dimanche 24 juillet 2011

Côte d'Ivoire: Avec la venue de Dramane Ouattara, la Côte d'Ivoire est retournée à l'âge de la pierre taillée


Alassane Ouattara conversant avec Kablan Duncan, ministre des affaires étrangères.

Le 23 juillet 2011 par IvoireBusiness 
Depuis le putsch de Nicolas Sarkozy contre le président Laurent Gbagbo le 11 avril 2011 dernier,
son ami Dramane, le seul économiste africain (sic), a du mal à décoller. Il traîne comme un pigeon qui a du plomb dans ses deux ailes. Ici, nous sommes concernés par les sorties de son ministre de l’Education Nationale. Ce ministère est un poste à hauts risques. Cependant, Dramane a choisi un traîne-savate pour détruire la Côte d’ Ivoire depuis la moelle épinière, c’est-à-dire la jeunesse qui est le futur de toute nation.
Nation jadis respectée pour le niveau et la qualité de l’enseignement (même si toute l’Afrique baigne dans la médiocrité au niveau de l’éducation ; 'au pays des aveugles, le borgne est roi’, n’est-ce pas ?) donné aux jeunes venus de partout, la Côte d’Ivoire sarko-dramanienne fait déjà la honte de toute l’Afrique qui marche depuis la seconde moitié de l’an 2010 au rythme du canon occidental et américain.
Or donc, Dramane ‘la solution’ de la Côte d’Ivoire n’a personne autour de lui pour diriger le pays qui lui a été offert sur un plateau empoisonné par son ami Sarkozy le névrosé de l’Elysée venu au pouvoir en France pour mettre l’Afrique ‘au pas’. Le sujet du jour est l’enseignement, alors parlons un peu de ce ministère et précisément de la personne qui est chargée de ce département très névralgique de tout état qui veut réellement avancer, se développer et devenir compétitif sur le plan mondial.
Le choix du ministre à ce poste, nous croyons, doit respecter un minimum d’acquis. Cela, pour trois raisons principales qui sont les suivantes :
1-pour le respect du ministre lui-même devant les enseignants et le personnel qui travaille avec lui.
2- pour la crédibilité de toute l’éducation du pays, pour le respect des diplômes délivrés.
3-une expérience acquise à l’école de la vie, etc.
Pour les amis de la médiocrité, on n’a pas besoin d’un doctorat pour être désigné comme le ministre de l’enseignement. Nous disons que cela est vrai et c’est pour cela que nous donnons le minimum demandé et constaté dans les pays occidentaux qui ont placé Dramane, de force, au devant de la Côte d’Ivoire au prix du sang des enfants de cette nation.
Madame Kandia Camara, la ministre de l’Education Nationale du gouvernement putschiste sarko-dramanien, fait la honte de la Côte d’Ivoire tout en célébrant l’état de sous-homme que l’Occident attribue au noir et surtout à toute l’Afrique. En deux sorties, madame Camara a démontré deux faits. Le premier est que Dramane est vraiment décidé et venu détruire la Côte d’Ivoire. Le second fait est que madame Camara appartient à ‘l’Académie des sauriens et des invertébrés’. Pour confirmer ce qui précède, madame la ministre vient d’ajouter deux nouveaux mots dans le dictionnaire du langage de rue et cela, en direct sur les médias.
Elle offre à son réel monde (la rue donc), les mots ‘capturation’* et ‘recrutassion’* ou ‘recrutation’*. Cela ne doit pas étonner toute personne qui connaît cette ancienne handballeuse des temps anciens. Elle devint ensuite une médiocre maître d’éducation physique grâce à son ‘cacao’ (comme le chantait Jeanne Agnimel).
Imaginez cette ministre en train de tenir un discours dans un amphithéâtre devant des étudiants et leurs enseignants. Ou encore, imaginez-la à une rencontre internationale des patrons de l’éducation dans le monde. Nous ne voulons pas faire peur aux lecteurs, mais en déduisez vous-mêmes les réactions.
Nous disons aux Ivoiriens de s’apprêter davantage, de faire en sorte que leur cœur ne les lâche point. Car, l’avenir avec cette ministre ne fera pas le bonheur de la Côte d’Ivoire.
Nous profitons de cette occasion pour lancer un appel à toute personne capable de mettre à notre disposition le ‘doctorat’ de Dramane que nous cherchons en vain depuis des années. Sinon, pour l’instant, nous sommes dans une situation de ‘tel Dramane, tel Kandia’ ou de ‘lorsque la tête est pourrie, tout le corps l’est aussi’. Il faut préciser qu’une thèse est un document très important dans la vie de celui qui l’a soutenue et pour tous ceux et toutes celles qui voudrons faire des recherches dans le même domaine. Pour cela, l’université mère où la thèse a eu lieu, la met à la disposition d’autres universités et institutions internationales. Dans le cas de Dramane, en tant qu’Ivoirien, sa thèse devait être dans les universités ivoiriennes (question de fierté et de principe). Mais, depuis, elle est introuvable en cet âge de la communication. Or, des thèses datant des temps où l’ordinateur n’existait pas encore sont disponibles. Aidez-nous à chercher.
Enfin, madame la ministre, vous avez les moyens ; des cours du soir dans le privé et de façon accélérée vous arrangeront et cela pour votre propre image. Ne serait-il pas mieux que vous vous taisiez pour un bon moment ?

NB :
1-on ne dit pas ‘capturation’, le mot correct est capture et il est du genre féminin.
2-de même, on ne dit pas ‘recrutation’ ou ‘recrutassion’, on dit recrutement. Il est lui du genre masculin.

SYLVAIN DE BOGOU

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire