"Ces dirigeants ont été élus lors d’élections libres et justes. Ils ont fait preuve d’une persistance extraordinaire (...) malgré des risques importants pour leur propre sécurité, et malgré d’immenses difficultés, le plus récemment en Côte d`Ivoire" (...) Grâce à leur détermination et à celle des gens qui veulent vivre dans des sociétés libres et démocratiques, ils sont arrivés au pouvoir en étant soutenus par la volonté légitime de leurs peuples, et en tant que tels, ils peuvent servir de modèle au continent tout entier". C’est là un pan important de la déclaration faite par Barack Obama, le 29 juillet dernier, au moment où il recevait Les Chefs d’Etat ivoirien (Alassane Ouattara), béninois (Yayi Boni) guinéen (Alpha Condé) et nigérien (Mahamadou Issoufou).
A y voir de près, l’ami Obama ne maîtrise pas très bien la chose démocratique dans les pays dont il recevait les Chefs d’Etat. Hormis le Niger, la question électorale en Côte d’Ivoire, en Guinée et au Bénin mérite que les USA s’y arrêtent. Continue t-il d’être aussi mal informé par ses réseaux malgré la réalité sur les différents terrains ? Tout porte à le croire, tant la contrevérité est flagrante au regard des faits récents. Au Bénin, on sait un peu dans quelle condition Yayi Boni a rempilé, dans quelle condition sa victoire a été proclamée par un Conseil Constitutionnel dont la méthode a été décriée et enfin, on en sait surtout beaucoup sur la pression militaire exercée par le Nigeria pour que tout le Bénin gobe la réélection de yayi Boni. En Côte d’Ivoire ? N’en parlons pas, passons. En Guinée, tous nous savons que Condé ne pouvait battre, même d’un poil, Celloun Diallo. Partout, nous avons été témoins des méthodes. Ou bien Obama a fait appel aux vainqueurs installés en partie par ses ‘services’ propres et alliés pour les féliciter ou bien il se trompe d’histoire. Simplement. Dans un cas comme dans l’autre, son appréciation est décevante. Et elle n’honore pas le Chef du pays de la grande démocratie qu’il est.
A y voir de près, l’ami Obama ne maîtrise pas très bien la chose démocratique dans les pays dont il recevait les Chefs d’Etat. Hormis le Niger, la question électorale en Côte d’Ivoire, en Guinée et au Bénin mérite que les USA s’y arrêtent. Continue t-il d’être aussi mal informé par ses réseaux malgré la réalité sur les différents terrains ? Tout porte à le croire, tant la contrevérité est flagrante au regard des faits récents. Au Bénin, on sait un peu dans quelle condition Yayi Boni a rempilé, dans quelle condition sa victoire a été proclamée par un Conseil Constitutionnel dont la méthode a été décriée et enfin, on en sait surtout beaucoup sur la pression militaire exercée par le Nigeria pour que tout le Bénin gobe la réélection de yayi Boni. En Côte d’Ivoire ? N’en parlons pas, passons. En Guinée, tous nous savons que Condé ne pouvait battre, même d’un poil, Celloun Diallo. Partout, nous avons été témoins des méthodes. Ou bien Obama a fait appel aux vainqueurs installés en partie par ses ‘services’ propres et alliés pour les féliciter ou bien il se trompe d’histoire. Simplement. Dans un cas comme dans l’autre, son appréciation est décevante. Et elle n’honore pas le Chef du pays de la grande démocratie qu’il est.
Source : ael225.net
Obama s'enfonce ! C'est le fait d'un président qui n'est que le gérant d'une administration qu'il ne peut contrôler.
RépondreSupprimerObama s'enfonce !C'est le fait du partage du monde en zone d'influence.
Obama ferré par ces raisons et le mauvais génie Sarkozy, s'enfonce, s'enfonce!