L’administration de Barak Obama a récemment dépêché des agents spéciaux de la CIA (Central Intelligence agency) spécialistes du trafic international de la drogue et des minerais spéciaux à Abidjan pour enquêter sur
les rapports mafieux des rebelles avec la célèbre AQMI (Al- qu’Aïda au Maghreb islamique) la branche nord Africaine d’Al-Qaïda qui écume le Sahara depuis plusieurs années.
Leur Mission en arrivant à Abidjan consistait premièrement à vérifier la traçabilité des quelque 300 000 carats d’or pur produits chaque année localement et illégalement depuis 2002 par la rébellion et qui échappent au gouvernement central d’Abidjan.
Deuxièmement, ils devaient comprendre quels étaient les rapports entre la rébellion du Nord de la Côte d’ivoire composée essentiellement d’Africains Mahométans et la branche armée d’AQMI.
Ce business très juteux du trafic de l’or depuis la division de la Côte d’Ivoire en deux, est essentiellement contrôlé par les seigneurs de la guerre Issiaka Ouattara (alias « Wattao ») et Hervé Touré (alias « Vetcho ») et donc indirectement par l’initiateur de la rébellion ADO. Comme toute chose rapportant du « blé ». On n’arrête pas en si bon chemin. Surtout lorsque le pays est dans le chaos total depuis le coup d’état du 11 avril.
Cette expédition des super-agents américains loin d’être ordinaire, soulève plusieurs interrogations, le timing, pourquoi maintenant ?(1) Après la mort du chef présumé Ben Laden. Ont-ils trouvé dans sa villa, comme ils le prétendent des documents compromettant, qui mettent en lien la rébellion et AQMI.
Y-a-t-il eu des échanges de service entre les deux organisations mafieuses ? Est-ce que l’enquête sur l’or n’est pas qu’une couverture pour exiger la part de l’Amérique dans le «outing» du régime démocratique de Côte d’Ivoire. Autant de questions qui ne peuvent être répondues que si nous avions d’autres éléments au sujet de l’enquête. Pour l’instant nous ne pouvons qu’émettre des scenarii que nous essayerons de vérifier au fur et à mesure que cette enquête progresse.
Trois scénarii possibles
Le premier qui consiste à venir dire à la nouvelle équipe arrivée au pouvoir par un coup d’état. Ecoutez les gars maintenant le petit jeu est fini. On sait avec qui vous fricotter depuis 2002 pour vendre votre or et vous arrêtez maintenant.
Le deuxième consiste à démontrer au gouvernement ivoirien que, écoutez les gars, vous avez fricotter avec un mouvement que nous considérons «terroriste» et «ennemi». Comme disait l’ancien président Bush Junior je cite : «Ceux qui ne sont pas avec nous sont contre nous», entendez par là, les amis de nos ennemis sont nos ennemis, donc si vous ne voulez pas d’ennui, vous acceptez ce que nous vous dirons. Sinon vous savez ou nous allons vous envoyer bientôt (TPI).
Le troisième: Les Agents sont uniquement venus poser leurs conditions pour une reconnaissance internationale et définitive du régime putschiste du 11 avril. maintenant que la partie militaire est accomplie, et vogue la galere la partie diplomatique.
Comment peut-on imager qu’un produit aussi sensible et réglementé comme l’or puisse être vendu sur les places de Tel-Aviv ou Amsterdam sans la parfaite connaissance de la CIA. Cela veut dire qu’ils ont laissé faire tout en sachant que c’était dans leurs intérêts.
Beaucoup d’Africains croient encore que le monde est cloisonné, ou l’information détenue par les uns ne parvient pas aux autres. Le monde est un jeu d’alliances qui se font et se défont au gré des intérêts de chacun. Si jusqu’à présent La rébellion ivoirienne a pu vendre cet or volé au peuple ivoirien sans problème. C’est tout simplement parce que cela servait les intérêts de la nébuleuse. Cet argent servait à acheter les armes utilisées pour assassiner les ivoiriens. Sinon quel intérêt pour la nébuleuse.
Un jour chaque Africain devra répondre de ses actes même a travers sa descendance, et ce jour n’est pas lointain.
Source : afrohistorama.over-blog.com
les rapports mafieux des rebelles avec la célèbre AQMI (Al- qu’Aïda au Maghreb islamique) la branche nord Africaine d’Al-Qaïda qui écume le Sahara depuis plusieurs années.
Leur Mission en arrivant à Abidjan consistait premièrement à vérifier la traçabilité des quelque 300 000 carats d’or pur produits chaque année localement et illégalement depuis 2002 par la rébellion et qui échappent au gouvernement central d’Abidjan.
Deuxièmement, ils devaient comprendre quels étaient les rapports entre la rébellion du Nord de la Côte d’ivoire composée essentiellement d’Africains Mahométans et la branche armée d’AQMI.
Ce business très juteux du trafic de l’or depuis la division de la Côte d’Ivoire en deux, est essentiellement contrôlé par les seigneurs de la guerre Issiaka Ouattara (alias « Wattao ») et Hervé Touré (alias « Vetcho ») et donc indirectement par l’initiateur de la rébellion ADO. Comme toute chose rapportant du « blé ». On n’arrête pas en si bon chemin. Surtout lorsque le pays est dans le chaos total depuis le coup d’état du 11 avril.
Cette expédition des super-agents américains loin d’être ordinaire, soulève plusieurs interrogations, le timing, pourquoi maintenant ?(1) Après la mort du chef présumé Ben Laden. Ont-ils trouvé dans sa villa, comme ils le prétendent des documents compromettant, qui mettent en lien la rébellion et AQMI.
Y-a-t-il eu des échanges de service entre les deux organisations mafieuses ? Est-ce que l’enquête sur l’or n’est pas qu’une couverture pour exiger la part de l’Amérique dans le «outing» du régime démocratique de Côte d’Ivoire. Autant de questions qui ne peuvent être répondues que si nous avions d’autres éléments au sujet de l’enquête. Pour l’instant nous ne pouvons qu’émettre des scenarii que nous essayerons de vérifier au fur et à mesure que cette enquête progresse.
Trois scénarii possibles
Le premier qui consiste à venir dire à la nouvelle équipe arrivée au pouvoir par un coup d’état. Ecoutez les gars maintenant le petit jeu est fini. On sait avec qui vous fricotter depuis 2002 pour vendre votre or et vous arrêtez maintenant.
Le deuxième consiste à démontrer au gouvernement ivoirien que, écoutez les gars, vous avez fricotter avec un mouvement que nous considérons «terroriste» et «ennemi». Comme disait l’ancien président Bush Junior je cite : «Ceux qui ne sont pas avec nous sont contre nous», entendez par là, les amis de nos ennemis sont nos ennemis, donc si vous ne voulez pas d’ennui, vous acceptez ce que nous vous dirons. Sinon vous savez ou nous allons vous envoyer bientôt (TPI).
Le troisième: Les Agents sont uniquement venus poser leurs conditions pour une reconnaissance internationale et définitive du régime putschiste du 11 avril. maintenant que la partie militaire est accomplie, et vogue la galere la partie diplomatique.
Comment peut-on imager qu’un produit aussi sensible et réglementé comme l’or puisse être vendu sur les places de Tel-Aviv ou Amsterdam sans la parfaite connaissance de la CIA. Cela veut dire qu’ils ont laissé faire tout en sachant que c’était dans leurs intérêts.
Beaucoup d’Africains croient encore que le monde est cloisonné, ou l’information détenue par les uns ne parvient pas aux autres. Le monde est un jeu d’alliances qui se font et se défont au gré des intérêts de chacun. Si jusqu’à présent La rébellion ivoirienne a pu vendre cet or volé au peuple ivoirien sans problème. C’est tout simplement parce que cela servait les intérêts de la nébuleuse. Cet argent servait à acheter les armes utilisées pour assassiner les ivoiriens. Sinon quel intérêt pour la nébuleuse.
Un jour chaque Africain devra répondre de ses actes même a travers sa descendance, et ce jour n’est pas lointain.
Source : afrohistorama.over-blog.com
(1) Cellule44: Philippe Ehua
"Pourquoi maintenant ? S'ils n'y avaient pas un génocide
en Côte d'Ivoire ce serait à pleurer de rire, pour faire court: l'économie américaine est lessivée,ils n'ont plus d'or et ils viennent en chercher là ou il y en a !" Lire ici
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