jeudi 21 juillet 2011

Vital KAMERHE et les 200 millions USD détournés


KongoTimes.info - Une source de confiance d’infos en Afrique et à la diaspora depuis 2006.: RDC : Vital KAMERHE et les 200 millions USD détournés

RDC : Vital KAMERHE et les 200 millions USD détournés
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KongoTimes! on 15/07/2011 21:02:00
 
Le GRARC ,qui a pris la décision de ne plus laisser les congolais dans les
ténèbres de l’ignorance, a décidé de vous présenter aujourd’hui un des
rares spécimens de l’imposture dont les jongleries ont longtemps fait
illusion, au point de séduire et de tromper même ceux d’entre nous qui ne
sont pourtant pas dépourvus d’équilibre psychologique. Il s’agit de
monsieur Vital Kamere ou Kamerhe Rwakanyasigize alias Lwa Kanyiginyi Nkingi
Vital Kamerhere, en effet, est accusé par une grande majorité de Congolais,
notamment ceux de Kikwit où il avait passé la majeure  partie de sa jeunesse,
comme étant originaire du Rwanda. De ce fait, comme le souligne l'ambassadeur
américain à Kinshasa (voire Wikileaks) et plusieurs diplomates occidentaux, il
est un artiste, menteur, jongleur et manipulateur. Les mêmes qualificatifs
dénoncés par tous ceux qui connaissent bien tous les Tutsi. En réalité, il
est donc prudent de faire attention quand nous parlons d'un Rwandais et ou d'un
Tutsi car il n’y a pas de différence par leur façon de percevoir  la
vérité. C’est dire que toute leur existence socio-politico-économique est
émaillée par les mensonges dépassant tout entendement du plus petit au plus
grand en passant par les autorités publiques. C'est dans leur nature. Le mot «
Kamere » est  qui signifie en Kinyarwanda : nature, habitude, comportement
alors qu'il n'existe pas dans la langue dont il se réclame : le « Shi ». Les
ethnologues trouveront les matériaux permettant de rétablir la vérité dans
un avenir proche pour le compte de l’histoire de la nation congolaise.
I.- NAISSANCE ET ETUDES :
Il est né un certain 4 mars 1959, à Cyangugu, au Rwanda, poste frontalier avec
le Congo dans le Sud-Kivu. Sa grand-mère est Rwandaise et vit encore à
Cyangugu et son cousin est le général de brigade rwandais Gratien KABILIGI.
Fils de Constantin, arrêté le 18 juillet 1997 par le Tribunal Pénal
International pour le Rwanda et transféré à Arusha, en Tanzanie. Leur
grand-père commun est M. KANYIGINYA du clan royal Hutu des Banyiginya de la
Préfecture de Cyangugu. Le général Gratien KABILIGI est né à Rusunyi en
décembre 1951 et il a fait ses études secondaires  au Collège St Paul à
Bukavu ,sous les bons soins de son oncle paternel Constantin KAMERE. Avant le
génocide de 1994 au Rwanda, le général Kabiligi était commandant des
opérations à Byumba, au Rwanda, avant de devenir commandant des opérations au
Sud-Kivu pendant l'aventure de l’AFDL.
On retrouvera Vital Kamerhere dans les années 70 à Kikwit, dans le Bandundu
avec son oncle, travaillant à l'Office des Routes pour les uns  et comme
Assistant à l'I.S.P./Kikwit, pour les autres. Et lui, il est parti étudier à
Kikwit Sacré/Cœur   plus précisément  à INDOBO (Institut St Jean-Bosco, des
Frères Joséphites) de 1971 à 1975. Lui-même dira , à l'Institut St
François Xavier (en maths et Physique), Institut Sadisana (ex ISFX).
Il quittera Kikwit pour Kananga, ,pour étudier  à l'Institut Mulemba de 1976
à 1980, pour avoir son diplôme d'Etat, en 1980. Il  mettra à son actif ce
périple riche en découvertes pour apprendre à parler non seulement les quatre
langues nationales du Congo (tshiluba, kikongo, swahili et le lingala) mais
aussi le Kinyarwanda et le kirundi. Mais il ne saura se comparer à certains
intellectuels congolais tels que le Professeur Mathieu Musey qui en parle et
écrit couramment 11 langues et le Cardinal Monsengwo, 16 langues du monde et du
Congo. Cette perfidie de polyglotte aurait facilité et en même temps justifié
amplement le recrutement de Rwakanyasigize Kamere dans les services de
renseignements rwandais afin d'infiltrer les institutions de notre pays.
Il ira s'inscrire à l'Université Nationale du Zaïre (UNIKIN) à Kinshasa, de
1980 à 1987 pour obtenir une Licence en Economie agricole (C’est sa
spécialité) et il sera retenu comme assistant de 1987 à 1995. En 1995, il
sera chargé des cours à l'IPN, en gestion financière.
Il est marié à la fille de l'honorable BOJI, Mme Mamick Boji, une Mushi du
Sud-Kivu, il est père de huit enfants. C'est sa femme qui est originaire du
village Ngweshe, Secteur Bulwi, territoire de Walungu, district et province du
Sud-Kivu. Par stratégie, il a endossé l'étiquette de « mushi » à la place
de son épouse.
II.- Carrière politique :
1.- Sous Mobutu :
1988-1989 : Il était coordinateur de la Cellule d'études et de planification
de l'Enseignement supérieur et universitaire ;
1989-1990 : Il fut conseiller dans le cabinet du Ministre des Mines et Energie
(Mushobekwa Kalimba wa Katana ?) ;
1991-1992 : Conseiller au cabinet du vice-premier ministre et ministre de
l'Industries et PME et, en 1992-1993 : conseiller au cabinet du Ministre des PTT
;
2.- Sous La Transition :
Il se dit président de la Jeunesse de l'USORAL. Je peux confirmer ici que cette
structure n'avait jamais existé à l'USORAL (qui n'a été créée qu'après
les négociations du Palais du Peuple). A l'USOR, il y avait le STOP
(Secrétariat technique de l'Opposition radicale, avec souvent, Kibasa-Maliba,
Jacques Matanda, José Otshudi Olengankoy etc...). Mais d'autres sources
confirment qu'il militait en ce moment là, au sein du FROJEMO (Front des Jeunes
Mobutistes) qui, à l'époque, avait assassiné l'Editeur du journal NSEMO et
Inspecteur des Finances, Adolphe KAVULA (conseiller financier de l'UDPS).
Il semble qu'il avait été directeur de cabinet de Loseke Tharcisse alors
ministre de l'Environnement et du Tourisme de Tshisekedi dans le gouvernement
issu de la Conférence Nationale Souveraine. Il reste à vérifier !
En 1994, il est dans la cellule de crise du cabinet du Premier ministre, Léon
Lubicz alias Kengo wa Dondo et participera à certaines négociations. C'est
donc depuis des années que le sieur Vital Kamerhere travaille en intelligence
avec le Rwanda, son pays d'origine, jouant fidèlement une partition conçue et
exécutée par les Maestro Paul Kagame et Hyppolite Kanambe.
3.- Sous L\'AFDL ET « Joseph Kabila » :
1997-1998 : Il est directeur administratif (des ressources humaines) au Service
National, au cabinet du général Denis Kalume ,dans le cadre de la politique de
l’autosuffisance alimentaire (Il avait le profil de l’emploi au vu de son
diplôme, économie agricole !).
Son comparse, Kikaya Bin Ramazani, dit de lui : « Sur ces entrefaites survient
la guerre du 2 août 1998, le général Denis Kalume se voit confier des
missions militaires. Kamere se retrouve tout naturellement dans les rangs des
négociateurs de l’Accord de Lusaka. Voilà comment M. Kamerhe, à l’ombre
du général Kalume, entre dans le pré carré de M’zee. Charmeur notoire,
pianotant sur les fibres swahiliphones, il parvient à contourner son chef
direct et tente même de marginaliser M. Yerodia Abdoulaye Ndombasi pendant les
négociations. L’audace va jusqu’à pousser Vital Kamerhe à signer des
documents non-avalisés par ses supérieurs, ce qui a failli lui coûter la
prison, n’eût été la clémence du président Laurent Désiré Kabila ».
C’est à Lusaka qu’il sera découvert comme agent appartenant aux services
secrets rwandais de Paul Kagame et de Ruberwa Azarias distribuant l’argent de
la corruption aux délégués congolais. De retour à Kinshasa, il sera entendu
sur procès-verbal au Comité National de Sécurité (sous Nono Lutula) pour ses
activités subversives pro-rwandais à ces assises. Vital Kamerhe Rwakanyasigize
sera ainsi démasqué comme sujet Rwandais infiltré au Congo depuis sa
jeunesse.
1998-1999 : Il est directeur de cabinet au Ministère de la Reconstruction
nationale, chez le général Kalume.
5.- LA MONUC ET LE CONGO :
1999-2002 : Au moment de la signature de l’accord de siège entre la RDC et
l’ONU pour la mise sur pied de la MONUC, il sera désigné Commissaire
général adjoint du gouvernement auprès de la MONUC. Le titulaire est M.
Léonard NTWAREMBA ONFRE. Gustave VANGU Mambweni, sera nommé aussi Commissaire
général adjoint comme lui. A la recherche de la visibilité et voulant être
de toutes les négociations, Vital Kamerhe va davantage pianoter sur les fibres
swahiliphones pour supplanter son nouveau chef. Son comportement de mouchard va
desservir la cause nationale et annihile l’action de cette structure qui avait
pour mission de gérer les relations entre le gouvernement et la MONUC. Vous
remarquerez que dans son C.V. lancé sur son site, il ne parle que de lui,
expert ( !) (Economie agricole ?!) dans la signature de certains accords avec la
MONUC et les agresseurs, alors qu’il n’était qu’un adjoint de Léonard
Ntwaremba et collègue de Vangu Mambweni qui a fini par être empoisonné !
(expert en co-rédaction, en co-signature ! n’étant ni politologue ni juriste
!).
2002-2003 : Il est nommé par « Joseph Kabila », en qualité de Commissaire
général chargé de la Paix dans les Grands Lacs. A ce titre,  il prendra part
aux négociations de Gaborone, Addis-Abeba, Pretoria, Luanda, Lusaka et SUN CITY
(Afrique du Sud).
6.- DIALOGUE CONGOLO-RWANDAIS (D.I.C) :
« NOUS SOMMES TOUS LES ENFANTS DU RWANDA »
A l’aube de l’étape préparatoire de ces pourparlers, un médiateur, mieux
un facilitateur a été nommé en la personne de Sieur Ketumile Massire, ancien
président du Botswana. Les invitations ont été lancées pour une première
rencontre à Gaborone, en 2001 et ensuite, aux étapes d’Addis-Abeba, Luanda,
Pretoria et Sun City I et II. Durant toutes ces étapes, Vital Kamerhere a
toujours cherché à être à la pointe de toutes ces négociations, mais la
charge revenait tour à tour à Léonard She Okitundu, Théophile Mbemba et
Augustin Katumba Mwanke. Simple délégué, il voulait toujours s’attribuer le
rôle prépondérant en s’autoproclamant ,sans titre ,porte-parole de cette
délégation. Pour ce, dit encore Kikaya, il s’attire l’attention des
médias en apparaissant toujours aux côtés de M. Azarias Ruberwa du RCD/Goma
(Rwanda) et d’Olivier Kamitatu (Ouganda et MLC). On remarquera à Sun City,
qu’au moment où ces deux « collabos » du Rwanda et Ouganda brillaient,
Vital Kamerhere (économie agricole) se perdait dans un verbiage creux, sans
substance, faisant du camp gouvernemental, celui qui communiquait très mal.
Etait-ce une stratégie, une intelligence, une complicité pour faire triompher
la cause des Rwandais ? Est-ce que ses autres compagnons avaient-ils tenu compte
de ce qui s’était passé avec ce Monsieur à Lusaka ? au CNS ? ou est-ce par
simple naïveté, incompétence ? (En dehors du juriste Okitundu, les autres
n’étaient que des scientifiques .L’un, Théophile Mbemba, est chimiste et
l’autre, Katumba Mwanke, ingénieur en mécanique ! Leses affaires
internationales n’étaient donc pas de leur compétence !
Faut-il vous dire que M. Vital Kamerhere, en ambitieux démesuré, réclamera à
sa composante le poste de Vice-président de la République du fait que son
frère Ruberwa était désigné de son côté aussi vice-président. C'est aussi
pendant les travaux de Sun City, qu'un bureau d'études rwandais va le
reconnaître comme un enfant du pays, le Rwanda. Et les documents fiables
sortiront de ces assises, le taxant de RWANDAIS, fils du pays. Un article
sortira d'ailleurs à Sun City, intitulé : « Nous sommes tous les enfants du
Rwanda » et la délégation du Gouvernement (à cause de « Joseph Kabila » et
de Kamerhe) et le RCD/GOMA. Mais il sera rappelé à l’ordre ,et n’obtiendra
que le poste de ministre à l’information en dernière instance, ayant joué
au suicide !
2003-2004 : Il va devenir, en dernière minute, ministre de l'Information et
Presse. En effet, son nom ne figurait pas sur la liste à l'atterrissage dans la
ville de Mbandaka où siégeait « la composante » gouvernement. Les bruits
circulaient à Mbandaka de son suicide. « Joseph Kabila » va faire marche
arrière et demander à Kikaya de lui laisser ce poste là. Il fera la
remise-et-reprise avec le cabinet de son ami Kikaya Bin Karubi où travaillait
sa petite sœur, la Rwandaise (l’épouse du gouverneur José Makila).
7.- A L\'ASSEMBLEE NATIONALE :
Le 31 mars 2004 : Le PPRD ,Parti du Peuple pour la Reconstruction et le
Développement est créé,  soi-disant, d’obédience Social-démocrate. Et le
1er juillet 2004, il sera désigné, eu égard à ses arguments relatifs aux  4
langues nationales, le secrétaire général du PPRD. Des millions de dollars US
seront débloqués pour qu'il implante le parti à travers tout le pays et
surtout , pour relever le pari électoral en faisant campagne pour son maître
,tout en écartant ses autres camarades du parti et les autres forces
approchées, n'étant pas favorable à l'A.M.P.
Le 10 mars 2006, dans le cadre de la campagne présidentielle et pour soutenir
la candidature d’Hyppolite Kanambe alias « Joseph Kabila », il publie un
livre : Pourquoi j'ai choisi Joseph Kabila ? C’est dans ce livre qu’il va
livrer certains secrets et détails démontrant comment son président, Brutus,
a participé minutieusement à l’assassinat de Laurent Désiré Kabila, le 16
janvier 2001. Même s’il n’est pas dit quelque part, qu’il était complice
ou en intelligence, dans cet odieux assassinat !
En juillet 2006, aux résultats des élections législatives, il est élu
député national du P.P.R.D. du Sud-Kivu et en décembre de la même année, il
est élu président du Bureau définitif de l’Assemblée nationale avec toutes
les voix réunies de l'AMP et de l’opposition, alors qu’il ambitionnait de
devenir le Premier ministre en lieu et place de Monsieur Antoine Gizenga.
C’est pendant son règne en qualité de secrétaire général du PPRD et de la
présidence de l’Assemblée nationale (cumul des fonctions) ,qu’il va
exclure les Congolais de la Diaspora du processus électoral. Pendant son mandat
, il va jouer à l'équilibriste en favorisant de temps en temps l'Opposition
dans certaines prises de position ,au détriment de sa propre majorité. Il
donne  l'impression de se venger de n'avoir pas été désigné Premier
ministre. Il va refuser d’initier une démarche pour demander un Tribunal
Pénal International pour le Congo, n’ayant aucune considération pour les 8
millions de morts congolais, crimes perpétrés pourtant par ses frères
Rwandais dont il est complice. En revanche , sous son règne, monsieur Kamerhe a
plutôt choisi d'accorder une amnistie collective à ces mêmes criminels tels
que Nkund[abattoir de Mushaki], Jean-Bosco Ntaganda,Amisi alias Tangofort, etc.
pour des crimes de guerre et contre l'humanité pourtant imprescriptibles !
C’est aussi pendant qu’il était au perchoir qu’une partie du Territoire
de Kahemba avait été lâchée et cédée aux Angolais. C’est encore lui qui
avait fait voter un moratoire de six mois, finalement à durée indéterminée,
pour couvrir tous les députés (comme lui-même) non Congolais qui siègent au
sein du parlement (problème de double nationalité, anti constitutionnel).
C’est pendant qu’il était au pouvoir au Parlement que la pétition initiée
pour déchoir « Joseph Kabila » de ses fonctions, constitutionnellement, pour
haute trahison ,avait été détournée ! Le fond de l'histoire est que Kamerhe
n'a pas contesté « Kabila » . Il lui a plutôt sauvé la mise. Les Congolais
ne doivent pas se laisser duper.
En janvier 2009, lorsque Hyppolite Kanambe et Paul Kagame tous deux de l'I.T.P.,
changent de stratégie en ce qui concerne l'occupation de la province du Kivu en
inventant l'opération « Umoja Wetu » (notre unité retrouvée de l'ITP dont
les termes sont restés secrets jusqu'à ce jour) entre les restes des FARDC et
l'APR pour, soi-disant, combattre les FDLR entre les 20 janvier et 27 février
2009, craignant d'être découvert et vomi par les Députés congolais pour
haute trahison, il va publiquement s'opposer et critiquer « Joseph Kabila »
sous prétexte que le Parlement n'avait pas été convié à ces accords. Un
conflit d'intérêt éclata ,et Kamerhere sera contraint sous la pression de
Paul Kagame, de démissionner de la présidence de l’Assemblée Nationale
,moyennant une corruption de 200.000$, le 26 mars 2009, entraînant ainsi le
départ de tout le bureau, Lutundula, Marc Mvwama, Bahati et consorts.
IV.- WIKILEAKS :
L'ambassadeur américain à Kinshasa livra un portrait nuancé de Vital
Kamerhere en ces termes : « Sa réputation de leader modernisateur démocrate
et honnête ne correspond peut-être pas tout à fait à la réalité. Tous ces
diplomates avec qui nous avons parlé s'accordent sur le constat que Kamerhere
recourt fréquemment au mensonge pour s'assurer un gain politique ». Et le
diplomate d'ajouter : Nos informateurs nous rapportent que son ambition de
devenir un jour Président a compromis son jugement. Il est soupçonné d'avoir
bloqué des enquêtes sur les allégations de détournements de sommes
considérables (200 millions de $) lors de sa présidence à l'assemblée
nationale, notamment des investissements pour construire un véritable Parlement
au Congo.
Le 14 décembre 2010, il crée son propre parti : Union pour la Nation
Congolaise ! Avec quelques fidèles du PPRD tels que Claudel Lubaya du Kasaï
Occidental,Bertrand Ewanga de l’Equateur, Mme Odette Babandowa de la province
Orientale, etc.
Le 16 décembre 2010, en voyage de propagande à Goma, il dira à la population
de cette ville : Je suis venu dire à la population de Goma que j'avais menti en
2006 » (Radio Okapi). C’est la preuve de ce qu’il fallait démontrer, «
l’Ugegbe », la nature mensongère d’un Tutsi.
V.- MORALITE : CRIMES SEXUELS :
Quelle réputation habite ou entoure le sieur Vital Kamerhe auprès de ses
proches collaborateurs ? Un véritable criminel sexuel, viol, tentative de viol,
détournement des mineures, infidélité, etc. Au parlement, un scandale avait
éclaté entre le président et son vice-président, M. Marc Mvwama au sujet de
l'épouse de ce dernier. Vital s'était emparé de l'épouse de Marc sans gants
ni bottines. Il a fallu à leur hiérarchie d'intervenir pour étouffer le
scandale. Mais le divorce était d'ores et déjà consommé. Faut-il parler
encore du divorce consommé de M. Didier Kinwani et son épouse à cause d'un «
Mario » appelé Vital Kamerhe Rwakanyasigize ? En effet, l'épouse du
diamantaire Didier flirtait avec lui et volait des graines de diamants pour les
confier à sieur président Vital Kamerhe. Le scandale ayant éclaté, la femme
avait été répudiée sur-le-champ. A-t-on encore le temps de parler de la
pédophilie au Congo, du règne des « coca-cola » (filles mineures) de Koffi
Olomide, Ngiama Werasson, Domingos, Félix Wazekwa, Féré, Ipupa, etc... Trop
c'est trop.
VI.- MANDAT D\'ARRET INTERNATIONAL N°140 :
A la suite de toutes ces révélations, le mandat d'arrêt international portant
le N°140 sur les 400 mandats, faisant suite à la liste élaborée par les
enquêtes menées par des chercheurs indépendants, sera lancé contre M. Vital
Kamerhe Rwakanyasigize, alias Lwa Kanyiginyi Nkingi, en qualité d'idéologue,
pour intelligence et complicité de génocide, crimes de guerre et crimes contre
l'humanité.
En effet,  Wikileaks et les Américains nous disent qu'il était plusieurs fois
chargé par Kanambe d'aller remettre des fonds, armes et munitions à son frère
Laurent Nkund[abattoir de Mushaki], le génocidaire, recherché depuis plusieurs
années déjà par la Cour Pénale internationale.
Au surplus, dernièrement, le Colonel Richard BEIZA Bamulhiga de la Police
Nationale congolaise, matricule n°38029/F confirmait, dans une déclaration
remise à la Cour Pénale internationale de la Haye, depuis Kampala (Ouganda)
où il s'était réfugié après avoir échappé à la mort à Kinshasa,
l'implication non seulement de Hippolyte Kanambe dans les massacres de Bogoro et
Nyankunde en Ituri (Province Orientale) en 2002, mais aussi du général
Kisempia, le colonel Aguru, le Major Duku, tous chargés des opérations
(massacres) sous la couverture du RCD/KML de Mbusa Nyamwisi. Sans oublier Samba
Kaputo, Mbusa Nyamwisi lui-même et notamment le sieur Vital Kamerhe qui servait
d'agent de liaison pour le compte du commandant Hyppo, en Ituri. Il nous
renseigne aussi qu'il était plusieurs fois chargé par Kanambe d'aller remettre
les armes, munitions et de l'argent liquide chez le chef Kawa des Hema pour
créer une nouvelle milice en Ituri, le PUSIC et en même temps il armait les
Lendu de l'APC où il y a eu des massacres sans nom... Une véritable tragédie,
des milliers voire millions des morts, signée Kanambe et Kamerhe au nom de
l'International Tutsi Power.
Le colonel Richard Beiza dira en conclusion : « Ce que vous devez savoir c'est
que le président Kabila est un sanguinaire et je suis en mesure de le confirmer
et de le prouver car j'ai travaillé durant 5 ans dans les services secrets de
la présidence. Et il n'hésite pas à sacrifier des vies humaines pour cela. Le
cas de l'Ituri est bien un exemple pour illustrer sa façon de concevoir la
gestion du pays. C'est assez triste que la Communauté internationale ne puisse
pas comprendre que la RDC est dirigée par un Machiavel sanguinaire »
(Interview du jeudi 21 avril 2011, sur Website lemillenaireinfoplus.com, copie
adressée à la C.P.I).
A la CENI, la Cour Suprême de Justice et le Procureur général de la
République de se saisir de ce lourd dossier d'une nouvelle imposture, faux et
usage de faux concernant le sieur précité, Vital Kamerhere.
VII.- CONCLUSION :
1.- Il est dit que l'une des sœurs de Vital Kamerhe travaillait dans le cabinet
de Monsieur KIKAYA, alors ministre de l'Information et ne se cachait pas de dire
tout haut qu'elle était Rwandaise de père et de mère. Dans ce cabinet là, le
Directeur de Cabinet était un Rwandais, membre du Comité directeur du parti
CEREA qui avait été invalidé à la C.N.S du fait d'être un parti des
Étrangers (Tutsi rwandais) et qui avait été expulsé du Congo, en septembre
1996. Kikaya qui venait de dénoncer Kamerhere devrait nous éclaircir sur ce
sujet précis.
2.- José Makila alors Député national et  élu Gouverneur de l'Équateur,
auteur de la motion sur la double nationalité au Parlement, disait tout haut
qu'il avait épousé coutumièrement la sœur de Kamerhere, sa femme, à Kigali,
chez les parents de Kamerhere. Makila l'attendait au tournant pour le dénoncer
publiquement comme étant un vrai Rwandais de père et de mère et un grand
menteur, jongleur, artiste et dribbleur.
3.- On le verra lors des négociations de Lusaka, à l'Hôtel, la nuit, en train
de distribuer des enveloppes venant du Rwanda et le texte rédigé au Rwanda aux
délégués congolais pour qu'ils ne touchent pas au contenu de ce texte car ils
seront nommés ministres dès leur retour à Kinshasa. Il sera interpellé par
le Conseil National de Sécurité sous Nono Lutula, entendu sur procès-verbal.
Il sera découvert que le Monsieur est un sujet Rwandais infiltré au Congo
depuis son jeune âge. Il sera reconnu comme agent rwandais en intelligence avec
le RCD/Rwanda (Ruberwa et Paul Kagame).
4.- Légèreté. Vital Kamerhere, président de l'Assemblée, a été l'auteur
provocateur des divorces de son vice-président, Marc Mvwama et de l'homme
d'affaires Didier KINWANI. Ce dernier a répudié sa femme depuis Paris pour
l'avoir surprise en train de voler une bonne quantité de son diamant en faveur
de Vital Kamerhe (avec preuve à l'appui) et le divorce a été consommé
sur-le- champ.
5.- Dans son Curriculum Vitae, M. Vital oublie de mentionner qu'il a étudié à
Kikwit par le simple fait qu'à Kikwit, il était bien connu comme un Rwandais
et non un Congolais. Un de ses professeurs de l’INDOBO l’avait reconnu et
recommandé, en 1992, lors d’une manifestation de la Congrégation des Frères
Joséphites, à St Théophile dans la commune de Lemba, comme un sujet Rwandais
qui parle nos quatre langues. Un exemple à suivre aux jeunes congolais de
Kinshasa qui ne se contentent que du « Lingala ».
6.- Toujours dans son C.V., il ne veut pas dire qu'il a commencé à travailler
chez Mushobekwa aux affaires étrangères, car on risque de l'associer à
celui-ci, un Rwandais de souche comme lui. Il ne manque pas aussi d'avoir
travaillé chez Mirindi Ruena (le neveu de Bisengimana Barthélemy), on risque
de le découvrir en tant que  Rwandais comme Mirindi. Il ne mentionne pas aussi
avoir été dans la cellule du cabinet Kengo wa Dondo en 1996-97. Sinon on va le
taxer de Rwandais comme Kengo wa Dondo.
7.- VITAL KAMERHE ET LA GUERRE DE L'EST. L'ambassadeur américain le dit dans un
langage diplomatique. Celui-ci l'accuse « d'attiser le feu du conflit dans les
provinces déchirées par la guerre du Nord et du Sud Kivu ». L'ambassadeur
américain, l'accuse encore diplomatiquement, « d’avoir acheminé de l'argent
à KUND[ABBATOIR DE MUSHAKI] pour tenter de perturber Kabila ». Il n'est un
secret pour personne que Laurent Kund[abattoir de Mushaki], ancien étudiant
rwandais à l'Université de Kisangani (2ans de graduat en pédagogie), est un
Lieutenant de l'APR/FPR prêté au RCD/Ruberwa.
8.- MENTEUR ET MANIPULATEUR NE. Le câble montre par ailleurs très bien comment
les diplomates occidentaux à Kinshasa se réunissent régulièrement pour
accorder leurs violons sur la situation intérieure congolaise. Lors de ces
rencontres où ils recoupent les propos tenus par Vital Kamerhe à ses
différents interlocuteurs, GARVELINK, l’ambassadeur américain à Kinshasa et
ses homologues de la Troïka et  de la Communauté internationale (France,
Belgique, Grande-Bretagne, Allemagne, Canada, Espagne, Italie, Portugal, Japon,
Chine, Russie etc.) croient pouvoir déceler « qu'il a clairement tenté de
manipuler les ambassadeurs étrangers à son avantage ».
9.- MENSONGE.  Sur son C.V., ce menteur fait curieusement disparaître, 20 ans
après, son prénom de Vital et refuse de reprendre RWAKANYASIGIZE pour éviter
que cela se fasse rappeler le Kinyarwanda .Il opte pour le post-nom de Lwa
KANYIGINYI Nkingi qui aussi n'est que celui de son grand-père M. KANYIGINYA du
clan  royal des Hutu des Banyiginya de la préfecture de Cyangugu.
10.- JUSOR (Jeunesse de l’Union Sacrée de l’Opposition radicale). Tous les
acniens membres de l’USOR, de l’USORAS et de l’USORAL sont formels : ils
n’ont  jamais vu ni rencontré lors de leurs innombrables rencontres à Limete
ou ailleurs dans les 24 communes de Kinshasa, un certain Vital Kamerhe
Rwakanyasigize alias Lwa Kanyiginyi Nkingi comme président de la soi-disant
Jeunesse de l'USOR, cellule qui n'existait même pas. Cette branche ou ce
rôle-là était confié au STOP (Secrétariat Technique de l’Opposition
radicale) à Olengankoy, Jacques Matanda, Tshiyoyo Mufwankol, Mme Martine Nole,
Frédéric Masini, Eva Muakasa, Benjamin Mukulungu, Ndume, Badibanga, Ezuluwa,
etc. Jamais entendu parler d'un certain Kamerhe à l'USOR, USORAS, USORAL,
jamais, jamais. Quel gros mensonge ?
Ce Rwandais Tutsi ou Hutu (c’est blanc bonnet, bonnet blanc), au nom de Vital
Kamerhe est dangereux, voire très dangereux pour le Congo et les Congolais,
pour le Sud-Kivu et le Kivu. Il y a lieu de le dénoncer haut et fort pour qu'il
puisse disparaître définitivement du Congo, comme c'est le cas de ses frères,
Rwamakuba Déogratias, Douglas, alias Bugera, BIZIMANA KARAMUHETO alias Bizima
Karaha, Didier Kazadi, alias Dieudonné NYEMUREMIE alias Dieudonné Mbuyi, Idi
Omar selon les circonstances. Ce dernier est né à Bujumbura en 1947 . Il est
bel et bien de nationalité burundaise, un repris de justice, condamné à mort,
évadé et recherché dans son propre pays, le Burundi ,jusqu’à ce jour.
Le GRARC demande aux Congolais de connaître et faire connaître la véritable
identité de tous ceux qui vagabondent dans les couloirs du pouvoir
d’occupation pour ne plus tomber dans nos erreurs du passé. Ainsi,
aujourd’hui, il s’agit de Vital Kamerhe qui aspire lui aussi à la
magistrature suprême dans notre pays .Mais , marchant sur les pas de «Joseph
Kabila»,il continue à éluder ces nombreuses questions que lui posent les
Congolais : Aveu de culpabilité ? Paradoxalement, pour des situations à peu
près similaires dans d’autres pays, tels que la France ou les Etats-Unis
d’Amérique, les candidats à la magistrature suprême se font un devoir et
même une fierté de produire pratiquement leur arbre généalogique (autant
qu’ils le peuvent).
C’est notamment le cas  du président américain, Monsieur Barack Hussein
Obama, qui a été obligé de produire un acte de naissance authentique prouvant
qu’il est bel et bien né sur le sol américain, en l’occurrence à Hawaï.
L’actuel chef de l’Etat du pays le plus puissant de la planète s’est
justifié sans tergiverser en produisant tout simplement le document demandé.
Au Congo-Kinshasa toute question relative aux ascendants de certains candidats
à la présidence de l’Etat ou de simples acteurs politiques, est devenue
subitement un sujet tabou. Même certains observateurs étrangers, dont les
Etats sont pourtant allés jusqu’à instituer des tests ADN pour vérifier la
filiation ou établir la véritable identité des étrangers qui veulent
s’établir sur leur territoire, s’insurgent lorsque les Congolais tentent
tout simplement de mieux connaître ceux qui ont la prétention de devenir leurs
dirigeants. N’est-ce  pas une préoccupation légitime ?
Les cris au « scandale » et les atermoiements hypocrites de certains ne nous
arrêteront pas. Notre peuple n’est pas xénophobe, il est simplement devenu
plus exigeant et vigilant comme d’autres bien avant nous. Au vu des intentions
avérées du Rwanda de noyauter nos institutions dans le but de déstabiliser 
de piller et de balkaniser le Congo, cacher ses origines pour accéder à la
magistrature suprême ou à d’autres fonctions stratégiques devient une
affaire d’Etat.
Vital Kamerhere n’a pas hésité à profiter du désespoir de toute une
population particulièrement meurtrie qui le considérait comme l’un des
leurs. Les viols, les massacres, la misère et toute la détresse des Kivutiens
qui croyaient en lui ne l’ont pas empêché de mentir , y compris sur la
véritable identité de « Joseph Kabila ». Ceci à la fois pour pouvoir
atteindre des objectifs personnels, et parce que ses accointances avec Kigali ne
lui permettent pas de faire autrement. Aujourd’hui les Congolais sont à
nouveau prévenus, y compris par un diplomate américain via Wikileaks. Le
portrait de Vital Kamerhere par l’ambassadeur américain, Monsieur GARVELINK
n’est pas des plus sympathiques d’après celui-ci : « sa réputation de
leader modernisateur, démocrate et honnête ne correspond peut-être pas tout
à fait à la réalité ». Selon le diplomate, Kamerhere est un « menteur »,
un « manipulateur » ,et il évoque même des accusations de corruption à son
encontre… Où sont passés les 200 millions de dollars américains destinés
à construire une nouvelle assemblée nationale ,mais
vidés des caisses du parlement,
Le GRARC ne ménagera aucun effort afin de permettre aux congolais de mieux
connaître tous ceux, tapis dans l’ombre de la congolité, servent en
réalité les intérêts étrangers.
Thomas MBEMBELE
Président du GRARC

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