dimanche 7 août 2011

La science kidnappée ou le bias érigé en dogme… Big Bang ou Big Flop ?

Nous avons traduit ici cet article remettant en cause la théorie de la création de l’univers prévalente: celle du Big Bang.
Au delà de la validité scientifique de la théorie du Big Bang et des théories alternatives, il semble une fois de plus que la science, en tout cas le processus scientifique même, a été une fois de plus détourné par des intérêts particuliers. Tout comme la science tronquée entourant les hypothèse érigées en dogme par des scientifiques politisés du réchauffement climatique anthropique, hypothèse désavouée depuis 2009 ou autre exemple l’hypothèse de l’origine biotique (« fossile ») du pétrole que nous avons longuement évoquée sur ce blog et qui ne semble avoir aucun fondement scientifique, la théorie cosmologique du Big Bang semble avoir été érigé en un dogme indiscutable que ses gardiens défendent becs et ongles… pour des intérêts financiers évidents.
Le fait est de constater que la science a été kidnappée et qu’il est de plus en plus difficile de croire des scientifiques qui ont reniés les méthodes la plus élémentaire de recherche scientifique, tel semble encore être le cas avec la théorie du Big Bang…

Scientifiques ! Sortez du carcan corporatiste et l’illusion du profit. C’est pour l’humanité que vous travaillez, pas pour une « élite » arrogante auto-proclamée.

Résistance 71



La théorie du Big Bang démontée par 33 scientifiques de haut niveauNos idées à propos de l’histoire de l’univers sont dominées par la théorie du big bang. Mais cette dominance a plus à faire avec une histoire de financement que de méthode scientifique, d’après Eric Lerner, le mathématicien Michael Ibison d’Earthtech.org et de douzaines d’autres scientifiques à travers le monde.Une lettre ouverte à la communauté scientifique
Cosmology Statement.org (Published in New Scientist, May 22-28 issue, 2004, p. 20)


~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
Aujourd’hui, la théorie du big bang dépend d’un nombre croissant d’entités hypothétiques, de choses que nous n’avons jamais observées, l’expansion, la matière noire, l’énergie noire en sont les meilleurs exemples. Sans elles, il y aurait une contradiction fatale entre les observations faites par les astronomes et les prédictions de la théorie du big bang.

Dans aucun autre domaine de la physique ne serait accepté ce recours perpétuel à de nouvelles hypothèses acceptées afin de connecter le fossé entre la théorie et l’observation. Ceci produirait au moins DE SERIEUSES QUESTIONS A PROPOS DE LA VALIDITE DE LA THEORIE SOUS-JACENTE.

Mais la théorie du big bang ne peut pas survivre sans ces facteurs correctifs. Sans l’hypothèse du champ d’expansion, le big bang ne prévoit pas le fond de radiation isotropique cosmique qui est observé, parce qu’il n’y aurait aucun moyen pour des parties de l’univers qui sont maintenant éloignés de juste quelques degrés dans le ciel d’être à la même température et ainsi d’émettre la même quantité de radiation micro-onde.

Sans une certaine forme de matière noire, à l’encontre de ce que nous avons observé sur terre malgré 20 années d’expériences, la théorie du big bang établit des prédictions contradictoires concernant la densité de la matière dans l’univers. L’expansion demande une densité 20 fois supérieure à celle qui serait impliquée dans la nucléo-synthèse du big bang, qui constitue l’explication par la théorie de l’origine des éléments de lumière. Et sans énergie noire, la théorie prédit que l’univers ne serait vieux que de 8 milliards d’années, ce qui est des milliards d’années plus jeune que beaucoup d’étoiles dans notre galaxie.

De plus, la théorie du big bang ne peut donner aucune prédictions quantitatives qui auraient été vérifiées ensuite par l’observation. Les succès clâmés par les supporteurs de la théorie consiste en l’habileté à faire conïncider rétrospectivement des observations avec un nombre augmentant sans cesse de paramètres ajustables, de la même façon dont la vieille cosmologie de Ptolémée qui voyait la Terre comme centre de l’univers, avait besoin de plusieurs couches d’épicycles.

De fait la théorie du big bang n’est pas le seul système à disposition pour comprendre l’histoire de l’univers. La cosmologie plasmique et le modèle d’univers constant tous deux font l’hypothèse d’un univers évoluant sans début ni fin. Celles-ci ainsi que d’autres approches alternatives peuvent aussi expliquer les phénomènes de base du cosmos, incluant l’abondance des éléments de lumière, la création de structure à grande échelle, le fond de radiation cosmique et comment le redshift des galaxies très lointaines augmentent avec la distance. Elles ont même prédit de nouveaux phénomènes qui ont été depuis observés, chose que la théorie du big bang n’a pas réussi à faire.

Les supporteurs de la théorie du big bang pourront toujours rétorquer que ces théories n’expliquent toujours pas toutes les observations cosmologiques. Mais cela n’est guère surprenant dans la mesure où leur développement a complètement été bloqué par un manque de fonds. En fait, ces questions et alternatives ne peuvent même pas être discutées et examinées librement. Un échange ouvert d’idées est totalement inexistant dans la vaste majorité des conférences connues.

Là où Richard Feynman aurait pu dire que “la science est la culture du doute”, dans le monde de la cosmologie aujourd’hui, le doute et la dissidence ne sont absolument pas tolérés; ainsi de jeunes scientifiques apprennent à rester silencieux s’ils ont quelque chose de négatif à dire à propos du modèle standard du big bang. Ceux qui doutent de la théorie du big bang ne veulent le dire de peur que cela ne leur coûte leurs fonds de recherche.

Même les observations sont maintenant interprêtées à travers ce filtre biaisé et jugées justes ou fausses en fonction de si elles supportent la théorie du big bang ou pas. Il y a beaucoup de données contradictoires sur le redshift,, les abondances de lithium et d’hélium, la distribution des galaxies, entr’autres sujets, qui sont soit ignorées, soit tournées en ridicule. Ceci est le reflet d’une mentalité dogmatique croissante qui est totalement étrangère à l’esprit de la recherche scientifique libre.

De nos jours, virtuellement toutes les ressources financières et expérimentales en cosmologie sont dévouées aux études et la recherche sur le big bang. Le financement ne provient que de sources réduites et tous les comités de révision des pairs qui contrôlent le financement sont dominés par les adeptes de la théorie du big bang. De fait, la dominance du big bang au sein de cette communauté est devenue auto-suffisante et ce quelque soit la validité scientifique de la théorie.

Ne donner un soutien qu’à des projets qui sont dans le cadre de travail de la théorie du big bang diminue un élément fondamental de la méthode scientifique: soumettre constamment la théorie à l’observation. Ce type de restriction rend impossible une recherche et une discussion impartiale. Afin de corriger ce défaut, nous implorons les agences qui disposent des fonds pour la recherche en cosmologie de réserver une bonne partie des fonds aloués pour la recherche dans les théories alternatives et les observations contradictoires au big bang. Pour éviter toute partialité, les comités de révision qui alouent ces fonds de recherche pourraient être composés d’astronomes et de physiciens résidant en dehors de la cosmologie.

Donner des fonds de recherche pour étudier la validité de la théorie du big bang et des théories alternatives permettrait au processus scientifique de déterminer notre modèle le plus précis concernant l’histoire de l’univers.

Signé:

(Institutions for identification only)

Eric J. Lerner, Lawrenceville Plasma Physics (USA)

Michael Ibison, Institute for Advanced Studies at Austin (USA) / Earthtech.org

www.earthtech.org http://xxx.lanl.gov/abs/astro-ph/0302273http://supernova.lbl.gov/~evlinder/linderteachin1.pdf

John L. West, Jet Propulsion Laboratory, California Institute of

Technology (USA)

James F. Woodward, California State University, Fullerton (USA)

Halton Arp, Max-Planck-Institute Fur Astrophysik (Germany)

Andre Koch Torres Assis, State University of Campinas (Brazil)

Yuri Baryshev, Astronomical Institute, St. Petersburg State University (Russia)

Ari Brynjolfsson, Applied Radiation Industries (USA)

Hermann Bondi, Churchill College, University of Cambridge (UK)

Timothy Eastman, Plasmas International (USA)

Chuck Gallo, Superconix, Inc.(USA)

Thomas Gold, Cornell University (emeritus) (USA)

Amitabha Ghosh, Indian Institute of Technology, Kanpur (India)

Walter J. Heikkila, University of Texas at Dallas (USA)

Thomas Jarboe, University of Washington (USA)

Jerry W. Jensen, ATK Propulsion (USA)

Menas Kafatos, George Mason University (USA)

Paul Marmet, Herzberg Institute of Astrophysics (retired) (Canada)

Paola Marziani, Istituto Nazionale di Astrofisica, Osservatorio Astronomico di Padova (Italy)

Gregory Meholic, The Aerospace Corporation (USA)

Jacques Moret-Bailly, Université Dijon (retired) (France)

Narlikar, IUCAA(emeritus) and College de France (India, France)

Marcos Cesar Danhoni Neves, State University of Maringá (Brazil)

Charles D. Orth, Lawrence Livermore National Laboratory (USA)

R. David Pace, Lyon College (USA)

Georges Paturel, Observatoire de Lyon (France)

Jean-Claude Pecker, College de France (France)

Anthony L. Peratt, Los Alamos National Laboratory (USA)

Bill Peter, BAE Systems Advanced Technologies (USA)

David Roscoe, Sheffield University (UK)

Malabika Roy, George Mason University (USA)

Sisir Roy, George Mason University (USA)

Konrad Rudnicki, Jagiellonian University (Poland)

Domingos S.L. Soares, Federal University of Minas Gerais (Brazil)

Source ; resistance71

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