a également averti que les débris radioactifs continuent de se répandre dans l'océan Pacifique. Et que ces tonnes de débris avaient atteint les îles Marshall depuis le 15 novembre...
Source:
http://fukushima-diary.com/2011/11/architect-of-reactor-3-warns-massive-hydrovolcanic-explosion/
Source : Publié par Isabelle Conscience du peuple
Demande de vérifications
Est-ce que quelqu'un aurait le temps de vérifier la situation géographique du fameux X rouge, sur un des documents de la NASA , par Leonid Elenin, et le lieu précis de la pratique du tsunami dans le Pacifique qui doit avoir lieu le 9 novembre prochain?
Faites la recherche dans google sous: 11133 site: nasa.gov
Je n'ai pas le temps...
Voici le document "Pacific Wave":
http://unesdoc.unesco.org/images/0021/002114/211498e.pdf
Leonid Elenin a marqué un document de la NASA avec un X rouge: le lieu d'impact d'un corps céleste, lieu de départ d'un méga tsunami?
Je publie ce youtube parce qu'il contient des informations non seulement intéressantes, mais des coincidences étonnantes. Je n'avance aucunement qu'un évènement va se produire le 9 ou le 11 novembre prochain! Toutefois, j'avoue que le document lié à Leonid Elenin, qui pointe un endroit précis dans le Pacifique, est particulièrement intrigant.
En anglais. Grâce au visuel, vous pourrez suivre la démarche de recherches faite par l'auteur de la vidéo.
NASA in Final Preparations for Nov. 8 Asteroid Flyby
* Désolé, c'est en anglais. Utilisez un logiciel de traduction.
NASA scientists will be tracking asteroid 2005 YU55 with antennas of the agency's Deep Space Network at Goldstone, Calif., as the space rock safely flies past Earth slightly closer than the moon's orbit on Nov. 8. Scientists are treating the flyby of the 1,300-foot-wide (400-meter) asteroid as a science target of opportunity – allowing instruments on "spacecraft Earth" to scan it during the close pass.
Tracking of the aircraft carrier-sized asteroid will begin at 9:30 a.m. local time (PDT) on Nov. 4, using the massive 70-meter (230-foot) Deep Space Network antenna, and last for about two hours. The asteroid will continue to be tracked by Goldstone for at least four hours each day from Nov. 6 through Nov. 10. Radar observations from the Arecibo Planetary Radar Facility in Puerto Rico will begin on Nov. 8, the same day the asteroid will make its closest approach to Earth at 3:28 p.m. PST.
The trajectory of asteroid 2005 YU55 is well understood. At the point of closest approach, it will be no closer than 201,700 miles (324,600 kilometers) or 0.85 the distance from the moon to Earth. The gravitational influence of the asteroid will have no detectable effect on anything here on Earth, including our planet's tides or tectonic plates. Although 2005 YU55 is in an orbit that regularly brings it to the vicinity of Earth (and Venus and Mars), the 2011 encounter with Earth is the closest this space rock has come for at least the last 200 years.
During tracking, scientists will use the Goldstone and Arecibo antennas to bounce radio waves off the space rock. Radar echoes returned from 2005 YU55 will be collected and analyzed. NASA scientists hope to obtain images of the asteroid from Goldstone as fine as about 7 feet (2 meters) per pixel. This should reveal a wealth of detail about the asteroid's surface features, shape, dimensions and other physical properties (see "Radar Love" - http://www.jpl.nasa.gov/news/news.cfm?release=2006-00a).
Arecibo radar observations of asteroid 2005 YU55 made in 2010 show it to be approximately spherical in shape. It is slowly spinning, with a rotation period of about 18 hours. The asteroid's surface is darker than charcoal at optical wavelengths. Amateur astronomers who want to get a glimpse at YU55 will need a telescope with an aperture of 6 inches (15 centimeters) or larger.
The last time a space rock as big came as close to Earth was in 1976, although astronomers did not know about the flyby at the time. The next known approach of an asteroid this large will be in 2028.
NASA detects, tracks and characterizes asteroids and comets passing close to Earth using both ground- and space-based telescopes. The Near-Earth Object Observations Program, commonly called "Spaceguard," discovers these objects, characterizes a subset of them, and plots their orbits to determine if any could be potentially hazardous to our planet.
NASA's Jet Propulsion Laboratory manages the Near-Earth Object Program Office for NASA's Science Mission Directorate in Washington. JPL is a division of the California Institute of Technology in Pasadena.
More information about asteroids and near-Earth objects is at: http://www.jpl.nasa.gov/asteroidwatch.
More information about asteroid radar research is at: http://echo.jpl.nasa.gov/ .
More information about the Deep Space Network is at: http://deepspace.jpl.nasa.gov/dsn .
Volcan Hudson: alerte maximum et évacuations dans le sud du Chili (vidéo)
Les autorités chiliennes ont décrété le niveau d'alerte maximum et ordonné l'évacuation d'une centaine de personnes habitant près du volcan Hudson, situé dans l'extrême sud du pays et dont l'activité a brutalement augmenté mercredi. "Nous allons entamer le processus d'évacuation à la suite du passage de l'alerte jaune au niveau d'alerte rouge", a annoncé le ministre de l'Intérieur Rodrigo Hinzpeter.
Une centaine de personnes ont été évacuées préventivement dans un rayon de 40 km autour du volcan de 1.960 mètres d'altitude, situé dans la région de Coyhaique, à environ 1.600 km au sud de Santiago.
Selon le ministre, un survol du volcan mercredi avait permis de constater des chutes d'eau et de terre sur un versant ainsi qu'une colonne de cendres d'un kilomètre de long.
Source:
http://www.rtl.be/info/monde/international/833414/volcan-hudson-alerte-maximum-et-evacuations-dans-le-sud-du-chili-video
Que s'est-il passé dans le ciel français
Nous rassemblons les témoignages : vous pouvez témoigner ici en nous laissant un commentaire. Maj le 21/10/11 à 7h34.
L'agitation est à son comble sur la toile où de nombreux internautes évoquent le spectaculaire passage d'un bolide dans le ciel français hier vers 21 heures.
Nous rassemblons les témoignages
Que s'est-il passé exactement au-dessus de notre pays hier soir ? A-t-on assisté à la désintégration d'un morceau du satellite allemand Rosat dont la chute est prévue ce weekend ou s'agit-il de la combustion d'une grosse météorite qui nous rappelle la découverte il y a quelques jours de deux de ces pierres célestes sur des toitures dans l'Essonne ? Ce qui est certain c'est que le spectacle a sans doute été de toute beauté, si l'on en croit les témoignages qui ont été postés sur internet toute la nuit, notamment sur notre forum d'astronomie . Les observateurs, principalement de la région parisienne, décrivent le passage d'une boule de feu qui a traversé une grande partie du ciel (qui par chance était dégagé), une énorme étoile filante .
Une caméra de surveillance installée à La Ferté Alais (Essonne) a même saisi le passage du bolide (image ci-dessous). Témoignages et photographies sont rassemblés dans la discussion météore - Seine et Marne . Venez y raconter ce que vous avez vu avec le maximum de précisions pour que les spécialistes puissent mieux cerner la nature et la trajectoire de ce bolide.
Vous pouvez témoigner ici. Nous transmetterons aux autorités compétentes.
Et si cela cachait tout autre chose...
Actualité.portail.free.fr
Bolide du 21/10 en France : ce n'était pas le satellite Rosat
Jean-Baptiste Feldmann
Futura-Sciences
sam., 22 oct. 2011 16:55 CDT
Qui a dit que les bolides traversaient le ciel silencieusement ? Celui qui est passé hier soir sur la France fait bruisser internet et alimente toutes les conversations depuis près de 24 heures.
Depuis notre actualité de ce matin annonçant le passage d'un énorme bolide, ce sont plus de 8.000 connexions d'internautes qui ont été enregistrées dans la discussion dédiée à ce sujet sur notre forum d'astronomie. La quarantaine de témoignages déjà recueillis (dont nous remercions les auteurs) permet de dresser une carte de France (provisoire) des observateurs de ce bolide.
Les premières analyses de ces témoignages laissent penser que ce bolide s'est déplacé sur une ligne qui va des Pays de la Loire jusqu'à la Champagne-Ardenne. Une autre photographie de ce météore a également été obtenue par une deuxième caméra de surveillance automatique du ciel (voir ci-dessous). Merci à son auteur (M. Meunier) de nous avoir proposé cette nouvelle image.
Pour le moment il n'est pas possible de confirmer la nature de ce phénomène. Il ne s'agit en tout cas pas d'un morceau du satellite Rosat dont l'Agence Spatiale Allemande (DLR) annonce toujours la chute pour les prochaines 24 heures. Vos témoignages sont les bienvenus dans la discussion consacrée à ce phénomène !
Source : Futura-sciences
24 septembre 2011
Le typhon qui sévit actuellement au Japon se dirige vers Fukushima...
* Nous sommes là à spéculer sur les catastrophes et l'Apocalypse à venir, mais les Japonnais, les Pakistanais, les Somaliens, et de nombreux peuples sur la planète vivent déjà la fin du monde!
Le violent typhon Roke a atteint mercredi le centre du Japon et se dirige vers la région de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima, après avoir déversé des trombes d'eau sur le sud-ouest de l'archipel et forcé l'évacuation de centaines de milliers de personnes.
Venu de l'océan Pacifique par le sud, ce typhon est arrivé au-dessus de la préfecture centrale de Shizuoka, à quelque 150 km au sud-ouest de Tokyo, vers 14 h, heure locale. Il devait ensuite remonter l'île principale de Honshu vers le nord-est, accompagné de rafales de vent dépassant les 200 km/h et de pluies abondantes.
Les fortes précipitations ont provoqué la mort d'au moins quatre personnes dans le centre et l'ouest du pays tandis que deux autres, dont un enfant, étaient activement recherchées.
Les autorités ont multiplié les mises en garde depuis deux jours. Cette violente intempérie menace les zones les plus peuplées du Japon, dont l'agglomération centrale de Nagoya, la province de Shizuoka et la mégapole de Tokyo.
L'agence de météorologie a rappelé que des perturbations ayant dans le passé emprunté une trajectoire similaire, du sud-ouest au nord-est, avaient provoqué des dommages considérables.
La compagnie d'électricité Tokyo Electric Power a fixé des équipements et suspendu une partie des travaux de réparation en cours à la centrale nucléaire de Fukushima, durement endommagée après des explosions en mars. Roke doit atteindre le secteur de la centrale, située à 220 km au nord-est de Tokyo, mercredi dans la soirée.
Le secteur industriel touché
Avant même que le coeur de la tempête ne parvienne au niveau de Shizuoka, des crues et inondations ont déjà été déplorées dans la préfecture d'Aichi, poumon industriel du centre du Japon où les autorités ont conseillé à plus d'un million d'habitants d'évacuer leur domicile.
Cet ouragan a aussi forcé le constructeur d'automobiles Toyota à suspendre la production de 11 de ses 15 usines japonaises, toutes situées dans la zone de Nagoya où se trouve également le siège du constructeur.
Le groupe d'industrie lourde Mitsubishi Heavy Industries a de son côté arrêté la production de cinq usines d'aéronautique et de moteurs, toujours dans le centre du pays.
Plusieurs autoroutes ont été fermées et plus de 200 vols ont été annulés, d'après la télévision publique NHK, un nombre qui risque d'augmenter au fil de la journée.
Roke pourrait provoquer de nouveaux glissements de terrain dans la préfecture de Wakayama, au centre-ouest, déjà frappée au début du mois par le typhon Talas, qui avait fait quelque 100 morts et disparus.
Il doit aussi passer dans la nuit de mercredi à jeudi au-dessus de la région du Tohoku, au nord-est, ravagée par le séisme et le tsunami du 11 mars.
À Tokyo, les entreprises de construction ont sécurisé autant que possible les chantiers en cours pour éviter les chutes d'objets tandis que les compagnies de chemin de fer ont suspendu des lignes et diminué le nombre de rames en circulation.
Le Japon subit le passage d'au moins une dizaine de typhons plus ou moins violents chaque année entre juillet et octobre. Les gratte-ciel des grandes cités sont normalement conçus pour résister aux rafales autant qu'aux secousses sismiques.
Radio-Canada.ca avecAgence France Presse
Septembre: le mois de "préparation nationale" dans l'éventualité de catastrophes
Aux États-Unis, le 1er septembre, débute la campagne de sensibilisation aux catastrophes climatiques et humanitaires qui pourraient se produire et ce, dans le but de préparer les citoyens à toutes éventualités. Le gouvernement américain et la FEMA (son agence de gestion des crises et des catastrophes) ont décrété le mois de septembre comme étant le: « National Preparedness Month » (le mois de la préparation nationale). Les familles américaines sont invitées à mettre en place une série de mesures: plan d’urgence, plan d’évacuation, kit de survie, réserves de nourriture, etc.
Voici l’équivalent pour le Canada, sur le site du gouvernement fédéral
Êtes-vous prêts?
"L'Arche de Noé":
Les mères de Fukushima avaient alerté le mondedès le mois de juin : les enfants avaient des saignements de nez, des diarrhées, de la toux, des thyroïdes enflées, etc. Elles n’ont eu cesse d’informer et d’agir pour que tous les enfants soient évacués de la région de Fukushima. Encore dernièrement, elles se sont mobilisées à Tokyo pour sensibiliser la population, mais en vain pour l’instant. Pourtant, l’actualité semble leur donner raison. Un grand nombre d’informations convergentes indiquent que, suite à la catastrophe nucléaire, l’état général de la santé des Japonais vivant dans une vaste région correspondant au moins à 8% du Japon est en train de se dégrader.
Tweet d'un habitant d'Ibaraki : "Je travaille dans un hôpital d'Ibaraki. Il y a eu des patients avec des saignements de nez perpétuels en avril. Il y en a eu sans raison avec de la diarrhée et de la fièvre en juillet. Maintenant même les membres du personnel de l'hôpital souffrent de diarrhée sans raison...Ça commence à craindre." Tweet d'un habitant de Fukushima : "Mon ami vit à Iwakashi. Il vient finalement de commencer à avoir de l'hématurie (sang dans les urines, NdT). Mes petits enfants ont des saignements de nez. Ils ne peuvent évacuer parce qu'ils n'ont pas assez d'argent." (source)
Même si ces tweets n’ont aucune valeur statistique, ils se rencontrent de plus en plus souvent et sont à mettre en relation avec l’augmentation de certaines pathologies, visible sur ces graphiques mis en ligne par le gouvernement japonais : conjonctivites, pneumonies, et diverses autres maladies sont en nette augmentation en 2011.
Pneumonies
Conjonctivites
Maladies "Hand-foot-mouth"
On avait déjà remarqué chez les enfants de Fukushima que leur thyroïde avait été affectée. Un groupe de chercheurs, sous la direction du Professeur Satoshi Tashiro de l'Université de Hiroshima, avait contrôlé la glande thyroïde de 1149 enfants de la préfecture juste après l'accident, en mars, de la centrale nucléaire. De l'iode 131 avait été détecté chez environ la moitié des enfants. Les enfants, que l’on a affublés de dosimètres, semblent ainsi être devenus des sujets de recherche ! Chez les jeunes évacués, on avait aussi remarqué des dysfonctionnements de la glande thyroïde. Plus au sud, dans la préfecture de Gunma, 80% des patients atteints de problèmes thyroïdiens voient aujourd’hui leur état s’aggraver. Devant l'inquiétude et la pression des parents, une étude à grande échelle sur les problèmes de thyroïde a commencé le 10 octobre : 360 000 enfants de la région de Fukushima seront suivis de manière régulière tout au long de leur vie.
D’autres anomalies ont été remarquées pour ces enfants vivant en zone contaminée comme la perte de poids, le ralentissement ou l’arrêt de la croissance et même desattaques cardiaques, ce qui peut être mis en lien avec la grande toxicité du césium-137. L’ACRO, laboratoire français, a aussi fait des mises en garde à plusieurs reprises, à partir d’analyses effectuées sur l’urine des enfants de Fukushima : 100% des prélèvements révèlent la présence des césiums radioactifs. Ainsi, plus de 4 mois après les rejets massifs de radioactivité dans l’environnement, ils étaient toujours contaminés alors que leurs parents font des efforts pour limiter cette contamination interne. Il est fort probable que cela soit dû à la nourriture.
Et pourtant, cette nourriture contaminée, on la vante et on en fait la promotion pour ne pas laisser tomber la région de Fukushima et son économie agricole. Mais… un présentateur vedette de la télévision japonaise, Norikazu Otsuka, qui mangeait des produits irradiés devant les caméras « pour montrer leur innocuité », a dernièrement été diagnostiqué par son médecin comme ayant contracté une leucémie aiguë.
Un autre promoteur et consommateur des légumes de Fukushima, l’empereur du Japon lui-même, vient également d’être hospitalisé, ainsi que deux autres membres de sa famille. Akihito souffre d’une pneumonie, la princesse Aiko a contracté une Mycoplasma pneumoniae, et la princesse Masako serait victime de fièvre et de toux : ils ont tous les trois des symptômes communs. Or la pneumonie, nous l’avons vu, est une maladie qui augmente fortement au Japon cette année ; Takeo Nishioka, Président de la Chambre des conseillers de la Diète du Japon est d'ailleurs décédé d’une pneumonie le 5 novembre 2011 à l’âge de 75 ans. Même si les cas de l’empereur et de sa famille n’auront pas forcément la même issue, on peut s’interroger sur ces cas à répétition. En avril, on tentait d’expliquer l’augmentation des cas de pneumonies dans la région de Tohoku par l’ingestion d’eau de mer : au moins 11 personnes étaient mortes de la pneumonie et environ 150 avaient été hospitalisés dans la préfecture de Miyagi, le nombre de patients étant de cinq à six fois plus élevé que d’habitude. Mais aujourd’hui, comment expliquer cette augmentation ? Comme pour Tchernobyl, il est probable que les radionucléides, en contamination interne, provoquent ces maladies respiratoires.
Le problème, ce sont ces idiots qui se bousculent à la télévision pour faire croire aux gens que la situation n’est pas grave. Ainsi, d’après plusieurs scientifiques médiatisés, le plutonium ne serait pas si dangereux. La radioprotection pour tous n’est pas un concept avancé au Japon. Et la population, quand elle ne s’organise pas de manière autonome, en fait les frais. Une télévision alternative, OurPlanet-TV, informe de manière indépendante en diffusant des émissions sur le sujet même de la santé. Par exemple, en juillet dernier, l’émission ContAct a invité Mika Noro, présidente de l'association " Le pont pour Tchernobyl ", qui a partagé son expérience : s’étant rendue au Bélarus en 1993 (pays le plus touché par les retombées radioactives de Tchernobyl), elle a éclairé avec lucidité et compétences les symptômes cliniques chez les enfants de Fukushima. Après la catastrophe de Fukushima, Our Planet-TV a lancé une enquête pour savoir si les retombées radioactives avaient eu des effets sur la santé de la population. Suite à cet appel, ils ont été amenés à étudier plus de 500 cas. Cette enquête met ainsi en évidence que la radioactivité, même à faible dose, a des effets réels sur la santé, ce qui était déjà connu par ailleurs avec la reconnaissance de l’augmentation du risque de cancer.
Dans cette vidéo sous-titrée en français, on voit entre autres le Dr Masamichi Nishio, chef du centre anti-cancéreux d’Hokkaïdo commenter le livre de Yablokov et Nesterenko et témoigner que la CIPR (Commission Internationale contre les rayonnements) a renoncé à étudier les effets des radiations internes car cela aurait gêné le développement de l’industrie nucléaire.
Dans les écoles le problème est identique. Dans le même esprit de se persuader que tout va bien dans le meilleur des mondes, on continue de fonctionner comme si de rien n’était. Par exemple, on demande aux enfants de nettoyer une piscine contaminée sans protection, ou on leur demande d’aller ramasser les feuilles d’automne sans précaution particulière alors que l’on sait parfaitement qu’elles sont contaminées au césium. Pire encore, on force les enfants à boire du lait contaminé. Et gare à celui qui ne veut pas. Le 29 septembre 2011, Akira Matsu du New Komeito (parti politique japonais NKP) est intervenue sur ce sujet devant les responsables gouvernementaux japonais et notamment Yoshihiko Noda, 1er Ministre, Osam Fujumina, chef de Cabinet du secrétariat et Yukio Edo, Ministre de l’industrie et de l’économie. Elle a dénoncé le cynisme et la barbarie du gouvernement envers les populations contaminées de la région de Fukushima.
Un autre grave problème qui se pose d’ores et déjà dans la région de Fukushima est la fuite du personnel médical depuis la catastrophe. C’est ainsi, les personnes les mieux informées des dangers sanitaires et qui ont les moyens de déménager s’en vont. Les autres restent, alors que de toute évidence il faudrait au moins évacuer les enfants, plus fragiles aux effets de la radioactivité. Le problème est immense mais il semble que l’on veuille à tout prix l’ignorer. 8 mois après la catastrophe, on ne pourra plus dire qu’on ne savait pas, ou qu’on n’a pas eu le temps de trouver des solutions pour évacuer la population.
La contamination est massive, le gouvernement le sait depuis les premiers jours de la catastrophe. Les premiers touchés ont été les sauveteurs qui ont opéré dans les régions dévastées par le tsunami, comme le relate ce témoignage : l'un d'entre eux qui était intervenu dans les zones sinistrées d’Iwate et Fukushima est décédé le 26 octobre 2011 d’une défaillance de la fonction rénale, trois mois après avoir appris que lui et les membres de son équipe avaient subi une contamination interne par les radionucléides. La personne qui témoigne assistait à une conférence de de Taro Yamada lors du ''Forum National des cantines scolaires'' qui s'est tenu le 6 novembre 2011 dans la ville de Sapporo. Sa déclaration a été enregistrée dans la vidéo ci-dessous (sous-titrages en français). Mais pour une personne qui parle, combien se taisent ? Quel est l’état de santé des autres membres de son équipe ?
Les personnes les plus touchées sont évidemment les « liquidateurs », ces ouvriers de la centrale de Fukushima Daiichi qui reçoivent des doses « héroïques ». Malgré l’assurance de Tepco qui affirme qu’il n’y a pas de décès liés aux travaux de décontamination et de maintenance de ce qui reste de la centrale, on constate un fort taux de mortalité pour les ouvriers de la centrale, ce qui est en contradiction avec l’espérance de vie des Japonais qui est la plus élevée au monde. En l’espace de 5 mois, 4 employés sont morts de façon anormale et rapide : le 12 mai 2011, un sexagénaire employé par la sous-traitance s’est senti mal et est décédé 2 jours plus tard. Le 16 août 2011, un employé de la centrale nucléaire est mort d’une leucémie foudroyante. Il avait travaillé pour Tepco durant une semaine, affecté à la surveillance de points chauds. Le 6 octobre 2011, un autre travailleur employé à la centrale est décédé subitement. Enfin, dernier en date, le 11 octobre 2011, un employé d'une cinquantaine d'années est mort brusquement alors qu'il se rendait à son lieu de travail, la centrale de Fukushima Daiichi.
A ces décès, il faut ajouter tous ceux dont on ne parle pas : de nombreuses personnes, employées par la sous-traitance, ont disparu ainsi des décomptes de Tepco. L’agence de sûreté nucléaire, on se souvient, avait épinglé l’entreprise en juin car celle-ci avait « égaré » des listes d’employés vacataires qui étaient intervenus sur le site, empêchant tout suivi médical de 69 personnes contaminées.
Il n’en a pas fallu plus pour que des rumeurs circulent sur internet sur le décès effectif de ces ouvriers intérimaires, information impossible à vérifier à ce jour bien qu’un journaliste du Shukan Asahi, M. Imanishi, ait entendu que des ambulances arrivaient 10 fois par jour à la centrale. A qui étaient destinées ces ambulances, et pourquoi ni les employés de Tepco, ni les ouvriers hospitalisés, ni les médecins n’ont-ils le droit de parler ? Il est évident que si un jour un journaliste arrivait à prouver ce genre d’information, l’image du nucléaire serait ternie à jamais et anéantirait tous les efforts du lobby nucléaire pour cacher la vérité. Il est incroyable que la catastrophe de Tchernobyl n’ait d’ailleurs pas eu plus d’impact sur l’énergie nucléaire dans le monde. La raison en est que l’OMS, qui était la plus à même de prendre des mesures de protection des populations, s’est tue. Condamnée au silence par unvieil accord avec l’AIEA, elle est devenue une institution criminelle, laissant tomber malade les gens vivant dans les territoires contaminés, et niant les effets des faibles doses sur la santé humaine.
Il faut en effet savoir que Tchernobyl a généré un million de victimes, comme le rappelle Janette Sherman, biologiste américaine et spécialiste en toxicologie. Dans la vidéo ci-dessous, elle présente le livre déjà cité « Chernobyl. Consequences of the catastrophe for people and environnement » d'A. Yablokov et de V. et A. Nesterenko, édité en 2009 par l'Académie des Sciences de New York avec plus de 5000 références scientifiques (et bientôt édité en français).
Les auteurs de ce livre estiment à 985 000 le nombre de décès survenus à cause de Tchernobyl dans le monde entier entre 1986 et 2004, chiffre qui a encore augmenté depuis cette date. Janette Sherman dénonce également l'accord entre l'OMS et l'AIEA, signé en 1959. L'OMS est théoriquement garante de la santé des populations dans le monde et fait autorité auprès des États membres. Elle devrait, conformément à sa Constitution, être indépendante de tout intérêt commercial. Pourtant le 28 mai 1959, elle a signé avec l'AIEA (Agence Internationale de l'Energie Atomique) un accord par lequel aucune de ces deux agences de l'ONU ne peut prendre de position publique qui puisse nuire aux intérêts de l'autre (accord référencé WHA 12-40). Or, l'AIEA a été constituée en 1957 pour faire la promotion du nucléaire civil...
Cet interview a été réalisé le 6 mars 2011 soit 5 jours avant la catastrophe de Fukushima. (Sous-titrage en français)
Il faut aussi voir pour être complet la conférence de presse donnée par le Dr. Helen Caldicott, physicienne australienne, auteure et avocate anti-nucléaire qui a fondé plusieurs associations qui luttent contre l'utilisation de l'énergie nucléaire, de l'uranium appauvri pour des munitions, et des armes nucléaires en général. La conférence s’est tenue à Montréal, au Canada, le 18 mars, une semaine seulement après la catastrophe nucléaire.
Fukushima est bien pire que Tchernobyl
Il est certain que la situation ne va pas s’améliorer au Japon, l'expérience de Tchernobyl le démontre. Le fait de laisser vivre des millions de personnes dans un environnement contaminé apportera son lot de problèmes et de souffrances. Une grande sagesse a fait fuir de cette zone dangereuse beaucoup de femmes enceintes, protégeant leurs futurs enfants des radiations. Mais qu’en est-il de celles qui sont restées ? Que doit-on déduire du non-dit du milieu médical, relevé parKeiko Ichikawa ? Si les médecins japonais cachent les malformations et les enfants mort-nés, comment de réelles statistiques pourront-elles être établies ? On connaît déjà les dégâts épouvantables causés par l’uranium appauvri dus aux bombardements lors de la guerre en Irak, et on imagine avec effroi l’avenir des populations japonaises soumises à de fortes contaminations. La santé est un sujet difficile à aborder, le lobby nucléaire est très puissant dans le monde entier et cherchera à minimiser toutes les mauvaises nouvelles. Mais la santé n’a pas de prix et chacun doit se battre pour la conserver. Amis lecteurs, ce sujet est très grave, soyez vigilants et dénoncez toute désinformation, partout où vous le pouvez !
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Merci à Etienne Servant pour ses infos en continu sur Fukushima Informations, à Kibo-promesse pour ses articles de qualité, à Véronique Ratel, de IndependentWHO pour l’aide apportée à la collecte des sources, à Jeep pour ses traductions sur aweb2u, à Hélios pour ses traductions surBistro bar blog et à Kna60 pour la mise en ligne de nombreuses vidéos sous-titrées en français ! Sans toutes ces personnes bénévoles à la recherche de la vérité, cet article n’aurait pu voir le jour.
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Rappel : la seule solution envisageable pour éviter une catastrophe sanitaire est d’évacuer les zones contaminées !
Un reportage de la BBC semble confirmer l'existence d'un objet céleste plus gros que Pluton: Nibiru?
Sans oublier le reportage de CNN qui affirme l'existence d'une Brown Dwarf ou d'une nouvelle planète dans notre système solaire:
Injection volontaire de virus aux populations: une autre des nombreuses théories du complot?
Flash
Une campagne de vaccination pour inoculer des virus transmissibles, gracieuseté de la Fondation Bill Gates?
Et le retour du fantôme de la grippe aviaire, une version mutante bien sûr!
La FAO (l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture) a mis en garde, ce lundi, contre le retour de la grippe aviaire H5N1 qui avait sévi notamment en 2008.
LUNDI 29 AOÛT 2011
Le mystère de la comète Elenin
Des astronomes et autres experts de l'espace extra-atmosphérique sont concernés par une comète qui devrait se trouver dangereusement à proximité de la terre plus tard cette année. Selon eux, les conséquences pourraient être désastreuses, alors pourquoi tant de gens ignorent ce fait?
Le Docteur Agnew Brooks, directeur scientifique du projet "North Pole Inner Earth Expedition", a fait beaucoup de recherches sur Elenin et croit qu'il y a certaines coïncidences plutôt étranges à son sujet et que les gens devraient les prendre en considération. Ce qui rend la situation encore plus préoccupante, selon Brooks, c'est qu'il manque beaucoup de données concernant cette comète.
Dr. Brooks affirme que la NASA présente la comète juste comme une balle de glace inoffensive qui ne viendra pas à moins de 20 millions de kilomètres de la terre. D'autres, dit-il, prétendent que cette comète devrait soulever la question puisqu'elle ne ressemble pas à une comète, qu'elle n'agit pas comme une comète et qu'elle vient à l'extérieur de la zone où la plupart des comètes proviennent.
Selon Agnew Brooks, il y a beaucoup de choses sur cette comète qui n'ont pas de sens. Ce qui soulève aussi ses préoccupations, c'est qu'un autre gros astéroïde est censé venir près de la terre vers la même époque.
Il y a beaucoup de forces qui travaillent sur cette comète au fur et à mesure qu'elle se déplace dans notre système solaire, sous un angle très large, et toutes ces forces n'ont pas été calculées, affirme Dr. Brooks. Il ajoute de chercher plus loin que ce que les gouvernements nous montrent. Il souligne les efforts colossaux et les fortunes qui ont été investies dans la construction d'abris souterrains par les États-Unis et la Russie. Il rappelle la vidéo qui a été récemment diffusée par la NASA à tous ses employés pour les informer d'instructions à suivre en cas de catastrophes à venir.
Selon Agnew Brooks, scientifique et expert en astronomie, il est temps de relier les points, et il ne parle pas seulement de constellations!
Connect the dot!
Source:
http://rt.com/usa/news/comet-elenin-space-nasa-478/
http://rt.com/usa/news/comet-elenin-space-nasa-478/
La NASA a développé son propre programme d'urgence destiné à ses employéshttp://www.nasa.gov/centers/hq/emergency/personalPreparedness/index.html
Tempêtes solaires et chaos mondial
* Voici un texte que j'ai publié il y a un an, qui expose les effets potentiels des éjections de masse coronale en direction de terre lors du maximum solaire. La perte du réseau électrique est appréhendée et ce seul fait pourrait causer un chaos mondial incommensurable, tel que décrit dans le texte. Certains analystes croient que les rayonnements en provenance de puissantes explosions de plus en plus fréquentes risquent de causer un nombre grandissant de cancers chez les êtres vivants...
Plus horrible que le fléau de la peste noire en Europe, plus coûteux en vies humaines que la Seconde Guerre Mondiale. La question n'est pas de savoir si, mais quand...
C'est le message d'alarme émis par John G. Kappenman, consultant et expert sur les dangers et dommages causés par les impulsions électromagnétiques sur la société moderne.
La question du danger des impulsions électromagnétiques sur la Terre, à partir d'une éjection de masse coronale, qui est une éruption de la puissance du soleil, ou à partir d'une onde nucléaire déclenchée par impulsions électromagnétiques, aurait pour résultat de détruire la société . C'est en tout cas le résultat de plusieurs rapports qui ont été déposés ces derniers mois.
La Chambre des Représentants des États-Unis a autorisé des plans pour protéger son réseau électrique contre de tels dangers, mais le Sénat veut laisser les citoyens se débrouiller par eux-mêmes pour éviter l'élaboration de plans d'urgence.
Lorsque le Sénat Américain a rejeté les plans d'urgence en vue de se préparer à une telle catastrophe, un membre de la Chambre leur a reproché de ne pas se préparer à la menace liée aux impulsions électromagnétiques sur notre monde. Il semble que le Sénat a pourtant amendé un projet de loi, le HR 5026, approuvé à l'unanimité par la Chambre, qui prévoit la protection spécifique du réseau électrique en cas d'impulsions électromagnétiques ou toutes autres menaces du genre.
Kappenman, interrogé récemment sur la radio "OffTheGridNews", a expliqué que jamais auparavant la civilisation avait eu à faire face à ce type de menace puisque les tempêtes solaires historiques ont frappé avant que les gens ne soient dépendants de l'électricité.
Kappenman est l'un des principaux enquêteurs de la "Commission IEM" pour évaluer la menace des impulsions électromagnétiques aux États-Unis. Il a également témoigné devant le Comité scientifique de la Chambre des États-Unis sur l'importance de la prévision des tempêtes géomagnétiques pour l'industrie électrique. Il possède une série de qualifications qui pourraient remplir un bottin téléphonique!
Il a évoqué qu'en mars 1989, il y a eu une tempête solaire qui a provoqué une panne d'électricité partout au Québec. À ce moment, la tempête a été classée parmi les plus puissantes jamais enregistrées, avec des niveaux maximum de 500 nanoteslas par minute.
Toujours selon Kappenman, la gravité de la tempête pourrait produire des dégâts massifs au réseau électrique. Ça pourrait prendre entre 4 et 10 ans pour réparer les dommages et peut-être même, une incapacité à rétablir le réseau électrique.
Il dit qu'en quelques heures, notre plus grande préoccupation en zone urbaine serait l'alimentation en eau potable puisque cesserait la capacité de traiter les eaux usées. Dans les jours qui suivent, c'est la conservation des denrées périssables qui deviendrait préoccupante. Puis, à l'intérieur de 3 jours, nous perdrions toutes capacités de communication.
L'agitation sociale, la rareté des aliments, le manque d'eau potable pourraient créer un effet domino qui capable de causer des millions de morts...
Nous pourrions envisager un scénario ici qui dépasse de loin le nombre de victimes de toute guerre, de toute catastrophe naturelle que l'humanité ait jamais connue. Et cela ne serait pas limité qu'à l'Amérique du Nord...
Une explosion nucléaire qui serait lançée dans l'atmosphère, de 25 à 250 miles au-dessus des États-Unis, pourrait elle aussi détruire le réseau électrique du pays. Une impulsion électromagnétique est une impulsion d'énergie qui peut être produite à partir de sources non nucléaires, telles que les bombes électromagnétiques. Certains experts affirment qu'une onde de choc électromagnétique pourrait être produite par un appareil assez petit pour tenir dans une mallette. Le plus menaçant et le plus terrifiant d'une attaque électromagnétique pourrait venir à la suite d'une explosion d'une arme nucléaire au-dessus de la surface de la Terre. Comme la foudre, l'impulsion électromagnétique peut immédiatement perturber et nuire à tous les systèmes électroniques et les infrastructures électriques de l'Amérique.
Une détonation dans le milieu de la zone continentale des États-Unis a la capacité de produire des dommages importants aux infrastructures qui soutiennent le tissu de la société américaine et la capacité des États-Unis, et des pays occidentaux, à exercer une influence et une puissance militaire, a déclaré un spécialiste américain qui en a témoigné devant le Congrès.
Plusieurs adversaires potentiels ont la capacité d'attaquer les États-Unis avec des armes à impulsion électromagnétique et il semble que d'autres travaillent en ce sens en ce moment même...
Résumé de l'article trouvé sur:
http://www.wnd.com/?pageId=190721
Conférence de presse de la NASA, ce jeudi, concernant de nouvelles informations sur l'activité solaire
Kappenman, interrogé récemment sur la radio "OffTheGridNews", a expliqué que jamais auparavant la civilisation avait eu à faire face à ce type de menace puisque les tempêtes solaires historiques ont frappé avant que les gens ne soient dépendants de l'électricité.
Kappenman est l'un des principaux enquêteurs de la "Commission IEM" pour évaluer la menace des impulsions électromagnétiques aux États-Unis. Il a également témoigné devant le Comité scientifique de la Chambre des États-Unis sur l'importance de la prévision des tempêtes géomagnétiques pour l'industrie électrique. Il possède une série de qualifications qui pourraient remplir un bottin téléphonique!
Il a évoqué qu'en mars 1989, il y a eu une tempête solaire qui a provoqué une panne d'électricité partout au Québec. À ce moment, la tempête a été classée parmi les plus puissantes jamais enregistrées, avec des niveaux maximum de 500 nanoteslas par minute.
Toujours selon Kappenman, la gravité de la tempête pourrait produire des dégâts massifs au réseau électrique. Ça pourrait prendre entre 4 et 10 ans pour réparer les dommages et peut-être même, une incapacité à rétablir le réseau électrique.
Il dit qu'en quelques heures, notre plus grande préoccupation en zone urbaine serait l'alimentation en eau potable puisque cesserait la capacité de traiter les eaux usées. Dans les jours qui suivent, c'est la conservation des denrées périssables qui deviendrait préoccupante. Puis, à l'intérieur de 3 jours, nous perdrions toutes capacités de communication.
L'agitation sociale, la rareté des aliments, le manque d'eau potable pourraient créer un effet domino qui capable de causer des millions de morts...
Nous pourrions envisager un scénario ici qui dépasse de loin le nombre de victimes de toute guerre, de toute catastrophe naturelle que l'humanité ait jamais connue. Et cela ne serait pas limité qu'à l'Amérique du Nord...
Une explosion nucléaire qui serait lançée dans l'atmosphère, de 25 à 250 miles au-dessus des États-Unis, pourrait elle aussi détruire le réseau électrique du pays. Une impulsion électromagnétique est une impulsion d'énergie qui peut être produite à partir de sources non nucléaires, telles que les bombes électromagnétiques. Certains experts affirment qu'une onde de choc électromagnétique pourrait être produite par un appareil assez petit pour tenir dans une mallette. Le plus menaçant et le plus terrifiant d'une attaque électromagnétique pourrait venir à la suite d'une explosion d'une arme nucléaire au-dessus de la surface de la Terre. Comme la foudre, l'impulsion électromagnétique peut immédiatement perturber et nuire à tous les systèmes électroniques et les infrastructures électriques de l'Amérique.
Une détonation dans le milieu de la zone continentale des États-Unis a la capacité de produire des dommages importants aux infrastructures qui soutiennent le tissu de la société américaine et la capacité des États-Unis, et des pays occidentaux, à exercer une influence et une puissance militaire, a déclaré un spécialiste américain qui en a témoigné devant le Congrès.
Plusieurs adversaires potentiels ont la capacité d'attaquer les États-Unis avec des armes à impulsion électromagnétique et il semble que d'autres travaillent en ce sens en ce moment même...
Résumé de l'article trouvé sur:
http://www.wnd.com/?pageId=190721
Conférence de presse de la NASA, ce jeudi, concernant de nouvelles informations sur l'activité solaire
L'augmentation de l'activité solaire et la menace que posent les éjections de masse coronale (CME) sur la terre ont incité la NASA à convoquer une réunion d'information pour la presse jeudi après-midi.
Les responsables de l'Agence spaciale ont dit que de nouvelles informations venant de l'observatoire STEREO, des sondes d'engins spaciaux, seront révélées. De nouveaux détails sur la structure des tempêtes solaires et l'impact qu'elles ont sur la terre seront donnés.
Les responsables de l'Agence spaciale ont dit que de nouvelles informations venant de l'observatoire STEREO, des sondes d'engins spaciaux, seront révélées. De nouveaux détails sur la structure des tempêtes solaires et l'impact qu'elles ont sur la terre seront donnés.
La séance sera diffusée en direct sur la Télévision de la NASA et sur le site web de l'Agence à 2:00 PM EDT (7:00 GMT).
Une éruption solaire massive, la plus importante enregistrée dans les derniers 4 ans, a eu lieu mardi dernier et les craintes que d'autres explosions majeures se produisent sont grandes. Les perturbations des satellites de positionnement global (GPS) et des signaux de communication pourraient toucher le monde entier et causer de graves conséquences.
Les éruptions solaires se produisent lorsque les puissants champs magnétiques dans et autour du soleil se connectent. Ils sont habituellement associés à des régions actives, souvent considérées comme des taches solaires, où les champs magnétiques sont plus forts. La plus puissante explosion solaire a eu lieu en 2003, durant le dernier maximum solaire. Le cycle solaire actuel atteindra son maximum en 2013.
Une éruption solaire massive, la plus importante enregistrée dans les derniers 4 ans, a eu lieu mardi dernier et les craintes que d'autres explosions majeures se produisent sont grandes. Les perturbations des satellites de positionnement global (GPS) et des signaux de communication pourraient toucher le monde entier et causer de graves conséquences.
Les éruptions solaires se produisent lorsque les puissants champs magnétiques dans et autour du soleil se connectent. Ils sont habituellement associés à des régions actives, souvent considérées comme des taches solaires, où les champs magnétiques sont plus forts. La plus puissante explosion solaire a eu lieu en 2003, durant le dernier maximum solaire. Le cycle solaire actuel atteindra son maximum en 2013.
Une puissante explosion, de classe X, peut créer des tempêtes solaires dont les rayonnements peuvent atteindre la terre et nuire aux satellites et tout ce qu'ils relient dans nos systèmes de communication. Des pannes d'électricité mondiales pourraient alors se produire.
En 1989, un orage magnétique a perturbé la distribution d'énergie électrique dans la majeure partie du Québec.
* Saisissez-vous le message? Est-ce assez clair? Sortez des villes, équipez-vous de poêles au bois, sortez vos chandelles et préparez-vous à un tout autre mode de vie...
Source:
http://www.myweathertech.com/2011/08/17/solar-flare-activity-prompting-nasa-to-convene-a-news-briefing-thursday-in-washington/
Une météorite dans le ciel de Bretagne
200711 - une météorite dans le ciel de Bretagne? par fred-lille59
Une mortalité de masse silencieuse est en train de se produire au Japon et ce, dans la plus terrifiante indifférence des autorités...
LUNDI 23 MAI 2011Les images-radar montrent qu'une cellule de tempête, probablement une autre tornade, est en route vers Joplin et les villes avoisinantesSource:article de Conscience du peuple
Sam,9 avril 2011
À New-York, entre mardi et samedi, se déroule un exercice qui simule une attaque terroriste nucléaire. Plus de 400 "checkpoints" (stations d'interception des citoyens) ont été mis en place et tous les véhicules qui empruntent ces passages obligés se font intercepter par des agents. De nombreuses agences de contrôle sont impliquées dans cette "avant-première" de la loi martiale! On utilise bien sûr le prétexte d'une simulation d'attaque terroriste pour préparer les effectifs en vue de la mise en place d'un état policier. Disons que cet exercice habitue les gens à voir des policiers à tous les coins de rue et fait croire aux citoyens que les autorités se préoccupent de leur sécurité! Quelle ingénieuse stratégie n'est-ce pas!
Voici le reportage de CBS:
http://www.youtube.com/watch?v=mqcbdrSorF0&feature=player_embedded
En 1989, un orage magnétique a perturbé la distribution d'énergie électrique dans la majeure partie du Québec.
* Saisissez-vous le message? Est-ce assez clair? Sortez des villes, équipez-vous de poêles au bois, sortez vos chandelles et préparez-vous à un tout autre mode de vie...
Source:
http://www.myweathertech.com/2011/08/17/solar-flare-activity-prompting-nasa-to-convene-a-news-briefing-thursday-in-washington/
Une météorite dans le ciel de Bretagne
200711 - une météorite dans le ciel de Bretagne? par fred-lille59
Radiations prises au Japon le 7 juin
L'homme qui tourne la vidéo se trouve à 220 km de la centrale de Fukushima. Il sort de chez lui et pose son instrument de mesure des radiations nucléaires sur le sol: 5.77 micro-sievert. Une mesure extrêmement élevée, réputée dangereuse pour la santé des humains.
0.58 micro-sievert représente 8 fois la normale admise et le compteur montre 5.77!
Une mortalité de masse silencieuse est en train de se produire au Japon et ce, dans la plus terrifiante indifférence des autorités...
LUNDI 23 MAI 2011Les images-radar montrent qu'une cellule de tempête, probablement une autre tornade, est en route vers Joplin et les villes avoisinantesSource:article de Conscience du peuple
Les USA sont touchés par des tornades,la main de Dieu???
Dutchsinse il y a quelques minutes:
En ce moment, au Québec, il y a de gros orages et les inondations qui prennent place dans certaines régions ont déjà atteint un niveau record et critique. Les familles qui vivent cette épreuve sont à bout de souffle et il semble que la pluie torrentielle qui tombe aujourd'hui ne va qu'empirer leur malheur.
Des vidéos tournées juste après la tornade
Plus de 18 tornades ont ravagé certains secteurs du Centre des États-Unis dans les
48 dernières heures et d'autres sont attendues aujourd'hui.
Cette première vidéo amateur est absolument troublante, vraiment troublante.
Des gens se préparent tranquillement à l'arrivée de la tornade et...
Ces images nous font réaliser que nous sommes dans un état de grande
vulnérabilité face aux phénomènes climatiques.
Un séisme de magnitude de 7,1 s'est produit ce matin,on attends un tsunami de 2 mètres, la centrale de fukishima a été vidée de ses techniciens pour des raisons de sécurité
Source France24 philippe ehua
Le Japon met en garde contre une série de séismes et d'éruptions volcaniques après le tremblement de terre du 7 avril
L'Agence météorologique du Japon a averti vendredi que les 20 volcans du pays sont devenus sensibles à cause du tremblement de terre du 11 mars dernier et qu'une étude révèlerait qu'un tremblement de terre de magnitude 9.0 pourrait encore frapper le Japon.
L'Agence a déclaré que des explosions volcaniques se sont produites plusieurs fois dans l'histoire après un tremblement de terre. Elle met en garde les populations concernées. Le nombre de tremblements de terre supérieurs à 6.0 a été de 77 en mars. Sur ce nombre, 74 ont été des répliques. C'est 50 fois supérieur à la même période l'an dernier.
La réplique la plus importante, le 7 avril, a tué 4 personnes, en a blessé 166 et a privé de courant 2 610 000 ménages selon les responsables de la police du Japon. L'Agence météorologique croit que d'autres répliques au-dessus de 6.0 pourraient encore frapper.
Pendant ce temps, des tremblements ont été notés sur les 20 volcans du pays, particulièrement fréquents depuis le 11 mars. On parle du Fuji, le Hakone et le Aso-San.
Les autorités du Japon ont annoncé vendredi les résultats d'une recherche qui indiquent qu'une chaîne de tremblements de terre de plus de 9.0 pourrait frapper le Japon et sa côte.
Source:
http://hken.ibtimes.com/articles/132419/20110408/japan-warns-of-massive-earthquake-and-volcanic-explosion-after-the-april-7-earthquake.htm#ixzz1J58dTfxj
L'Agence a déclaré que des explosions volcaniques se sont produites plusieurs fois dans l'histoire après un tremblement de terre. Elle met en garde les populations concernées. Le nombre de tremblements de terre supérieurs à 6.0 a été de 77 en mars. Sur ce nombre, 74 ont été des répliques. C'est 50 fois supérieur à la même période l'an dernier.
La réplique la plus importante, le 7 avril, a tué 4 personnes, en a blessé 166 et a privé de courant 2 610 000 ménages selon les responsables de la police du Japon. L'Agence météorologique croit que d'autres répliques au-dessus de 6.0 pourraient encore frapper.
Pendant ce temps, des tremblements ont été notés sur les 20 volcans du pays, particulièrement fréquents depuis le 11 mars. On parle du Fuji, le Hakone et le Aso-San.
Les autorités du Japon ont annoncé vendredi les résultats d'une recherche qui indiquent qu'une chaîne de tremblements de terre de plus de 9.0 pourrait frapper le Japon et sa côte.
Source:
http://hken.ibtimes.com/articles/132419/20110408/japan-warns-of-massive-earthquake-and-volcanic-explosion-after-the-april-7-earthquake.htm#ixzz1J58dTfxj
Sam,9 avril 2011
À New-York, entre mardi et samedi, se déroule un exercice qui simule une attaque terroriste nucléaire. Plus de 400 "checkpoints" (stations d'interception des citoyens) ont été mis en place et tous les véhicules qui empruntent ces passages obligés se font intercepter par des agents. De nombreuses agences de contrôle sont impliquées dans cette "avant-première" de la loi martiale! On utilise bien sûr le prétexte d'une simulation d'attaque terroriste pour préparer les effectifs en vue de la mise en place d'un état policier. Disons que cet exercice habitue les gens à voir des policiers à tous les coins de rue et fait croire aux citoyens que les autorités se préoccupent de leur sécurité! Quelle ingénieuse stratégie n'est-ce pas!
Voici le reportage de CBS:
http://www.youtube.com/watch?v=mqcbdrSorF0&feature=player_embedded
Sam,9 avril 2011
Selon une scientifique indépendante reconnue, il y a un "cover up" des autorités pour dissimuler aux populations la "guerre nucléaire" qui se joue en ce moment au-dessus de nos têtes: une entrevue extrêmement controversée et choquante!
Pour voir l'entrevue intégrale de Leuren Moret:
Partie 1
http://vimeo.com/22003021
Partie 2
http://vimeo.com/22003275
Opinions d'experts indépendants
Le 4 avril, la scientifique et experte international en radioactivité Leuren Moret, a déclaré lors d'une entrevue avec Alfred Lambremont Webre qu'Obama et le Premier ministre canadien Stephen Harper vont cacher les effets d'une guerre nucléaire tectonique sur l'Amérique du Nord par les retombées de Fukushima. En fait, les cartes de radioactivité de l'Institut norvégien pour la recherche atmosphérique (NILU) confirment une contamination sur la côte ouest, le Midwest et l'Ouest du Canada, et dans certaines régions plus élevée qu'au Japon.
De I'iode-131 radioactif dans l'eau de pluie échantillonné près de San Francisco a été trouvé à plus de 18.000 fois au-dessus des normes fédérales de l'eau potable. Les échantillons de l'Idaho, du Minnesota, de l'Ohio,de la Pennsylvanie et du Massachusetts ont montré de l'iode-131 jusqu'à 181 fois supérieur à la norme, et qui devrait augmenter. Il fait aussi son apparition dans le lait.
En conséquence, les mesures mobiles dans certaines parties de l'Amérique et le Canada ont été suspendues jusqu'à nouvel avis pour dissimuler la gravité de la catastrophe.
Moret a cité deux éminents scientifiques en nucléaire qui ont déclaré publiquement que le nord du Japon (un tiers du pays) est inhabitable et doit être évacué. Marion Fulk est l'un des scientifiques du projet Manhattan qui a aidé à développer la bombe à hydrogène. Il a également été expert en retombées sur l'atmosphère américaine quand les tests ci-dessus ont été effectués.
Le Dr Chris Busby est l'autre, le spécialiste des rayonnements ionisants. Le 30 Mars, il a dit à la télévision Russia Today que la contamination de Fukushima causera au moins 417 000 nouveaux cancers.
Moret a appelé Fukushima une opération "false flag" pour affaiblir un rival économique, nuire à l'économie, l'agriculture et la pêche, et compromettre sa détente avec la Chine. Par rapport à Tchernobyl, Fukushima libére énormément plus de rayonnement, peut-être de trop énormes quantités pour imaginer les effets potentiellement catastrophiques sur le monde.
En réponse, le Japon, l'Amérique et le Canada sont dans le déni. Les niveaux acceptables d'exposition au rayonnement ont été élevés. Les tests atmosphériques américains et canadiens ont été suspendus. Les autorités de l'État ont dit aux médecins de Californie de ne pas donner de l'iode pour les patients concernés. Mesurer le rayonnement dans le lait a également été arrêté.
La contamination se répand de l'Arctique à l'équateur. Les isotopes radioactifs à longue durée de vie provoqueront des ravages sur la santé humaine et l'environnement pour des générations. Moret a dit que les formes de vie développées sur des milliards d'années seront détruites dans un siècle.
Le 29 mars, un article de Chris Busby de Rense.com s'intitulait "Démolir les experts nucléaires" :
"Ce que ces gens ont en commun c'est l'ignorance. (beaucoup de ceux)qui apparaissent (dans les grands médias) et pontifient n'ont pas vraiment fait de recherche sur la question du rayonnement et de la santé. Ou s'ils l'ont fait, ils ont.... raté toutes les études clés et les références. (D'autres sont) réellement méchants en disant qu'on n'a rien à craindre de Fukushima, rien comme Tchernobyl ou Three Mile Island.
En fait, Fukushima est déjà bien supérieur aux deux autres et ira de plus en plus mal avec les disséminations de rayonnement qui se poursuivent et s'étendent. Busby citait Joseph Conrad en disant: «après que tous les cris se sont tus, le silence sinistre des faits demeurent."
" «Je crois que (l'éventail des) experts charlatans", a déclaré Busby, "sont pénalement irresponsables, car leurs conseils mèneront à des millions de morts .... J'espère qu'ils seront envoyés en prison où ils pourront avoir beaucoup de temps pour lire les preuves scientifiques (montrant) que leur avis était fondé sur l'analyse mathématique de l'air léger. "
Il a cité le regretté professeuur John Gofman, un grand expert responsable américain de l'énergie atomique à la Commission, qui a démissionné, en disant:
"L'industrie nucléaire est une guerre contre l'humanité."
Jusqu'à présent, en fait, il a gagné. On est entré dans un "endgame" qui décidera si oui ou non l'humanité survivra. ''Pas d'une soudaine guerre nucléaire", a déclaré Busby. "Mais d'une guerre nucléaire en cours et progressive qui a commencé avec les rejets dans la biosphère au cours des années 60 par toutes les retombées des essais atmosphériques, et qui s'est continué inexorablement depuis (à ce jour), accompagnée par un accroissement parallèle des taux de cancer et la perte de fertilité de la race humaine. "
" Busby l'appelle «le scandale de santé publique le plus grand del'histoire humaine ....» Qui peut être en désaccord ?
Un dernier commentaire
Dans un e-mail personnel, le chercheur en environnement, le Dr Ilya Perlingieri a expliqué les dangers du déversement par les japonais de milliers de tonnes d'eau radioactive dans le Pacifique, en disant:
Nous sommes tous en grave danger! Ceci a été de la folie ! Cette eau radioactive va venir ici (vers l'Amérique). Ça ne fait aucun doute. Les courants l'emmèneront vers la côte ouest et contamineront les plages et toute la vie marine entre la côte et le Japon. Ce qui s'évapore naturellement viendra alors par les courants aériens sur le reste des États-Unis et le reste de la planète! "
«C'est homérique, et ce n'était pas un accident."
Traduit par Hélios
Sam,9 avril 2011
De très nombreux tremblements de terre en Arkansas dans les derniers jours: secteur logé sur la faille de New Madrid...
Ci-bas, 23 tremblements de terre enregistrés en Arkansas, zone importante de la faille de New Madrid, dans les 2 derniers jours. Selon des analystes qui suivent de près la situation, ces secousses sismiques ne seraient pas habituelles. D'ailleurs, des scientifiques ont fait part de leurs inquiétudes suite à de très nombreux tremblements de terre en Arkansas depuis septembre 2010, plus de 800, ce qui fait craindre un évènement majeur le long de la faille de New Madrid (traverse 7 ou 8 états du mid-est).
MAP 3.5 2011/04/08 11:46:19 35.258N 92.376W 6.2 3 km ( 2 mi) NE of Greenbrier, AR
map 2.9 2011/04/08 11:02:39 35.253N 92.368W 6.2 3 km ( 2 mi) NE of Greenbrier, AR
map 2.4 2011/04/08 10:36:06 35.251N 92.350W 3.0 4 km ( 2 mi) ENE of Greenbrier, AR
MAP 3.9 2011/04/08 09:56:32 35.261N 92.362W 6.3 4 km ( 3 mi) NE of Greenbrier, AR
map 2.6 2011/04/08 08:16:48 35.236N 92.366W 6.0 2 km ( 1 mi) E of Greenbrier, AR
map 2.6 2011/04/08 07:46:39 35.237N 92.366W 3.5 2 km ( 1 mi) E of Greenbrier, AR
MAP 3.0 2011/04/08 05:12:53 35.252N 92.391W 5.2 2 km ( 1 mi) N of Greenbrier, AR
map 2.5 2011/04/08 04:13:57 35.254N 92.360W 4.6 3 km ( 2 mi) NE of Greenbrier, AR
map 2.4 2011/04/08 03:17:08 35.239N 92.349W 5.2 4 km ( 2 mi) E of Greenbrier, AR
map 2.4 2011/04/08 02:57:33 35.229N 92.347W 4.6 4 km ( 2 mi) E of Greenbrier, AR
map 2.5 2011/04/08 01:47:43 35.243N 92.360W 3.5 3 km ( 2 mi) ENE of Greenbrier, AR
map 2.9 2011/04/07 23:35:04 35.253N 92.357W 4.6 3 km ( 2 mi) NE of Greenbrier, AR
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MAP 3.4 2011/04/06 21:34:50 35.232N 92.367W 6.3 2 km ( 1 mi) ENE of Greenbrier, AR
Source:
http://folkworm.ceri.memphis.edu/recenteqs/Quakes/quakes0.html
LA MENACE DE RADIATIONS NUCLÉAIRES AUGMENTE
http://www.ajc.com/business/meltdown-threat-rises-at-871684.html
Pour voir l'entrevue intégrale de Leuren Moret:
Partie 1
http://vimeo.com/22003021
Partie 2
http://vimeo.com/22003275
Opinions d'experts indépendants
Le 4 avril, la scientifique et experte international en radioactivité Leuren Moret, a déclaré lors d'une entrevue avec Alfred Lambremont Webre qu'Obama et le Premier ministre canadien Stephen Harper vont cacher les effets d'une guerre nucléaire tectonique sur l'Amérique du Nord par les retombées de Fukushima. En fait, les cartes de radioactivité de l'Institut norvégien pour la recherche atmosphérique (NILU) confirment une contamination sur la côte ouest, le Midwest et l'Ouest du Canada, et dans certaines régions plus élevée qu'au Japon.
De I'iode-131 radioactif dans l'eau de pluie échantillonné près de San Francisco a été trouvé à plus de 18.000 fois au-dessus des normes fédérales de l'eau potable. Les échantillons de l'Idaho, du Minnesota, de l'Ohio,de la Pennsylvanie et du Massachusetts ont montré de l'iode-131 jusqu'à 181 fois supérieur à la norme, et qui devrait augmenter. Il fait aussi son apparition dans le lait.
En conséquence, les mesures mobiles dans certaines parties de l'Amérique et le Canada ont été suspendues jusqu'à nouvel avis pour dissimuler la gravité de la catastrophe.
Moret a cité deux éminents scientifiques en nucléaire qui ont déclaré publiquement que le nord du Japon (un tiers du pays) est inhabitable et doit être évacué. Marion Fulk est l'un des scientifiques du projet Manhattan qui a aidé à développer la bombe à hydrogène. Il a également été expert en retombées sur l'atmosphère américaine quand les tests ci-dessus ont été effectués.
Le Dr Chris Busby est l'autre, le spécialiste des rayonnements ionisants. Le 30 Mars, il a dit à la télévision Russia Today que la contamination de Fukushima causera au moins 417 000 nouveaux cancers.
Moret a appelé Fukushima une opération "false flag" pour affaiblir un rival économique, nuire à l'économie, l'agriculture et la pêche, et compromettre sa détente avec la Chine. Par rapport à Tchernobyl, Fukushima libére énormément plus de rayonnement, peut-être de trop énormes quantités pour imaginer les effets potentiellement catastrophiques sur le monde.
En réponse, le Japon, l'Amérique et le Canada sont dans le déni. Les niveaux acceptables d'exposition au rayonnement ont été élevés. Les tests atmosphériques américains et canadiens ont été suspendus. Les autorités de l'État ont dit aux médecins de Californie de ne pas donner de l'iode pour les patients concernés. Mesurer le rayonnement dans le lait a également été arrêté.
La contamination se répand de l'Arctique à l'équateur. Les isotopes radioactifs à longue durée de vie provoqueront des ravages sur la santé humaine et l'environnement pour des générations. Moret a dit que les formes de vie développées sur des milliards d'années seront détruites dans un siècle.
Le 29 mars, un article de Chris Busby de Rense.com s'intitulait "Démolir les experts nucléaires" :
"Ce que ces gens ont en commun c'est l'ignorance. (beaucoup de ceux)qui apparaissent (dans les grands médias) et pontifient n'ont pas vraiment fait de recherche sur la question du rayonnement et de la santé. Ou s'ils l'ont fait, ils ont.... raté toutes les études clés et les références. (D'autres sont) réellement méchants en disant qu'on n'a rien à craindre de Fukushima, rien comme Tchernobyl ou Three Mile Island.
En fait, Fukushima est déjà bien supérieur aux deux autres et ira de plus en plus mal avec les disséminations de rayonnement qui se poursuivent et s'étendent. Busby citait Joseph Conrad en disant: «après que tous les cris se sont tus, le silence sinistre des faits demeurent."
" «Je crois que (l'éventail des) experts charlatans", a déclaré Busby, "sont pénalement irresponsables, car leurs conseils mèneront à des millions de morts .... J'espère qu'ils seront envoyés en prison où ils pourront avoir beaucoup de temps pour lire les preuves scientifiques (montrant) que leur avis était fondé sur l'analyse mathématique de l'air léger. "
Il a cité le regretté professeuur John Gofman, un grand expert responsable américain de l'énergie atomique à la Commission, qui a démissionné, en disant:
"L'industrie nucléaire est une guerre contre l'humanité."
Jusqu'à présent, en fait, il a gagné. On est entré dans un "endgame" qui décidera si oui ou non l'humanité survivra. ''Pas d'une soudaine guerre nucléaire", a déclaré Busby. "Mais d'une guerre nucléaire en cours et progressive qui a commencé avec les rejets dans la biosphère au cours des années 60 par toutes les retombées des essais atmosphériques, et qui s'est continué inexorablement depuis (à ce jour), accompagnée par un accroissement parallèle des taux de cancer et la perte de fertilité de la race humaine. "
" Busby l'appelle «le scandale de santé publique le plus grand del'histoire humaine ....» Qui peut être en désaccord ?
Un dernier commentaire
Dans un e-mail personnel, le chercheur en environnement, le Dr Ilya Perlingieri a expliqué les dangers du déversement par les japonais de milliers de tonnes d'eau radioactive dans le Pacifique, en disant:
Nous sommes tous en grave danger! Ceci a été de la folie ! Cette eau radioactive va venir ici (vers l'Amérique). Ça ne fait aucun doute. Les courants l'emmèneront vers la côte ouest et contamineront les plages et toute la vie marine entre la côte et le Japon. Ce qui s'évapore naturellement viendra alors par les courants aériens sur le reste des États-Unis et le reste de la planète! "
«C'est homérique, et ce n'était pas un accident."
Traduit par Hélios
Sam,9 avril 2011
De très nombreux tremblements de terre en Arkansas dans les derniers jours: secteur logé sur la faille de New Madrid...
Ci-bas, 23 tremblements de terre enregistrés en Arkansas, zone importante de la faille de New Madrid, dans les 2 derniers jours. Selon des analystes qui suivent de près la situation, ces secousses sismiques ne seraient pas habituelles. D'ailleurs, des scientifiques ont fait part de leurs inquiétudes suite à de très nombreux tremblements de terre en Arkansas depuis septembre 2010, plus de 800, ce qui fait craindre un évènement majeur le long de la faille de New Madrid (traverse 7 ou 8 états du mid-est).
MAP 3.5 2011/04/08 11:46:19 35.258N 92.376W 6.2 3 km ( 2 mi) NE of Greenbrier, AR
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Source:
http://folkworm.ceri.memphis.edu/recenteqs/Quakes/quakes0.html
LA MENACE DE RADIATIONS NUCLÉAIRES AUGMENTE
14 mars 2011
* Les nouvelles de dernières minutes disent que 3 réacteurs sont actuellement en difficulté et qu'un quatrième pourrait aussi représenter une menace. À confirmer au cours de la journée.
Un expert en qualité de l'air, le professeur Menachem Luria, a déclaré dans les médias que la situation actuelle au Japon concernant les réacteurs nucléaires est beaucoup plus dangereuse que l'incident de Chernobyl:
http://www.haaretz.com/print-edition/news/japan-nuclear-blast-could-be-more-deadly-than-chernobyl-experts-fear-1.348809
Les niveaux d'eau ont chuté abruptement lundi à l'intérieur d'un réacteur nucléaire laissant les barres d'uranium complètement exposées et augmentant ainsi le risque d'exposition et ce, quelques heures après qu'une explosion d'hydrogène ait ravagé le bâtiment abritant un autre réacteur.
Les niveaux d'eau ont été restaurés après la première baisse, mais les tiges ont resté exposées dans la nuit de lundi après le deuxième épisode. Les risques de propagation de radiations nucléaires sont accrus ainsi que la possibilité d'un grave désastre.
Selon le gouvernement japonais, il n'y a pas de preuves d'exposition à des radiations nocives. Les autorités semblent confiantes et se veulent rassurantes, tandis que des experts estiment que les risques d'un accident nucléaire de grande ampleur n'est pas du tout écarté.
Des militaires américains ont mesuré de faibles niveaux de radiation et le gouvernement américain a choisi de ne pas envoyer sa flotte de navires dans le secteur, craignant les radiations.
http://www.ajc.com/business/meltdown-threat-rises-at-871684.html
Japon
Le Japon redoute un désastre nucléaire après le séisme et le tsunami [En direct]
Catastrophedimanche 13 mars 2011
-
Le séisme et le tsunami auraient fait plus de 3 000 morts et disparus. Mais ce dimanche, le Japon s’est réveillé avec une autre angoisse, celle d’une catastrophe nucléaire.
Des émanations radioactives et des dysfonctionnements sur deux réacteurs de la centrale de Fukushima font craindre le pire. Près de 280 000 personnes ont été évacuées dans la zone à risque.
8h24. La police s'attend à plus de 10 000 morts dans la préfecture côtière de Miyagi, la plus proche de l'épicentre, a annoncé dimanche le chef de la police locale, cité par la télévision publique NHK.
7h50. Le gouvernement japonais n'exclut pas un nouveau risque d'explosion à la centrale nucléaire de Fukushima N° 1 en raison de l'accumulation d'hydrogène dans le réacteur 3.
5h20. Un processus de fusion, au cœur des réacteurs 1 et 3 de la centrale nucléaire de Fukushima, est « hautement probable », indique le gouvernement japonais.
5h09. L’explosion de samedi, à la centrale nucléaire de Fukushima a fait un mort et 11 blessés selon un premier bilan communiqué par l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).
4h35. La compagnie Tokyo Electric Power (Tepco) indique qu’elle se prépare à libérer dans l’atmosphère une partie de la vapeur du réacteur N°3 de la centrale nucléaire de Fukushima.
4h23. Plus de 200 corps ont été retrouvés dans la localité côtière de Higashimatsushima. On était aussi sans nouvelles de centaines d’autres habitants du quartier de Nobiru dans la même ville.
3h31. Des radiations se seraient échappées du réacteur N°3 de la centrale nucléaire Fukushima N°1. Le niveau de l’eau, censée refroidir le réacteur, a baissé, découvrant les barres de combustible sur une hauteur de 3 mètres.
3h12. Environ 1 167 personnes sont portées disparues dans la préfecture de Fukushima, voisine de la zone la plus touchée par le séisme et le tsunami qui ont dévasté le nord-est du Japon vendredi.
2h49. La limite légale de radioactivité a été dépassée sur le site de la centrale nucléaire N°1 de Fukushima au Japon, où a eu lieu une explosion samedi. Les niveaux de radiation, qui avaient décliné la nuit précédente, étaient repartis à la hausse en matinée.
00h46. Cette fois, c’est le réacteur nucléaire N°3 qui pose problème, à la centrale de Fukushima. L’opérateur, la compagnie Tokyo Electric Power (Tepco) évoque un risque d’explosion. Le système de refroidissement est tombé en panne.
00h32. Le porte-avions américain Ronald Reagan est arrivé dimanche matin au large du Japon pour aider les troupes japonaises engagées dans les opérations de secours.
Le séisme et le tsunami auraient fait plus de 3 000 morts et disparus. Mais ce dimanche, le Japon s’est réveillé avec une autre angoisse, celle d’une catastrophe nucléaire.
8h24. La police s'attend à plus de 10 000 morts dans la préfecture côtière de Miyagi, la plus proche de l'épicentre, a annoncé dimanche le chef de la police locale, cité par la télévision publique NHK.
7h50. Le gouvernement japonais n'exclut pas un nouveau risque d'explosion à la centrale nucléaire de Fukushima N° 1 en raison de l'accumulation d'hydrogène dans le réacteur 3.
5h20. Un processus de fusion, au cœur des réacteurs 1 et 3 de la centrale nucléaire de Fukushima, est « hautement probable », indique le gouvernement japonais.
5h09. L’explosion de samedi, à la centrale nucléaire de Fukushima a fait un mort et 11 blessés selon un premier bilan communiqué par l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).
4h35. La compagnie Tokyo Electric Power (Tepco) indique qu’elle se prépare à libérer dans l’atmosphère une partie de la vapeur du réacteur N°3 de la centrale nucléaire de Fukushima.
4h23. Plus de 200 corps ont été retrouvés dans la localité côtière de Higashimatsushima. On était aussi sans nouvelles de centaines d’autres habitants du quartier de Nobiru dans la même ville.
3h31. Des radiations se seraient échappées du réacteur N°3 de la centrale nucléaire Fukushima N°1. Le niveau de l’eau, censée refroidir le réacteur, a baissé, découvrant les barres de combustible sur une hauteur de 3 mètres.
3h12. Environ 1 167 personnes sont portées disparues dans la préfecture de Fukushima, voisine de la zone la plus touchée par le séisme et le tsunami qui ont dévasté le nord-est du Japon vendredi.
2h49. La limite légale de radioactivité a été dépassée sur le site de la centrale nucléaire N°1 de Fukushima au Japon, où a eu lieu une explosion samedi. Les niveaux de radiation, qui avaient décliné la nuit précédente, étaient repartis à la hausse en matinée.
00h46. Cette fois, c’est le réacteur nucléaire N°3 qui pose problème, à la centrale de Fukushima. L’opérateur, la compagnie Tokyo Electric Power (Tepco) évoque un risque d’explosion. Le système de refroidissement est tombé en panne.
00h32. Le porte-avions américain Ronald Reagan est arrivé dimanche matin au large du Japon pour aider les troupes japonaises engagées dans les opérations de secours.
Fukushima: la menace d'une catastrophe nucléaire
Il était 15 h 36 au Japon, 7 h 36 en France, quand une explosion s'est produite, hier, à la centrale de Fukushima N°1, au nord du pays. D'après Tokyo Electric Power (Tepco), la compagnie nippone qui exploite la centrale, l'explosion s'est produite après une secousse qui aurait entraîné l'effondrement du toit et des murs du bâtiment du réacteur. Et après cet effondrement, les installations se sont embrasées. Dans la seconde qui a suivi l'explosion, un nuage blanc s'est élevé au-dessus du site. Aussitôt, les autorités locales ont donné l'ordre aux habitants d'évacuer la zone dans un rayon de 20 kilomètres autour de la centrale. La police a établi des barrages sur les routes pour bloquer les accès au secteur. De son côté, le gouvernement japonais a appelé la population locale au calme. Quant à l'Agence internationale de l'énergie atomique, elle a été informée par les autorités japonaises qu'elles prenaient des dispositions en vue de distribuer de l'iode aux riverains des centrales nucléaires. La dose de radioactivité mesuréesur le site du sinistre correspond à celle qu'une personne peut absorber au maximum en un an.
MENACE DE CONTAMINATION NUCLÉAIRE
Au lendemain du séisme de magnitude 8,9 qui a dévasté le nord-est du Japon, le pays est désormais sous la menace d'une contamination nucléaire. Les problèmes du réacteur N°1 de la centrale Fukushima avaient débuté vendredi, immédiatement après le séisme qui a fortement endommagé le site. Des problèmes de température étaient apparus et l'armée de l'air américaine avait livré du liquide de refroidissement sur place pendant la nuit de vendredi à samedi. De son côté la Tepco avait reçu pour instruction d'ouvrir les valves du réacteur pour relâcher de la vapeur radioactive et faire retomber la pression interne, anormalement élevée. L'Agence de sécurité nucléaire et industrielle avait assuré que cette opération semblait avoir relativement fonctionné, avant l'annonce de l'explosion. Hier soir, on apprenait que le système de refroidissement d'urgence du réacteur n°3 était en panne. Selon l'agence de sûreté atomique japonaise, il se peut qu'au moins neuf personnes aient été irradiées dans les installations nucléaires de Fukushima. L « Il y a tellement de gens qui ont perdu la vie », a dit un vieil homme, avant de fondre en larmes et d'ajouter : « Je n'ai pas de mots pour cela ». On en recense 1 800 à ce jour. Le bilan pourrait s'alourdir. Hier on était sans nouvelles d'environ 10 000 des 17 000 habitants de la ville portuaire de Minamisanriku…
Le chiffre : 2
Les craintes d'un accident nucléaire majeur grandissaient hier au Japon après une explosion dans une centrale nucléaire située à 250 km de Tokyo, au lendemain du très fort séisme, suivi d'un tsunami meurtrier, qui a fait près de 1 800 morts et disparus.
La phrase
« 65 ans après Hiroshima et Nagasaki, un nouveau Tchernobyl menace le Japon. Combien de temps encore nos dirigeants resteront-ils sourds à toute raison » : Les amis de la Terre.
Les principaux accidents nucléaires de l'histoire
28 mars 1979 aux États-Unis : A Three Mile Island (Pennsylvanie), une série d'erreurs humaines et de défaillances matérielles empêchent le refroidissement normal d'un réacteur, dont le cœur commence à fondre. Les rejets radioactifs provoquent une contamination importante à l'intérieur de l'enceinte de confinement, mais sans affecter les populations ni l'environnement. 140 000 personnes sont temporairement déplacées.
août 1979 aux États-Unis : Une fuite d'uranium dans un site nucléaire secret près d'Erwin (Tennessee) contamine un millier de personnes.
- janvier 1981 au Japon : Quatre fuites radioactives se produisent à la centrale nucléaire de Tsuruga (centre). 278 personnes sont irradiées.
26 avril 1986 en URSS : Le réacteur n° 4 de la centrale soviétique de Tchernobyl (Ukraine) explose au cours d'un test de sûreté, causant la plus grande catastrophe du nucléaire civil et faisant plus de 25 000 morts (estimations officieuses). Pendant dix jours, le combustible nucléaire brûle, rejetant dans l'atmosphère des radioéléments d'une intensité équivalente à plus de 200 bombes d'Hiroshima et contaminant les trois quarts de l'Europe.
avril 1993 en Russie : Une explosion dans une usine de retraitement de combustible irradié à Tomsk-7, ville secrète de Sibérie occidentale, provoque la formation d'un nuage et la projection de matières radioactives. Le nombre des victimes n'est pas connu.
23 juillet 2008 en France : Pendant une opération de maintenance réalisée sur un des réacteurs du site nucléaire du Tricastin (Sud), des substances radioactives s'échappent, contaminant très légèrement une centaine de salariés.
Expert
« La situation est très grave »
Savez-vous ce qui s'est vraiment passé sur le site de la centrale nucléaire de Fukushima ?
Après le tremblement de terre, 11 à 14 réacteurs nucléaires de la centrale se seraient arrêtés automatiquement. Mais malgré l'arrêt automatique d'un réacteur, les assemblages de combustible ont une température élevée et leur refroidissement doit être maintenu par circulation d'eau. Or, cinq réacteurs ont présenté des difficultés à maintenir le refroidissement, entraînant une hausse très importante de la pression. Les autorités ont annoncé un possible début de fusion. Ce qui est sûr, c'est que sur un des cinq réacteurs, de la vapeur radioactive a été relâchée dans l'environnement pour faire retomber la pression. Cet incident nucléaire est très grave.
L'accident de la centrale nucléaire au Japon a relancé le débat sur la sûreté des installations en France. Les inquiétudes sont-elles fondées ?
Le phénomène de fusion du cœur est possible sur toutes les installations nucléaires du monde. Si les centrales françaises sont conçues en prenant en compte un certain niveau de risque sismique, les installations nucléaires ne présentent pas toutes des normes de sécurité absolues. EDF a par exemple reconnu il y a quelques mois que dans certaines parties de ses installations, il y avait un non respect des critères de résistance aux séismes. En revanche, la nouvelle centrale nucléaire de Flamanville dans la Manche, actuellement en construction, a prévu un dispositif pour récupérer le cœur en fusion en cas d'incident. Ce qui est certain, c'est que le « risque zéro » n'existe pas.
Peut-on comparer l'explosion de Fukushima à la catastrophe de Tchernobyl en avril 1986 ?
Il est actuellement trop tôt pour comparer les deux événements. Nous ne disposons pas pour le moment de chiffres précis de radioactivité et les informations qui parviennent sont souvent partielles et contradictoires.
« On s'aide entre amis français »
« Au début on s'est dit que c'était un tremblement de terre ordinaire. Et puis les secousses se sont amplifiées en intensité… » Marie-Claire Constans, 30 ans, Toulousaine employée à Tokyo, nous a raconté sa vie depuis vendredi matin. « On a mis nos casques et on a pris les sacs à dos d'urgence qu'on garde sous les bureaux pour se rendre au point de ralliement du quartier, la cour d'une école primaire, qui est un espace dégagé ou rien ne risquait de nous tomber dessus. La nuit a été très stressante à cause des répliques tous les quarts d'heure. J'habite dans un vieil immeuble et je n'étais pas très rassurée d'y rester. On s'est retrouvées avec des copines pour aller dormir chez d'autres amis français. Dans ce genre de situations les Français sont très solidaires. Ce qui m'a frappé c'est l'individualisme des Japonais. Pas de covoiturage ni d'auto-stoppeurs. Les supermarchés et les épiceries du quartier ont été dévalisés. Il y a néanmoins une menace dont on s'efforce de suivre l'évolution par la TV et internet. Il y a peu de gens en ville. Les instructions des autorités japonaises et de l'ambassade sont de rester chez soi avec des provisions et de calfeutrer les maisons. Je ne sais pas trop comment, les maisons japonaises étant particulièrement mal isolées. Ils recommandent également d'utiliser aussi peu d'électricité que possible. On aura probablement un black-out à Tokyo cette nuit. »
Numéro spécial. 9000 Français vivent au Japon, 50 étaient localisés dans la région de Sendai, 25 sont toujours recherchés. Le ministère des Affaires étrangères a mis à la disposition des familles un numéro de téléphone spécial, le 01 43 17 56 46.
Les autorités tentent de rassurer
Alors que le Japon compte ses victimes après le terrible tremblement de terre et le tsunami dévastateur survenus vendredi dans le nord-est du pays, en France, les autorités semblent minimiser l'ampleur et la gravité de la catastrophe. Hier, Éric Besson, le ministre de l'Industrie, a déclaré que cet accident était grave mais que ce n'était pas une catastrophe nucléaire. « Le nucléaire n'est qu'une petite partie et certainement pas la plus importante de ce drame national qui a frappé le Japon » a-t-il déclaré à la presse. Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l'Écologie, s'est également voulue rassurante en expliquant que les rejets de la centrale japonaise étaient « faiblement radioactifs ». « Aujourd'hui ont été relâchées dans l'environnement des émanations de vapeurs faiblement radioactives qui, au moment où nous parlons, ne semblent pas devoir être dangereuses pour les Japonais eux-mêmes et donc forcément pas dans les territoires d'Outre-mer » a-t-elle affirmé. Des propos tenus hier à l'issue d'une réunion de l'ensemble des acteurs français du secteur du nucléaire en charge de la sûreté et de la production. Alors que l'accident de la centrale nucléaire au Japon vient relancer le débat sur la sûreté des installations en France, deuxième plus grand pays nucléaire au monde après les États-Unis, le discours politique tend à canaliser les inquiétudes. Selon Éric Besson, il « faut dire et redire à nos concitoyens que toutes les centrales ont été conçues en intégrant les risques sismiques et d'inondation. » Yves Cochet, ancien ministre de l'environnement, en visite à Toulouse hier, a toutefois souligné que si « les conditions de sécurité dans les centrales françaises vont au-delà de ce qui est imposé au reste de l'industrie, nous savons qu'il y a des dysfonctionnements de conception notamment sur les générateurs de vapeur. » À Paris, la catastrophe survenue au Japon a suscité la vive inquiétude de différentes organisations hostiles au nucléaire. Pour le Réseau « Sortir du nucléaire », « la machine à étouffer l'information est en marche ».
Il était 15 h 36 au Japon, 7 h 36 en France, quand une explosion s'est produite, hier, à la centrale de Fukushima N°1, au nord du pays. D'après Tokyo Electric Power (Tepco), la compagnie nippone qui exploite la centrale, l'explosion s'est produite après une secousse qui aurait entraîné l'effondrement du toit et des murs du bâtiment du réacteur. Et après cet effondrement, les installations se sont embrasées. Dans la seconde qui a suivi l'explosion, un nuage blanc s'est élevé au-dessus du site. Aussitôt, les autorités locales ont donné l'ordre aux habitants d'évacuer la zone dans un rayon de 20 kilomètres autour de la centrale. La police a établi des barrages sur les routes pour bloquer les accès au secteur. De son côté, le gouvernement japonais a appelé la population locale au calme. Quant à l'Agence internationale de l'énergie atomique, elle a été informée par les autorités japonaises qu'elles prenaient des dispositions en vue de distribuer de l'iode aux riverains des centrales nucléaires. La dose de radioactivité mesuréesur le site du sinistre correspond à celle qu'une personne peut absorber au maximum en un an.
MENACE DE CONTAMINATION NUCLÉAIRE
Au lendemain du séisme de magnitude 8,9 qui a dévasté le nord-est du Japon, le pays est désormais sous la menace d'une contamination nucléaire. Les problèmes du réacteur N°1 de la centrale Fukushima avaient débuté vendredi, immédiatement après le séisme qui a fortement endommagé le site. Des problèmes de température étaient apparus et l'armée de l'air américaine avait livré du liquide de refroidissement sur place pendant la nuit de vendredi à samedi. De son côté la Tepco avait reçu pour instruction d'ouvrir les valves du réacteur pour relâcher de la vapeur radioactive et faire retomber la pression interne, anormalement élevée. L'Agence de sécurité nucléaire et industrielle avait assuré que cette opération semblait avoir relativement fonctionné, avant l'annonce de l'explosion. Hier soir, on apprenait que le système de refroidissement d'urgence du réacteur n°3 était en panne. Selon l'agence de sûreté atomique japonaise, il se peut qu'au moins neuf personnes aient été irradiées dans les installations nucléaires de Fukushima. L « Il y a tellement de gens qui ont perdu la vie », a dit un vieil homme, avant de fondre en larmes et d'ajouter : « Je n'ai pas de mots pour cela ». On en recense 1 800 à ce jour. Le bilan pourrait s'alourdir. Hier on était sans nouvelles d'environ 10 000 des 17 000 habitants de la ville portuaire de Minamisanriku…
Le chiffre : 2
Les craintes d'un accident nucléaire majeur grandissaient hier au Japon après une explosion dans une centrale nucléaire située à 250 km de Tokyo, au lendemain du très fort séisme, suivi d'un tsunami meurtrier, qui a fait près de 1 800 morts et disparus.
La phrase
« 65 ans après Hiroshima et Nagasaki, un nouveau Tchernobyl menace le Japon. Combien de temps encore nos dirigeants resteront-ils sourds à toute raison » : Les amis de la Terre.
Les principaux accidents nucléaires de l'histoire
28 mars 1979 aux États-Unis : A Three Mile Island (Pennsylvanie), une série d'erreurs humaines et de défaillances matérielles empêchent le refroidissement normal d'un réacteur, dont le cœur commence à fondre. Les rejets radioactifs provoquent une contamination importante à l'intérieur de l'enceinte de confinement, mais sans affecter les populations ni l'environnement. 140 000 personnes sont temporairement déplacées.
août 1979 aux États-Unis : Une fuite d'uranium dans un site nucléaire secret près d'Erwin (Tennessee) contamine un millier de personnes.
- janvier 1981 au Japon : Quatre fuites radioactives se produisent à la centrale nucléaire de Tsuruga (centre). 278 personnes sont irradiées.
26 avril 1986 en URSS : Le réacteur n° 4 de la centrale soviétique de Tchernobyl (Ukraine) explose au cours d'un test de sûreté, causant la plus grande catastrophe du nucléaire civil et faisant plus de 25 000 morts (estimations officieuses). Pendant dix jours, le combustible nucléaire brûle, rejetant dans l'atmosphère des radioéléments d'une intensité équivalente à plus de 200 bombes d'Hiroshima et contaminant les trois quarts de l'Europe.
avril 1993 en Russie : Une explosion dans une usine de retraitement de combustible irradié à Tomsk-7, ville secrète de Sibérie occidentale, provoque la formation d'un nuage et la projection de matières radioactives. Le nombre des victimes n'est pas connu.
23 juillet 2008 en France : Pendant une opération de maintenance réalisée sur un des réacteurs du site nucléaire du Tricastin (Sud), des substances radioactives s'échappent, contaminant très légèrement une centaine de salariés.
Expert
« La situation est très grave »
Savez-vous ce qui s'est vraiment passé sur le site de la centrale nucléaire de Fukushima ?
Après le tremblement de terre, 11 à 14 réacteurs nucléaires de la centrale se seraient arrêtés automatiquement. Mais malgré l'arrêt automatique d'un réacteur, les assemblages de combustible ont une température élevée et leur refroidissement doit être maintenu par circulation d'eau. Or, cinq réacteurs ont présenté des difficultés à maintenir le refroidissement, entraînant une hausse très importante de la pression. Les autorités ont annoncé un possible début de fusion. Ce qui est sûr, c'est que sur un des cinq réacteurs, de la vapeur radioactive a été relâchée dans l'environnement pour faire retomber la pression. Cet incident nucléaire est très grave.
L'accident de la centrale nucléaire au Japon a relancé le débat sur la sûreté des installations en France. Les inquiétudes sont-elles fondées ?
Le phénomène de fusion du cœur est possible sur toutes les installations nucléaires du monde. Si les centrales françaises sont conçues en prenant en compte un certain niveau de risque sismique, les installations nucléaires ne présentent pas toutes des normes de sécurité absolues. EDF a par exemple reconnu il y a quelques mois que dans certaines parties de ses installations, il y avait un non respect des critères de résistance aux séismes. En revanche, la nouvelle centrale nucléaire de Flamanville dans la Manche, actuellement en construction, a prévu un dispositif pour récupérer le cœur en fusion en cas d'incident. Ce qui est certain, c'est que le « risque zéro » n'existe pas.
Peut-on comparer l'explosion de Fukushima à la catastrophe de Tchernobyl en avril 1986 ?
Il est actuellement trop tôt pour comparer les deux événements. Nous ne disposons pas pour le moment de chiffres précis de radioactivité et les informations qui parviennent sont souvent partielles et contradictoires.
« On s'aide entre amis français »
« Au début on s'est dit que c'était un tremblement de terre ordinaire. Et puis les secousses se sont amplifiées en intensité… » Marie-Claire Constans, 30 ans, Toulousaine employée à Tokyo, nous a raconté sa vie depuis vendredi matin. « On a mis nos casques et on a pris les sacs à dos d'urgence qu'on garde sous les bureaux pour se rendre au point de ralliement du quartier, la cour d'une école primaire, qui est un espace dégagé ou rien ne risquait de nous tomber dessus. La nuit a été très stressante à cause des répliques tous les quarts d'heure. J'habite dans un vieil immeuble et je n'étais pas très rassurée d'y rester. On s'est retrouvées avec des copines pour aller dormir chez d'autres amis français. Dans ce genre de situations les Français sont très solidaires. Ce qui m'a frappé c'est l'individualisme des Japonais. Pas de covoiturage ni d'auto-stoppeurs. Les supermarchés et les épiceries du quartier ont été dévalisés. Il y a néanmoins une menace dont on s'efforce de suivre l'évolution par la TV et internet. Il y a peu de gens en ville. Les instructions des autorités japonaises et de l'ambassade sont de rester chez soi avec des provisions et de calfeutrer les maisons. Je ne sais pas trop comment, les maisons japonaises étant particulièrement mal isolées. Ils recommandent également d'utiliser aussi peu d'électricité que possible. On aura probablement un black-out à Tokyo cette nuit. »
Numéro spécial. 9000 Français vivent au Japon, 50 étaient localisés dans la région de Sendai, 25 sont toujours recherchés. Le ministère des Affaires étrangères a mis à la disposition des familles un numéro de téléphone spécial, le 01 43 17 56 46.
Les autorités tentent de rassurer
Alors que le Japon compte ses victimes après le terrible tremblement de terre et le tsunami dévastateur survenus vendredi dans le nord-est du pays, en France, les autorités semblent minimiser l'ampleur et la gravité de la catastrophe. Hier, Éric Besson, le ministre de l'Industrie, a déclaré que cet accident était grave mais que ce n'était pas une catastrophe nucléaire. « Le nucléaire n'est qu'une petite partie et certainement pas la plus importante de ce drame national qui a frappé le Japon » a-t-il déclaré à la presse. Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l'Écologie, s'est également voulue rassurante en expliquant que les rejets de la centrale japonaise étaient « faiblement radioactifs ». « Aujourd'hui ont été relâchées dans l'environnement des émanations de vapeurs faiblement radioactives qui, au moment où nous parlons, ne semblent pas devoir être dangereuses pour les Japonais eux-mêmes et donc forcément pas dans les territoires d'Outre-mer » a-t-elle affirmé. Des propos tenus hier à l'issue d'une réunion de l'ensemble des acteurs français du secteur du nucléaire en charge de la sûreté et de la production. Alors que l'accident de la centrale nucléaire au Japon vient relancer le débat sur la sûreté des installations en France, deuxième plus grand pays nucléaire au monde après les États-Unis, le discours politique tend à canaliser les inquiétudes. Selon Éric Besson, il « faut dire et redire à nos concitoyens que toutes les centrales ont été conçues en intégrant les risques sismiques et d'inondation. » Yves Cochet, ancien ministre de l'environnement, en visite à Toulouse hier, a toutefois souligné que si « les conditions de sécurité dans les centrales françaises vont au-delà de ce qui est imposé au reste de l'industrie, nous savons qu'il y a des dysfonctionnements de conception notamment sur les générateurs de vapeur. » À Paris, la catastrophe survenue au Japon a suscité la vive inquiétude de différentes organisations hostiles au nucléaire. Pour le Réseau « Sortir du nucléaire », « la machine à étouffer l'information est en marche ».
12h00 - Genève La Suisse annonce l'envoi d'une équipe de recherche et d'évaluation au Japon.
11h50 - Tokyo L'Agence de sécurité nucléaire et industrielle japonaise juge peu probables de sérieux dégâts affectant le caisson du réacteur de la centrale Fukushima N°1 où s'est produit une explosion après le séisme qui a dévasté le nord-est du Japon, selon l'agence de presse Kyodo.
11h45 - Londres Le Japon a demandé l'aide du Royaume-Uni, qui s'apprête à envoyer des équipes, fort de l'expertise récemment démontrée en Nouvelle-Zélande au moment du tremblement de terre, annonce le ministre des Affaires étrangères William Hague.
EN PHOTOS
11h30 - Tokyo L'armée japonaise a trouvé de 3 à 400 corps dans le port de Rikuzentakata annonce la chaîne NHK.
11h15 - Moscou Aucune hausse de la radioactivité n'a pour le moment été enregistrée en Extrême-Orient russe où des contrôles renforcés sont en cours à la suite des graves problèmes survenus dans le secteur nucléaire au Japon après le séisme, annoncent les autorités.
11h10 - Tokyo Le rayon d'évacuation autour des centrales de Fukushima est étendu à 20 km.
10h40 - Tokyo Quatre employés ont été "légèrement blessés" dans l'explosion de la centrale Fukushima n°1 indique la télévision publique japonaise NHK.
10h10 - Tokyo Le gouvernement japonais annonce que des pompiers vont être envoyés à la centrale de Fukushima où a eu lieu une explosion.
10h05 - Tokyo A Fukushima la dose de radioactivité reçue par un individu sur le site du sinistre correspond à celle qu'une personne peut absorber au maximum en un an, sous peine de mettre en danger sa santé, assure l'agence de presse Kyodo.
Voici par ordre décroissant de puissance les plus importants séismes depuis le début du XXe siècle (selon l'échelle du Moment), après celui qui a touché vendredi 11 mars le nord-est du Japon -de magnitude 8,9-, provoquant un tsunami de plusieurs mètres de haut sur la côte Pacifique.Le séisme au Japon - Photo postée sur Twitter (@mitsu_1024)