Source 26/05/2016: Apostat Kabyle blog 4 ever.
Femme politique, juriste et avocate,
Klára Samková a donné devant le parlement tchèque un discours lucide et
direct sur l’islam et les musulmans, devant un public incluant des
ambassadeurs de pays musulmans, dont l’ambassadeur turc, qui sont sortis
avant la fin, visiblement en colère.
Son discours mérite d’être lu
attentivement. Il traite des questions que les “démocraties”
occidentales, bien trop trop consensuelles et qui s’accrochent comme des
morpions à leurs discours politiquement corrects, ne sont pas prêtes à
accepter. Encore moins à diffuser. Des idées que l’Occident trouve bien
plus simple et commode à rejeter et qu’il considère comme étant des
idées extrémistes, voire racistes ou fascistes.
Le discours a été applaudi par presque
tous les intervenants tchèques dans les journaux en ligne de toutes
tendances politiques. Ce qui n’est pas vraiment exceptionnel en
République tchèque. Car les opinions développées dans son discours sont
largement acceptées par la société tchèque. Si elle a été louée pour
cette attitude courageuse, c’est parce que le sujet n’est tout
simplement pas tabou dans la société thèque. Le peuple tchèque, comme
d’autres peuples d’Europe centrale et de l’Est, est généralement plus
hostile à l’immigration islamique que les autres peuples de l’UE.
Ainsi, si Klára Samková n’est pas devenue
une superstar de la politique après un tel discours, c’est parce que
les idées qu’elle développe ne sont généralement pas différentes de ce
que pensent la majorité des Tchèques. Pour diverses raisons, mais aussi
parce que les Tchèques, comme les autres peuples de l’Europe du Centre
et de l’Est, ont fait l’expérience du totalitarisme soviétique, ce qui
les a en quelque sorte immunisé contre la propagande pro-islam subie de
force dans le reste du monde occidental.
Autre raison: les Tchèques ont été trahis
en 1938 par le Traité de Munich, ils n’ont pas envie que l’Histoire se
répète à cause de l’UE et de ses décisions suicidaires. Ensuite, de
nombreux Tchèques sont athées (héritage de l’époque soviétique), ce qui
les place plus loin hors de la sphère “islam” que les chrétiens
vis-à-vis des musulmans. Cela ne signifie pas que les Tchèques sont
d’une certaine manière irrationnellement hostiles. Ils sont tout
simplement raisonnables.
Enfin, la grande majorité des Tchèques
pense que l’immigration de masse ne doit pas être autorisée. Plus de 90%
d’entre eux disent qu’ils ne veulent pas qu’on héberge même
temporairement des réfugiés musulmans.
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Parlement tchèque: une député répond à la question “Faut-il avoir peur de l’islam” – 18 mai 2016
Chers invités,
Je vous remercie pour l’invitation et pour l’occasion qui m’est donnée de faire ce discours. La conférence d’aujourd’hui est censée aider à répondre à la question de savoir si nous devrions avoir peur de l’islam. Ma réponse à la question est simple: nous ne devrions certainement pas avoir peur de l’islam. Nous devrions traiter de la même façon que la civilisation européenne a traité tous les régimes totalitaires et inhumains auxquels elle a dû faire face pendant plus de 2.000 ans de son Histoire. En particulier, nous devons combattre l’islam, le battre, et empêcher sa prolifération une fois pour toutes, tout comme pour les idéologies monstrueuses précédentes, déclarer l’existence même de l’islam comme un acte criminel qui contredit la nature humaine, la liberté et en particulier la dignité humaine.
Parce que c’est exactement ce que l’islam est, à savoir un système qui contredit la nature humaine, la liberté et la dignité.
Il est de même nature que le nazisme, le
fascisme et le communisme. Il a ces caractéristiques en dépit du fait
qu’il se cache derrière le masque d’une religion. En réalité, il est
avant tout une idéologie criminelle, à la fois dans le sens de commettre
un crime et d’être contrôlé par des criminels, et un système
irréformable de gouvernance.
L’islam se cache derrière le masque de la religion pour deux raisons [Interjections].
La première raison, ce sont les circonstances historiques entourant la
naissance de l’islam, alors qui n’a autorisé aucune autre forme de
présentation idéologique. Même dans la Grèce antique, il était interdit
de construire des formes philosophiques qui étaient indépendantes de la
religion d’État, un fait sur lequel Socrate aurait pu nous en dire plus.
Il était encore moins possible de créer un paradigme composé d’idées
irréligieuses au septième siècle de notre ère, à la limite même du monde
civilisé de l’époque.
La deuxième raison pour laquelle l’islam
aime se cacher derrière le masque religieux est l’abus permanent,
délibéré et intentionnel qu’il fait du système juridique euro-américain
et des valeurs que les civilisations ont construites sur les fondations
judéo-chrétiennes. Il n’y a rien de mieux ou de plus efficace que
d’abuser du système de valeurs de son ennemi, surtout quand on ne
partage pas ce système. Et c’est exactement ainsi que l’islam se
comporte. Il veut être protégé selon notre tradition, qu’il exploite de
cette manière, alors qu’il n’accepte pas la réciprocité. Il profite de
nos traditions, il affirme que les traditions sont importantes, alors
que dans les coulisses, il se moque de nous et de notre système de
valeurs.
Voyons d’abord pourquoi il est tout à
fait raisonnable de placer l’islam à égalité avec les régimes
totalitaires. Même s’il se qualifie de religion, il est avant tout un
système totalitaire de gouvernance dans lequel Dieu ne joue qu’un rôle
substitutif parce que le contenu principal de l’islam n’est rien d’autre
que l’arrangement des affaires de l’État. Contrairement au
christianisme, à l’hindouisme, au bouddhisme, au taoïsme ou au
shintoïsme, au cœur de l’islam on trouve la loi, à savoir la charia
islamique. La loi est une partie intrinsèque et indissociable de
l’idéologie islamique. Elle constitue le noyau du contenu de l’islam et
les règles qui sont prétendument religieuses ou éthiques sont justes des
composantes secondaires et marginales de l’idéologie. Du point de vue
de l’islam, le concept de la religion en tant que croyance privée, en
tant que conviction intime d’un individu, est absolument inacceptable.
C’est exactement le principe sur lequel
le christianisme d’aujourd’hui et les civilisations qui en découlent
dépendent: une relation privée d’un individu envers Dieu. Même les
membres de notre civilisation qui se considèrent athées, à savoir ceux
qui prétendent ne pas croire en Dieu, calquent automatiquement leurs
attitudes de vie sur les traditions chrétiennes alors que ces traditions
prennent la forme soit du folklore, soit des automatismes culturels qui
leur font partager l’esprit général qui prévaut en Europe et en
Amérique. Encore une fois, il est nécessaire de se rappeler que ce point
de vue est non seulement inacceptable pour l’islam, mais il est
également dénoncé et explicitement désigné comme un crime. L’islam
rejette la conception individuelle de la foi en Dieu et d’une manière
totalitaire, il interdit tous les doutes sur lui-même. Si quelqu’un
pense que nous n’avons pas le droit de juger ce qui est totalitarisme et
hégémonisme et que nous n’avons pas le droit de classer l’islam de
cette manière, permettez-moi de dire que dans un pays qui a eu des
souverains étrangers depuis 300 ans et qui, au cours de ces 78 dernières
années, a passé 48 ans sous des régimes totalitaires, nos réflexes ont
été formés pour détecter précisément le totalitarisme et l’hégémonisme.
Nous avons le droit et la capacité de le reconnaître et de le juger. Et
nous pouvons le reconnaître au premier coup d’oeil.
L’islam ne partage pas l’idée des
Lumières, du progrès social associé à l’avenir. Selon l’islam, les bons
moments ont déjà eu lieu – à l’époque du prophète Mahomet. Les
meilleures choses qui auraient pu être faites ont déjà été faites, la
meilleure chose qui aurait pu être écrite a déjà été écrit, à savoir le
coran. Dans son essence, l’islam est une religion basée sur le livre de
l’Ecclésiaste, qui enseigne, plus de mille ans avant Mahomet: “Qu’est-ce
que les gens profitent de tous leurs durs travaux sous le soleil? Les
générations vont et viennent, mais la Terre reste la Terre pour
toujours” [1].
Le judaïsme, le christianisme et la
civilisation qui en a résulté ont dépassé ce scepticisme injustifié, ce
mépris des gens pour eux-mêmes. Au même moment, l’islam est resté
l’enfant mort-né de la gnose, déformé par le désir monstrueux de faire
subir une mutation à tout l’Univers, dans une vision rétrograde,
paranoïaque, obsessionnelle, psychopathe sur la nature exceptionnelle de
son propre chemin vers la réunification essentielle de ses adeptes avec
Dieu. Cette conception défectueuse provoque aussi la vision persistante
a tout l’Islam qui consiste à voir de manière hostile et méprisante
notre civilisation, qui est considérée comme matérialiste et donc
intrinsèquement mauvaise et qui offusque Dieu. C’est une véritable
tragédie pour les musulmans eux-mêmes qui se sont éternellement fermé le
chemin vers Dieu en poursuivant dans cette impasse.
L’aliénation, l’absence de foi dans
l’être humain et sa valeur irremplaçable, le scepticisme à l’égard de la
dignité de chaque être humain, indépendamment de ses caractéristiques
telles que la religion, le statut social, le sexe et la nationalité,
voila ce qui caractérise l’islam. L’islam a rejeté la philosophie comme
nous le savons, comme étant la possibilité d’une vision critique et
rationnelle de la réalité. Cette attitude empêche également les
musulmans de penser aux questions relatives à la liberté humaine, à la
dignité, au rôle d’une personne dans le contexte d’un État, et –
paradoxalement – aussi aux questions sur Dieu, qui est devenu, dans le
contexte de la civilisation euro-américaine, une composante inhérente
aux schémas de pensée poursuivis par les meilleurs scientifiques –
astrophysiciens, mathématiciens, biologistes, qui touchent, par leur
recherche, les fondements-mêmes de l’univers et donc l’essence de Dieu.
Cependant, les musulmans se sont toujours interdit d’obtenir un contact
direct avec Dieu, qu’ils ont [selon eux] perdu au moment de la mort de
Mahomet. Comme leur vie doit être immensément désespérée, quand il ne
s’agit que de vivre essentiellement dans l’attente de la mort!
À cause de cette paralysie totale
spatio-temporelle de l’islam, les nations qui souffrent de l’idéologie
musulmane sont les plus dévastées. Plus précisément, ces nations sont
dépréciées par de pitoyables conditions quasi-religieuses et le
potentiel qui leur a été donné comme à tous les êtres humains, ne peut
pas être transformé en réalisations, consciemment ou inconsciemment.
Tout comme les Russes étaient les victimes les plus misérables du
communisme parce que le communisme total est né en Russie, tout comme
les premières victimes du nazisme allemand étaient Allemands, les
personnes les plus dévastées par l’islam sont les Arabes et les autres
nations contraintes de vivre sous l’hégémonie de l’islam. J’utilise ce
lieu pour exprimer ma plus profonde compassion avec ces peuples et en
particulier avec les femmes musulmanes qui souffrent plus que d’autres.
Pour les musulmans, la route de malheur
est le seul chemin parce qu’ils se voient refuser l’essence même de la
nature humaine, à savoir l’évolution. L’islam ne respecte pas le
développement, le progrès et l’humanité. Dans son désespoir, il tente
d’emporter le reste de l’humanité avec lui parce que, du point de vue
islamique, le reste du monde est futile, inutile, et impur.
L’islam et sa charia sont incompatibles
avec les principes de la législation européenne, en particulier avec les
droits énoncés dans la Convention européenne de
1950 sur les droits de l’homme. Comment est-il possible que nos experts
en droit ne voient pas ce conflit? Comment est-il possible qu’ils
restent silencieux? Comment est-il possible qu’ils approuvent toutes les
demandes des musulmans qui se réfèrent à l’article 9 de la Convention
sus-mentionnée, qui garantit la liberté de pensée, de conscience et la
foi religieuse? Et comment est-il possible que les musulmans dans notre
monde exigent d’être protégés selon ce document juridique alors que
notre système juridique ne semble pas offrir la même protection aux
opinions, aux idées et aux croyances religieuses qui sont en désaccord
avec l’islam? Dans quelle mesure les musulmans sont-ils enclins à
écouter des vues différentes, que nous avons nous-mêmes exposés ici [2].
[…] Nos avocats sont-ils seulement capables de compter jusqu’à quatorze
quand l’article 14 de la Convention stipule que l’utilisation des
droits et libertés décrits par la Convention doit être assurée sans
discrimination fondée sur des critères? Je tiens à assurer à tous que
nous pouvons compter au moins jusqu’à dix-sept parce que l’article 17 de
la Charte dit:
Aucune des dispositions de la présente Convention ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu, un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des droits ou libertés reconnus dans la présente Convention ou à des limitations plus amples de ces droits et libertés que celles prévues à ladite Convention.
Cet article a été présenté à la
Convention par Winston Churchill personnellement, il l’a fait pour une
raison particulière, à savoir comme une protection contre les régimes
totalitaires. Il était évident qu’il pensait à ceux qui étaient les
premiers visés à cette époque, les régimes communistes. J’ai à l’esprit
l’islam, qui est également totalitaire et menaçant, tout comme l’étaient
les régimes contre lesquels Winston Churchill s’était battu et qu’il a
vaincu. La protection par l’article 17 s’applique correctement contre
toute idéologie et le fait que les pays européens contraints par la
Convention ont décidé de ne pas l’appliquer [à l’islam] jusqu’à présent
ne veut pas dire qu’ils ne possèdent pas la volonté de le faire. Ces
pays sont juste trop gentils et bienveillants, trop conscients du prix
qu’ils ont payé dans l’apprentissage de la valeur la plus haute de
l’humanité, et trop patients. L’hypothèse des pays et des dirigeants
musulmans – qui ont décidé de terroriser les Européens par leur vision
du monde – que la cause de l’inaction de l’Europe est sa faiblesse est
tout à fait erronée. L’Europe est parvenue à sa vision du monde par le
sacrifice de dizaines de millions de vies humaines, elle a payé par une
souffrance qu’aucun musulman ne peut même pas imaginer.
Aujourd’hui, l’Europe continue à demander aux musulmans: “Voulez-vous vivre avec nous?”
non par peur de l’islam, mais parce que c’est la question capitale, la
question cruciale qui doit amener les nations musulmanes à donner une
réponse.
Jusqu’à présent, il semble que les
musulmans ne veulent pas partager pacifiquement la planète avec le reste
du monde. Leurs actes terroristes, bruyamment déclamés et commis au nom
de l’islam, suggèrent qu’ils ne sont pas intéressés par la fraternité
entre les nations et les peuples [incompréhensible]. Ils crient des mots
sur la supériorité de l’islam et de leur système juridique et ils
affirment que nous avons le devoir de nous subordonner à eux. Nous ne
constatons pas de preuve que les musulmans sont des êtres supérieurs par
rapport à nous les non-musulmans, ou par rapport aux femmes, ou aux
homosexuels ou à toute autre personne qui ne se conforme pas strictement
au coran.
Pour quelques temps, l’Europe va
continuer à poser cette question au sujet de la coexistence pacifique. À
un certain moment, la question fera l’objet d’une métamorphose et
sonnera très différemment. Il ne sera plus question de “Voulez-vous vivre avec nous” mais “Vous voulez vivre?“. Vous, les musulmans, voulez-vous survivre? Parce
que si les adeptes de l’islam ne veulent pas vivre dans la paix,
l’Europe et l’Amérique feront ce qu’ils ont fait à deux reprises quand
ils ont été menacés par des idéologies qui s’attaquent à l’essence-même
de l’humanité: il mèneront la guerre et écraseront l’ennemi. Tout comme
dans les guerres du passé, ce conflit va intégrer un certain progrès
scientifique, technique ou technologique grandiose, cette fois sans
aucun doute associé à l’obtention de l’indépendance énergétique totale.
Je n’ai pas une idée de quelle façon cela aura lieu: peut-être quand le tokamak sera terminé.
Peut-être nous extrairons l’énergie des énergies du point zéro du vide quantique.
En tout cas, la principale conséquence des actes de violence commis par
les musulmans et la guerre qui se matérialisera à cause d’eux sera un
châtiment complet pour l’idéologie islamique. L’islam [les musulmans]
sera considéré comme un groupe d’individus dégénérés rampants dans le
désert où le pétrole inutile et indésirable circulera inutilement et
sans fin vers les marais, un groupe d’individus qui se souviendront des
lumières antiques des rues de Damas et des beautés de la Mecque, qui
aura été transformée en rien de plus qu’un trou en enfer. Ce groupe de
personnes anonymes sera reclassé comme indésirable par le reste de
l’humanité, ordure qui a dévié du chemin vers Dieu qu’ils ne peuvent
jamais retrouver parce qu’ils auront été vaincus par le mépris qu’ils
ont pour l’entité que Dieu trouve si aimable, à savoir les humains. Sans
aucun doute, tous les humains et la planète entière.
Ces jours-ci, nous sommes
artificiellement nourris avec des idées selon lesquelles il se pourrait
que ce soit l’Europe qui devrait avoir peur et avoir peur pour son
avenir, sa culture, sa philosophie et sa vision du monde. Non, c’est
exactement l’inverse. Par leurs actes malveillants, les musulmans ont
fait les premiers pas vers leur propre perte absolue.
Je me sers de cette conférence et lance
un appel à tous les musulmans et tous les pays qui prétendent que
l’islam est leur religion: arrêtez. Vous êtes sur une mauvaise voie.
Vous êtes sur une piste qui conduit loin de Dieu. Vous êtes sur la route
des meurtriers. Votre mort ne saura pas vous mener à Barbelo,
mais à la terre du néant et de l’inutilité sans nom. Rien ne sera
laissé de vous et le nom de votre prétendue religion ne sera prononcé
qu’accompagné de crachats. Parce que c’est qui est écrit dans
l’Apocalypse de Jean, chapitre 12, intitulé “L’Ennemi conquis”:
“Et un grand signe apparut dans le
ciel: une femme revêtue du soleil, et la lune sous ses pieds, et sur sa
tête une couronne de douze étoiles“.
Le manteau bleu des vagues de femmes dans
chaque drapeau de l’Union européenne. La couronne de douze étoiles qui
se trouve sur chaque drapeau de l’Union européenne.
Musulmans, posez-vous la question de
savoir qui est le serpent ou le dragon qui sera foulée aux pieds et
vaincu par la femme. Et surtout, n’oubliez pas de donner la bonne
réponse à la question: “Voulez-vous vivre?” La bonne réponse est: “Dans ce cas, vous devrez apprendre à vivre avec nous et (dans nos pays) selon nous“.
___________________________________
[1] L’islam est le déni de
l’individu, celui-ci n’existe que par la “nation islamique”, la Oumma,
communauté des Croyants. Comme l’Ecclésiaste, le coran enseigne que les
seules action durables sont “la crainte de dieu [ou d’Allah] et l’absolu
devoir de s’imposer ses commandements”.
[2] À cet instant, l’ambassadeur
de Turquie et d’autres personnalités musulmanes sortent. L’ambassadeur
de Turquie à Prague Ahmet Necati Bigali a déclaré après-coup: “Madame Samková, vous n’avez pas le droit d’insulter l’islam“.
La rengaine habituelle. À chaque fois que l’islam est dévoilé sous sa
véritable identité, à chaque fois qu’on en fait une une description
impartiale, les musulmans s’indignent, agitent le torchon de
l’islamophobie et taxent les autres de nazis ou de racistes. Alors qu’il
est établi une fois pour toute que, d’une part, les musulmans ont
massivement adhéré au nazisme, étant donné nombre de points communs
qu’ils se sont trouvé, en premier la haine des juifs, à l’image de leur
grand chef spirituel de l’époque, le hadj Amin al-Hosseini (lire mon
article Islam et nazisme) et d’autre part, que le racisme le plus nauséeux qui soit se trouve inscrit à longueur de versets dans le coran.
L’ambassadeur a semble-t-il été très offensé que la Chambre des députés laisse ainsi la libre expression au sujet de l’islam. C’est vrai qu’avec les Parlements-croupions de l’Europe de l’Ouest et des pays scandinaves, les musulmans n’étaient pas habitués à ce type de discours direct et politiquement très incorrect.
Réponse de Klára Samková: “L’ambassadeur turc veut m’appliquer la charia“.
“Mon discours n’était rien de plus qu’une description objective de la réalité. […] Mes mots étaient tout à fait vrais: l’islam est une idéologie totalitaire, anti-humaine, il a le même caractère que le nazisme, le fascisme et le communisme. Il est un moyen totalitaire de régenter la vie, un moyen auquel on ne peut échapper sous peine de mort. […] Mes déclarations ne sont pas problématiques en ce qui concerne les lois de la République tchèque et si elles l’étaient, ce serait une interprétation politique délibérée de la loi. Monsieur l’Ambassadeur, en substance, exige l’application de la charia contre moi“.
“Mon discours n’était rien de plus qu’une description objective de la réalité. […] Mes mots étaient tout à fait vrais: l’islam est une idéologie totalitaire, anti-humaine, il a le même caractère que le nazisme, le fascisme et le communisme. Il est un moyen totalitaire de régenter la vie, un moyen auquel on ne peut échapper sous peine de mort. […] Mes déclarations ne sont pas problématiques en ce qui concerne les lois de la République tchèque et si elles l’étaient, ce serait une interprétation politique délibérée de la loi. Monsieur l’Ambassadeur, en substance, exige l’application de la charia contre moi“.
Que certains ambassadeurs aient quitté la
salle lors du discours nous donne une preuve supplémentaire que l’islam
est intolérant et qu’il perçoit toute critique comme insupportable.
“Mon discours a été conçu juste pour
eux, et je les ai exhorté à réfléchir à la façon dont nous vivrons
ensemble. L’islam ne veut pas écouter les critiques de sa propre
idéologie“, a déclaré Samková.
Dans une interview accordée à Echo24.cz elle
a également expliqué pourquoi dans le passé elle avait aidé les
musulmans de son pays en collaborant avec l’Union des musulmans
tchèques.
Source: blog sami-aldeeb.org
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