par Carlos Jose Nagbe, dimanche 3 avril 2011, 18:30
Même les Nations Unies qui ont créées pour garantir la paix et la sécurité de tous les États du monde ne semblent préoccupées un seul instant par ce qui se passe actuellement en Côte d'Ivoire. Les rebelles ont violé dûment et de manière flagrante le cessez-le-feu en vigueur depuis 2002 et aucune résolution n'est prise pour le retablir. Aucune sanction non plus. D'ailleurs qu'espérer de plus de cette oragnisation devenue la marionnette des grands empires impérialistes? Elle ne fait qu'appliquer les consignes qu'elle reçoit de ses maîtres du monde, États-Unis, France, etc. Et justement dans ce conflit ivoirien, ces deux États sont impliqués jusqu'au coup. Leur support sans faille à M. Ouattara leur a fait perdre la raison. Voilà pourquoi, en plein coeur d'un conflit d'abord banal, où une médiation simple aurait règlé la question, ils ont préféré envenimer la situation en supportant aveuglement un camp. Et cette politique de l'un et non l'autre conduit aujourd'hui au désastre et au massacre des populations civiles. Ils n'ont même pas l'intention de retenir les chiens de guerre de leur poulain en appelant à un cessez-le-feu immédiat tel qu'il devrait se faire et tel que leur conscience devrait les inspirer. Ils pensent que leur poulain aura le dessus pour s'installer au pouvoir. Au grand dam des pauvres civiles qui tombent sous des balles assassines. C'est inhumain, c'est scélérat. Et c'est ce qu'ils savent faire de mieux. Ils se fichent du continent noir qu'ils embrasent au prix de leurs seuls intérêts, ils n'en sont pas à leur premier forfait, ils n'en seront pas à leur dernier, et l'histoire l'a toujours prouvé: Rwanda, Angola, Soudan, Ex-Zaire, Libéria, Sierra Leone, récemment la Libye et aujourd'hui, c'est à la Côte d'Ivoire de passer sous l'éteignoir et de goûtter aux délices de la violence des puissances impérialistes.
La Côte d'Ivoire souffre et avec elle sa population. Le monde a décidé de fermer les yeux sur sa souffrance. Une fois de plus, on voit les crimes dont l'humanité est victime et on regarde ailleurs, les yeux hermétiquement fermés, le coeur endurci de méchanceté. Tout simplement parceque ces crimes se passent en Afrique. Oui, il faut le dire, ces crimes auraient été commis à Sarajevo, en Bosnie, en Georgie, Albanie ou Arménie, la communauté internationale se serait mobilisée, elle donnerait de la voix, les actes de violence condamnés et un cessez-le-feu immédiat serait en vigueur, mais comme on est en Afrique, tant pis pour les nègres. Ce racisme d'une autre nature doit cesser. Car tous les êtres humains aspirent aux mêmes principes de bonheur, de liberté et de paix. À moins qu'on refuse ces principes au peuple d'Afrique qu'on maintient dans une frénésie sans cesse de sous-developpement et de guerres civiles fraticides, tribales, inter-ethniques et religieuses. Pitié pauvre Afrique!
s'il existe des âmes sensibles aux malheurs de l'humanité et qui veulent contredire tout ce qui est écrit dans cet article, agissez, s'ils vous plaît, agissez, appelez à un cessez-le-feu sans délai, retenez ces chiens de guerre, ils commettent trop d'atrocités. Il faut que la communauté internationale joue son rôle de régulateur des droits fondammentaux humains, le droit à la vie et à la paix. N'abandonnez pas les ivoiriens, il faut agir maintenant, après il sera trop tard.
En ce moment précis, en Côte d'Ivoire, la guerre fait rage, les victimes se comptent par milliers. les chiens de guerres et leurs maîtres, seigneurs de guerres se sont lâchés de manière lâche et inhumaine sur de pauvres populations sans défense. On pille, viole, brûle, égorge, terrorise, s'y adonne à coeur joie. Et pendant que les victimes crient au secours, le monde regarde ailleurs. Des crimes crapuleux sont en train d'être commis, la terreur s'empare des pauvres populations sans défense et pendant ce temps, la communauté internationale s'en fout. C'est à croire qu'elle se dit:« que les nègres se tuent entre eux, ce n'est pas notre problème.» Et oui, comme dans les années 1980 au Soudan, au Darfour depuis 2003 en 1994 au Rwanda, où la communauté internationale a laissé faire en plein coeur du génocide rwandais et depuis 1998 dans l'ex-Zaire, où cette communauté internationale détourne les yeux et fait la sourde oreille, dans la guerre civile qui est en train d'endeuiller la Côte d'Ivoire profonde, sa reponse n'est pas différente: indifférence totale. Elle a décidé de s'abonner aux absents pour après, de manière hypocrite, se réveiller pour constater les dégâts. Rien que de la mauvaise foi.
Pour seule reponse aux malheurs des ivoiriens victimes d'attaques meurtrières des rebelles, la communauté internationale ne parle que du départ du pouvoir de M. Laurent Gbagbo, plutôt que d'imposer un cessez-le-feu aux belligérants. Les rapports sur les charniers decouverts dans l'Ouest du pays, région favorable à M.Gbagbo et des crimes, executions sommaires sont rangés au oubliettes; on veut seulement que M. Gbagbo parte du pouvoir. Quelle méchanceté! Coment peut-on avoir un coeur si endurci et ne pas avoir de la compassion pour des pauvres populations civiles victimes des crimes horribles? Comment peut-on abandonner les ivoiriens à eux mêmes de cette manière si cruelle? Doit-on préférer la politique à l'action humanitaire? Pauvre population africaine toujours laissée pour compte dans ce monde où seuls les intérêts guident les États.
Pour seule reponse aux malheurs des ivoiriens victimes d'attaques meurtrières des rebelles, la communauté internationale ne parle que du départ du pouvoir de M. Laurent Gbagbo, plutôt que d'imposer un cessez-le-feu aux belligérants. Les rapports sur les charniers decouverts dans l'Ouest du pays, région favorable à M.Gbagbo et des crimes, executions sommaires sont rangés au oubliettes; on veut seulement que M. Gbagbo parte du pouvoir. Quelle méchanceté! Coment peut-on avoir un coeur si endurci et ne pas avoir de la compassion pour des pauvres populations civiles victimes des crimes horribles? Comment peut-on abandonner les ivoiriens à eux mêmes de cette manière si cruelle? Doit-on préférer la politique à l'action humanitaire? Pauvre population africaine toujours laissée pour compte dans ce monde où seuls les intérêts guident les États.
Même les Nations Unies qui ont créées pour garantir la paix et la sécurité de tous les États du monde ne semblent préoccupées un seul instant par ce qui se passe actuellement en Côte d'Ivoire. Les rebelles ont violé dûment et de manière flagrante le cessez-le-feu en vigueur depuis 2002 et aucune résolution n'est prise pour le retablir. Aucune sanction non plus. D'ailleurs qu'espérer de plus de cette oragnisation devenue la marionnette des grands empires impérialistes? Elle ne fait qu'appliquer les consignes qu'elle reçoit de ses maîtres du monde, États-Unis, France, etc. Et justement dans ce conflit ivoirien, ces deux États sont impliqués jusqu'au coup. Leur support sans faille à M. Ouattara leur a fait perdre la raison. Voilà pourquoi, en plein coeur d'un conflit d'abord banal, où une médiation simple aurait règlé la question, ils ont préféré envenimer la situation en supportant aveuglement un camp. Et cette politique de l'un et non l'autre conduit aujourd'hui au désastre et au massacre des populations civiles. Ils n'ont même pas l'intention de retenir les chiens de guerre de leur poulain en appelant à un cessez-le-feu immédiat tel qu'il devrait se faire et tel que leur conscience devrait les inspirer. Ils pensent que leur poulain aura le dessus pour s'installer au pouvoir. Au grand dam des pauvres civiles qui tombent sous des balles assassines. C'est inhumain, c'est scélérat. Et c'est ce qu'ils savent faire de mieux. Ils se fichent du continent noir qu'ils embrasent au prix de leurs seuls intérêts, ils n'en sont pas à leur premier forfait, ils n'en seront pas à leur dernier, et l'histoire l'a toujours prouvé: Rwanda, Angola, Soudan, Ex-Zaire, Libéria, Sierra Leone, récemment la Libye et aujourd'hui, c'est à la Côte d'Ivoire de passer sous l'éteignoir et de goûtter aux délices de la violence des puissances impérialistes.
La Côte d'Ivoire souffre et avec elle sa population. Le monde a décidé de fermer les yeux sur sa souffrance. Une fois de plus, on voit les crimes dont l'humanité est victime et on regarde ailleurs, les yeux hermétiquement fermés, le coeur endurci de méchanceté. Tout simplement parceque ces crimes se passent en Afrique. Oui, il faut le dire, ces crimes auraient été commis à Sarajevo, en Bosnie, en Georgie, Albanie ou Arménie, la communauté internationale se serait mobilisée, elle donnerait de la voix, les actes de violence condamnés et un cessez-le-feu immédiat serait en vigueur, mais comme on est en Afrique, tant pis pour les nègres. Ce racisme d'une autre nature doit cesser. Car tous les êtres humains aspirent aux mêmes principes de bonheur, de liberté et de paix. À moins qu'on refuse ces principes au peuple d'Afrique qu'on maintient dans une frénésie sans cesse de sous-developpement et de guerres civiles fraticides, tribales, inter-ethniques et religieuses. Pitié pauvre Afrique!
s'il existe des âmes sensibles aux malheurs de l'humanité et qui veulent contredire tout ce qui est écrit dans cet article, agissez, s'ils vous plaît, agissez, appelez à un cessez-le-feu sans délai, retenez ces chiens de guerre, ils commettent trop d'atrocités. Il faut que la communauté internationale joue son rôle de régulateur des droits fondammentaux humains, le droit à la vie et à la paix. N'abandonnez pas les ivoiriens, il faut agir maintenant, après il sera trop tard.
Merci pour votre analyse très pertinente. Dommage pour cette prétendue communauté internationale, insensible au massacre de pauvres civiles.
RépondreSupprimer