Gbagbo a poussé Sarkozy à commettre des erreurs, des massacres et un génocide, que le Président français cherche désespérément à couvrir seulement si son homme fantoche Alassane Ouattara est sacré Président et couvert d’immunité judiciaire.
Nicolas Sarkozy et son armée française sont entrain de rentrer de Côte d’Ivoire, comme un bon diable, la queue entre les jambes, sous les huées de la communauté internationale, la vraie. Car, malgré les frappes aériennes sur les cibles essentiellement civiles ayant fait des milliers de morts et ayant provoqué un tollé international, le Président Laurent Gbagbo, que Sarkozy était tellement assoiffé de voir la tête coupée, a bien sa tête sur les épaules.
Sarkozy a joué toutes les singeries du monde, y compris donner en début décembre trois jours à Gbagbo pour quitter le pouvoir, jusqu’à ne lui donner le 4 avril que quelques heures avant sa reddition – dont les médias internationaux disaient qu’il serait prêt à signer la lettre – sous bombardement intensif de sa résidence de lundi à ce mercredi, pour un résultat absolument nul.
Car Laurent Gbagbo n’a pas changé d’un seul iota sa position selon laquelle Alassane Ouattara n’a pas gagné les élections de novembre 2010 et qu’il n’est pas du tout question qu’il lui cède le pouvoir.
Sous le titre “Comment Sarko a appuyé l’offensive anti-Gbagbo“, le Canard enchaîné de ce mercredi fait enfin apparaître quelques vérités sur l’offensive de Sarkozy pour mettre au pouvoir Ouattara, le « boucher de la démocratie française ».
Le journal satirique a en effet surpris le Président français entrain de grommeler qu’il est « à bout de patience » devant l’inflexibilité de Gbagbo, qu’il ne décolère pas d’appeler le « dictateur sanglant de Côte d’Ivoire ».
France 2, de son coté, dit que les rebelles qui ont attaqué la résidence de Gbagbo ont faim, soif, et sont à cour de munitions.
Par ailleurs, le 2 avril le ministre des Affaires étrangères Alain Juppé claironnait à Bordeaux devant quelques journalistes que Laurent «Gbagbo vit ses derniers jours de chef d’Etat». Il ajoutait que Laurent Gbagbo «est ajourd’hui acculé au départ, il est totalement isolé, l’ensemble des pays africains (…) lui ont dit de partir».
Hier, le même ministre français des Affaires étrangères sur RFI, à la question « Où en sont les négociations avec Laurent Gbagbo sur une éventuelle reddition? », répond que « Elles se poursuivent à l’initiative de l’ONU et avec la facilitation de la France. Laurent Gbagbo s’entête. Il est totalement isolé désormais. Il a été lâché à peu près par tous ceux qui l’entouraient jusqu’ici. Nous maintenons la pression. Il n’est plus le président de la Côte d’Ivoire et doit reconnaître la victoire d’Alassane Ouattara ».
A l’autre question « Si Laurent Gbagbo refuse de reconnaître la victoire d’Alassane Ouattara, est-ce qu’on va vers un assaut de sa résidence? », Juppé a sérieusement du mal à couvrir sa jupe au vent, en termes de « Je n’ai pas d’indication sur ce point. Nous sommes intervenus en soutien de l’Onuci, des Forces des Nations unies, pour neutraliser les armes lourdes qui menaçaient la population. Il appartient au président Ouattara de définir, quant à lui, sa stratégie ».
Quant à cette stratégie de Alassane Ouattara, voici ce qui ressort de reportages de France 2, dont les journalistes ont accompagné les « bérets verts » à Abidjan afin d’accomplir la mission à eux confiée par Nicolas Sarkozy d’aller et lui ramener la tête de Gbagbo.
Le même 6 avril que tous les médias internationaux diffusent l’information selon laquelle la résidence de Laurent Gbagbo serait entre les mains des rebelles de Ouattara, le journaliste Grégoire Deniau apprend au public que ces rebelles « ont du mal à approcher la résidence » du chef d’Etat ivoirien, qui est gardée par quelques 150 éléments de la garde républicaine.
Car, explique-t-il, les rebelles de Ouattara « manquent d’artillerie lourde… des canons ». Mais Deniau souligne surtout qu’ils « ont faim » et sont épuisés par deux jours de combats sans relâche.
Et un autre correspondant de France 2, après avoir répondu à la question sur le nombre exact des FDS qui restent fidèles à Gbagbo par « il est impossible de dire combien », conclut que « la partie est encore à gagner pour le camp Gbagbo ».
Une réponse claire à Alain Juppé, qui renvoie maintenant la balle à Ouattara en demandant à Ouattara de définir une stratégie ; une façon de dire au génocidaire de se débrouiller tout seul.
Nous pouvons dire que la guerre est finie en Côte d’Ivoire avec cette position de retrait du soutien de l’armée française aux rebelles de Ouattara, suite aux condamnations qui fusent à travers le monde au sujet de ses bombardements de lundi des cibles civiles sans appui légal de l’ONU.
Au moment où la présidence du Conseil de Sécurité passe aux mains de la Russie, nos sources proches de la Présidence nous informent que les Russes sont arrivés à
Abidjan et ont rencontré la Président de la République Laurent Gbagbo.
De source d’un agent de l’Onuci, l’avion qui a amené la délégation russe devait ramener Choi Young-jin, le très controversé représentant du SG de l’ONU qui est à l’origine de la crise actuellement lourde d’un bilan de milliers de morts d’innocents. Après que les français contrôlant l’aéroport ait voulu lui faire obstacle, le même avion avait amené son remplaçant russe, dont nous connaîtrons le nom.
Pendant ce temps, les rebelles sont en déroute. Une confusion totale régnerait actuellement dans leurs rangs.
A Abobo, il est fait état de ce que les rebelles de Sherif Ousmane et ceux d’IB (Ibrahima Coulibaly) se sont affrontés rudement. IB chercherait à sortir de la mêlée de la confusion totale qui caractérise les « forces républicaines » en disant qu’il est lui-même un prétendant au fauteuil de chef d’Etat. Il ne voudrait donc pas dépendre de Soro et Ouattara.
Dans leur débandade hier, les rebelles se sont retranchés dans leur tanière au siège du PDCI RDA. L’étau des FDS s’était resserré autour d’eux et ils étaient pilonnés par l’armée. L’un de leurs chefs d’élite serait gravement blessé.
Les russes, tout comme les sud africains, devaient envoyer 300 soldats pour « protéger leurs nationaux sur place » : une répétition de la raison que la France avance toujours pour justifier ses interventions militaires dans les pays.
Des bateaux de guerre angolais et sud africains seraient aux larges des côtes ivoiriennes.
Dans la journée d’hier, un avion des américains aurait survolé Duekoué. Choqués certainement par le rapport et l’ampleur des massacres, il apparaît que nous nous acheminons vers l’enquête que le sénateur républicain James Inhofe demande et que semble diligenter le sénateur John Kerry. Car le peuple Wé a clairement désigné les rebelles de Ouattara comme les responsables.
Il nous revient que la confusion chez les rebelles n’épargne pas leur leadership. Alassane Ouattara aurait ainsi giflé Guillaume Soro en le qualifiant d’incapable qui ne réussit pas à faire tomber la Présidence de Laurent Gbagbo. Soro l’aurait giflé en retour, très fortement, en lui disant que son Sarkozy-Licorne ne valait rien.
Vrai ou faux, toujours est il que Alassane Ouattara va avoir de sérieux problèmes.
La rage de Sarkozy à le placer par tous les moyens au pouvoir est justifiée actuellement par le fait que Ouattara porte déjà l’étiquette d’un génocidaire candidat au tribunal et à la prison. Raison pour laquelle Sarkozy doit absolument lui obtenir le titre de président qui le couvrirait d’immunité judiciaire.
Cette nuit, nos sources sur le terrain font était d’une reprise des bombardements de la résidence du chef d’Etat par l’armée française, qui depuis lundi attend toujours la nuit noire pour lancer obstinément ses attaques, pendant que le jour le gouvernement français se défend de ne pas intervenir dans le conflit.
Ce qui est certain, c’est que Laurent Gbagbo a déjà gagné sur la France. Car, quel que soit son sort, il a réussi à mettre les doubles jeux de la France en Afrique à nu. Assurément, nous nous acheminons inexorablement vers l’étape où la communauté internationale demandera à la France de retirer son armée de Côte d’Ivoire. Car celle-ci a montré qu’elle est une force impliquée dans le conflit ivoirien, et non pas une force impartiale.
Résistance à la Résidence »
source : lvdpg.com
Saper le moral des patriotes : tel était le but du discours de Ouattara
Hier dans un discours, Ouattara a tenté de saper le moral des Ivoiriens sinon celui des derniers patriotes. Tout ceux qui ont écouté ou qui ont eu échos de ce discours relayé à grande échelle par les chaines internationales ont presque tous été saisis par le découragement.
Sur tous les sites et sur les réseaux sociaux patriotiques, on pouvait sentir le désespoir et l’amertume. Les articles pour galvaniser et encourager les patriotes ont preque tous disparus. Les posts sur facebook et twitter se font rare.
Dans les quartiers tous sont abattus même les fervents croyants qui exhortaient leurs "frères" à garder la foi ont eux même perdu la foi.
C’était là, l’un des objectifs de Ouattara. Celui-ci utilise la logique de l’absurde pour s’imposer car n’ayant pas encore "gagner" la guerre.
Le Président Gbagbo est toujours à la barre et nos forces contrôlent toujours les symboles de L’Etat. Notre armée reste toujours fidèle à son Président et nos généraux n’ont pas fait défection. Contrairement à ce qu’il a dit dans son discours, Ouattara n’a pas encore le contrôl du pouvoir. Il sait bien que tout homme qui a perdu l’espoir a tout perdu. Il veut donc faire capituler le peuple Ivoirien.
Ivoirienne, Ivoirien, gardons la foi car Dieu n’est pas un homme pour se repentir. La main de Dieu commence là ou s’arrête celle des hommes.Il a le dernier mot donc restons toujours en prière !
source : abidjandirect.net
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«La France ne fait pas la guerre.» Alain Juppé, le ministre français des Affaires étrangères, a beau le répéter, rien n’y fait. Comme pour la crise libyenne, une partie des opinions africaines condamne l’intervention française en Côte d’Ivoire. Certains, comme l’écrivaine franco-camerounaise Calixthe Beyala, vont beaucoup plus loin, car, pour eux, la France fait la guerre aux peuples africains, et piétine leur souveraineté, cinquante ans après les indépendances. «Je ne paye pas les impôts pour que la France aille faire la guerre aux Africains», ajoute-t-elle, un rien bravache. L’on comprend dès lors qu’elle soit l’une des signataires d’une pétition intitulée «La France veut tuer Laurent Gbagbo! Mobilisation!», que vient de publier le journal en ligne Gri-Gri International. Sous la plume de ces pétitionnaires, voici ce qu’on peut lire:
«Sans aucun mandat, en pleine illégalité et malgré les appels à l'arrêt des bombardements demandés par la Russie et l'Union africaine, la France de Nicolas Sarkozy est en train de bombarder la résidence du chef de l'Etat ivoirien, Laurent Gbagbo. L'objectif du président français Sarkozy semble être de ramener le cadavre de Laurent Gbagbo pour le journal de 13h. Ivoiriens, Africains, Amis de la Souveraineté, de la Liberté et de la Démocratie, levons-nous tous pour protester contre les agissements de Nicolas Sarkozy en Côte d’Ivoire. En ce moment même, mercredi 6 avril 2011 à 10h30, selon le porte-parole du Gouvernement, les hélicoptères et les chars français de la Force Licorne sont en train de pilonner la résidence du Président de la République de Côte d’Ivoire, au mépris de la Charte des Nations Unies, de la Convention de Genève sur le Droit de la Guerre de 1949 et des intérêts français.»
Des critiques, de la France à l'Afrique du Sud
Y compris en France, des voix s’élèvent, par exemple au sein du Parti communiste français (PCF), pour condamner l’engagement militaire français. Dans un communiqué, le PCF déclare:
«En participant directement aux intenses combats militaires ivoiriens opposant Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo, la France choisit l’escalade, la politique de force et la guerre, en se masquant derrière une demande de l’ONU.»
Pourtant, Alain Juppé n’a de cesse de le clamer haut et fort: c’est à la suite d’une demande expresse du Secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon au président Nicolas Sarkozy que les troupes françaises de la force Licorne soutiennent leurs collègues de l’Onuci. Il l’a à nouveau martelé le 7 avril, devant la commission des affaires étrangères du Sénat, où il était interrogé par les sénateurs, en compagnie de son collègue de la Défense Gérard Longuet. Et malgré ces explications, la polémique enfle!
Au Cameroun par exemple, à l’instar de Calixthe Beyala, des actions de soutien à Laurent Gbagbo ont été organisées. Si le gouvernement camerounais semble observer une grande prudence, il n’en est pas toujours de même au sein d’une partie de la population. De l’homme de la rue aux intellectuels, en passant par les journalistes, beaucoup dénoncent «l’impérialisme mondial» en Côte d’Ivoire. Mais la question est loin de faire l’unanimité. Au contraire! Elle divise profondément les Africains.
L’Afrique du Sud par exemple, qui a participé en tant que membre non-permanent, au vote de la résolution 1975 du Conseil de sécurité de l’ONU, a déclaré par la voix de sa ministre des Affaitres étrangères qu’elle n’avait pas donné de mandat pour le bombardement de la Côte d’Ivoire. Des propos qui sonnent comme un cinglant désaveu, même s’il est avéré depuis longtemps que les autorités sud-africaines sont proches de Gbagbo. D’ailleurs, le président en exercice de l’Union africaine (UA), l’Equato-guinéen Teodoro Obiang Nguema, ne dit pas autre chose, lorsqu’il précise que le soutien apporté par l’UA à Alassane Ouattara ne doit pas impliquer une guerre.
La France piégée par l'histoire
A l’évidence, avec cette crise ivoirienne, la France se retrouve piégée à la fois par l’histoire et par ses choix politiques. En effet, les accords de défense entre l’ancienne puissance coloniale et de nombreux pays francophones sont encore aujourd’hui une réalité sur le continent. De plus, des bases militaires françaises sont encore présentes à Djibouti, au Tchad, au Gabon, en République centrafricaine ou encore au Sénégal, où elles sont appelées à disparaître très bientôt. Et s’agissant de la Côte d’Ivoire, il faut rappeler que lors de la rébellion de 2002, après s’y être refusé, la France est quand même intervenue dans le conflit au nom des accords militaires. S’ensuivra une opération d’interposition entre les belligérants, et la création de l’Organisation des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci), qui regroupera toutes les forces militaires y compris les troupes françaises.
Malheureusement, la crise politique a duré près d’une dizaine d’années, et les troupes françaises sont restées sur place. Mais surtout, il y a le syndrome rwandais! Si la France n’était pas intervenue, d’aucuns l’auraient sans doute accusée, comme lors du génocide rwandais, de non assistance à peuple en danger. En intervenant, elle est aussi mise à l’index, et accusée de défendre ses intérêts, et plus grave, de perpétuer le néocolonialisme. Une situation intenable, qui conduit parfois à faire oublier aux uns et aux autres que, dans ce type de conflit, les populations civiles paient toujours le plus lourd tribut. Et pour ce qui concerne la Côte d'Ivoire, que l’on se fonde sur la réalité issue de la rébellion de 2002, ou sur le résultat de la dernière présidentielle, quel qu’il soit, le pays est divisé en deux; et de part et d’autre, il y a des civils. Dès lors, la question de leur protection s’impose à l’ensemble des belligérants, qui doivent tout mettre en œuvre pour leur éviter des massacres.
D’ailleurs, l’Union africaine ne dit pas autre chose, lorsqu’elle condamne les violations des droits de l’Homme, et appelle à «la protection impérative de la population civile». De ce point de vue, Gérard Longuet, le ministre français de la Défense, affirme que les troupes françaises ne sont intervenues qu’en soutien de celles de l’Onuci, pour éviter que les populations ne soient bombardées à l’aveuglette par les partisans de Laurent Gbagbo.
De la même manière, les autorités françaises précisent que c’est à la demande du secrétaire général des Nations unies que des opérations d’exfiltration ont été organisées pour des diplomates japonais. Par ailleurs, des demandes similaires ont été formulées par les Israéliens et les Indiens. Mais finalement, à force de marteler son soutien à Alassane Ouattara, à l’instar de toute la communauté internationale, la France devient inaudible sur tout le reste. Une situation qui l’obligera sans doute, à terme, à clarifier sa politique africaine, et à se pencher sur son histoire coloniale avec l’Afrique.
Christian Eboulé
slateafrique.com
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Pourquoi Les français sont si criminels face aux Africains : cas de la Côte d’Ivoire ( source : camerounlink.net )
La Françafrique : une autre colonisation
L’on ne peut vraiment pas comprendre pas que les Français puissent quitter si loin de chez eux pour venir donner la mort en Afrique.
Tout le temps lorsque les français viennent attaquer un pays, ils inventent des raisons sans tête ni queue. En 1997, lorsque Chirac a fait des dizaines de milliers de morts au Congo Brazzaville en aidant le retour de Sassou au pouvoir, l’armée française a détruits le Congo à cause du pétrole.Aujourd’hui, ils sont en train d’installer ouattara au pourvoir en Côte d’Ivoire, en tuant plus de 5000 ivoiriens. L’on se demande quelle est la vraie raison d’une telle folie dans la tête des dirigeants français animés par le goût de détruire et à donner gratuitement la mort aux africains?
Alain Juppé a encore dit du mensonge. Voilà un ministre au comportement douteux qui déclarait que les forces de la licorne sont en Côte d’Ivoire pour protéger les français qui y vivent, au cas où ils sont attaqués. Mais, attaqués par qui?Il y’a quelques jours, en babillant dans un français plein de trou à cause du mensonge qu’il aime distiller, le même Alain Juppé a encore menti devant l’assemblée de son pays en disant que la France défend la démocratie en Côte d’Ivoire.Mon Dieu! Drôle de menteurs les Français! Non! Les français ne sont que de bons criminels.
Depuis 1960, aucun français n’a dit à un pays africains d’aller vers la démocratie, curieusement, c’est grâce à la chute du mur de Berlin que l’Afrique venait de s’engager à la démocratisation de la vie publique en 1990, pendant que la France soutenaient des dictateurs dont certains ont traversé la ligne séparant les régimes à partis uniques en se donnant une image de démocrates en ayant le soutien de la même France. Nous pouvons citer Bongo Houphouët Boigny et Eyadema.
Aujourd’hui, la France continue à soutenir d’autres dictateurs, le cas de sassou Nguesso au Congo, Compaoré au Burkina. La France reste alors un pays des criminels.
Osez détruire tous les instruments d’une armée d’un pays indépendant, relève d’une grande folie indescriptible.
Depuis de nombreux siècles même avec ses propres cousins, la France ne vit que de guerres barbares. Depuis que les pays africains sont indépendants en 1960, la France n’affiche que de la jalousie et de la haine raciste face aux pays d’Afrique à cause des ressources naturelles que regorge l’Afrique.
Alain Juppé peut continuer à déverser du mensonge, il ne le dit pas devant des idiots. Les Africains connaissent la sauvagerie des français.Les français ne vivent que des razzias en Afrique. Les français sont des terroristes au monde. Cela se lit sur leurs visages. Avec tous ces crimes que la France commet sous couvert de l’ONU, si le monde était sérieux. Sarkozy serait traduit à la cour pénale internationale. Ban Ki Moon également. Kurt Waldheim n’a-t-il pas été arrêté pour crimes contre l’humanité? Pourtant il fut bien secrétaire général de l’ONU.Chers militants des droits de l’homme dans le monde, unissons-nous afin d’initier une plainte contre Sarkozy, Obama et Ban-ki-Moon. Ouattara, Soro et compaoré pour crimes contre l’humanité et association des malfaiteurs. La loi est au-dessus de tous les humains, quel que soit leur rang.
Gervais Mboumba, militant des droits de l’homme
source : Gervais Mboumba
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La france continue sa guerre contre la cote d´ivoire sur bases de mensonges. ( camerounlink.net )
Des hélicoptères français de la force Licorne ont pilonné vendredi soir le secteur de la résidence du président sortant ivoirien Laurent Gbagbo à Abidjan, quelques heures après des tirs contre la résidence de l`ambassadeur de France, ont rapporté des témoins.
Les témoins ont observé des hélicoptères français et ont entendu des explosions dans le quartier de Cocody, qui abrite la résidence de Gbagbo.
Un peu plus tôt, l`ambassade de France avait fait savoir que la résidence de l`ambassadeur, également située à Cocody, avait été atteinte par deux obus de mortier et une roquette tirés par des éléments fidèles à Gbagbo.
"Le 8 avril, à 16h00 locales (16h00 GMT), la résidence a été visée par deux obus de mortier et par une roquette provenant des positions des forces toujours fidèles à M. Gbagbo", a indiqué l`ambassade dans un communiqué.
Cette information a été aussitôt démentie par le porte-parole de Laurent Gbagbo en France.
"Nous démentons l`information selon laquelle les patriotes sont en train d`attaquer l`ambassade de France. Le gouvernement ivoirien estime que la France cherche un prétexte pour reprendre les bombardements contre la résidence du chef de l`Etat et le palais présidentiel", a déclaré à Reuters Toussaint Alain.
"S`il y a des attaques contre l`ambassade, elles ne viennent pas des forces de Laurent Gbagbo", a-t-il ajouté.
La mission diplomatique ne fait état ni de victimes ni de dégâts.
Il s`agit de la seconde attaque contre la résidence de l`ambassadeur en moins de 48 heures, précise l`ambassade.
Gbagbo serait retranché dans sa propre résidence, tout près de là, et refuse de céder le pouvoir à Alassane Ouattara, qui a remporté le second tour de la présidentielle le 28 novembre dernier selon des résultats certifiés par les Nations unies.
Reuters / Ange Aboa, Patrick Vignal à Paris, Eric Faye et Marine Pennetier pour le service français
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