Alors que, jour après jour, la terre ne cesse de trembler au Japon, le 7 mai, le feu a manifestement pris à Fukushima, dans une indifférence provisoirement générale.
Dans 2 jours, 2 mois se seront écoulés depuis la catastrophe, et il faut toute la persévérance des internautes pour grappiller ici ou là des informations sur ce qui se passe sur le site nucléaire dévasté au Japon et dans le monde.
La pollution radioactive est, rappelons le, inodore et invisible, et force est de constater qu’elle est en constante augmentation dans le Monde. lien
En effet on constate des pics au Bangladesh, au Botswana, sur la cote Est des Etats Unis, dans le Golfe du Mexique, et que des tremblements de terre viennent d’avoir lieu enCalifornie, en Grèce, en Nouvelle Zélande en Alaska, et bien sur au Japon.
Aux dernières nouvelles, à part l’épisode très médiatisé relatant une incursion rapide dans les locaux mêmes de la centrale, menée par 12 employés de Tepco, (lien) on ne pouvait que constater l’accroissement de la radioactivité dans un environnement de plus en plus large.
Les autorités ont décidé de modifier la norme de dangerosité passant de 100 mSv à 250 mSv, oubliant un peu trop vite que la norme n’empêche pas le danger.
Pire, pour les enfants japonais, le seuil de radiation admissible a été multiplié par 20. lien
Il y a quelques jours, il était question d’un délai de 3 à 6 mois pour refroidir totalement les réacteurs, mais le 5 mai, le délai était repoussé à 9 mois.
Récemment, on pouvait constater le peu de pouvoir qu’a le gouvernement japonais, face au pouvoir nucléaire, car Naoto Kan, le premier ministre japonais ayant décidé la fermeture du site de Hamaoka, s’est vu opposer une fin de non recevoir de la part des autorités nucléaires. lien
En effet, ces derniers ont déclaré qu’il n’était pas question de fermer cette centrale, et souhaitait que le premier ministre réfléchisse un peu plus profondément avant de prendre une telle décision. lien
Les instances nucléaires ont donc considéré que la décision du premier ministre japonais n’était qu’une recommandation, et rien de plus. lien
En fin de compte, seulement 2 réacteurs seraient arrêtés dans cette centrale.
Et puis Fukushima semble vouloir faire des petits : le 6 mai 2011, un dysfonctionnement a été repéré dans le système de refroidissement de la plus grande centrale nucléaire japonaise, celle de Kashiwazaki-Kariwa. lien
Le 7 mai 2011, le réacteur 2 de la centrale de Tsuruga a été fermé suite à de très fortes suites de xénon 133, d’iode 131 et 133 dans le système de refroidissement. lien
Les manifestations se suivent et se ressemblent et les plus surprenantes sont celles qui se déroulent au Japon, pays dont on disait que le peuple était soumis, et obéissant à ses dirigeants. lien
La démission du professeur Toshiso Kosako, conseiller scientifique du premier ministre japonais, lequel en larmes, déclarant que « le gouvernement n’avait pas été rigoureux dans l’application des lois et des règlementations », ajoute la confusion à la fusion des cœurs des réacteurs. lien
Même la Turquie s’y met, et se prend à rêver d’un monde sans nucléaire. lien
Pour la CRIIRAD, depuis le 11 avril dernier, les risques de radiation (contamination à l’iode 131) en France, provenant de Fukushima ne sont plus négligeables. lien
Coté des autres centrales nucléaires de la planète, ça ne s’arrange pas en Bulgarie, ou des fissures viennent d’apparaitre dans les gaines de protection d’un réacteur nucléaire àKozlodoui, et les exploitants affirment qu’aucun relâchement intempestif de radioactivité n’aurait eut lieu. lien
Plus au Nord, en Russie, le réacteur nucléaire d’un sous-marin s’est mis à fuir et les autorités se veulent rassurantes, assurant qu’il n’y a eu qu’une « faible augmentation de la radioactivité de l’air ». lien
En France, le petit président, droit dans ses bottes continue de défendre aveuglement un nucléaire malgré l’opposition de plus en plus forte des citoyens, et malgré l’avertissement de taille que vient de donner le directeur général de l’IRSN, Jacques Repussard : « il faut accepter de se préparer à des situations complètement inimaginables parce que ce qui nous menace le plus, ce n’est pas un accident « standard (…) il peut être lié à des effets dominos avec d’autres installations voisines, des aléas naturels ou des actes de malveillance (…) personne ne peut garantir qu’il n’y aura jamais d’accident nucléaires en France ». lien.
C’est aussi ce qu’écrit un haut responsable d’EDF qui, dans un livre, « vers un Tchernobyl Français ? », (éditions du Nouveau monde) affirme qu’une catastrophe peut éclater à tout moment dans les centrales nucléaires françaises soit à cause d’inondations, d’incendies, de séisme ou d’attentats, ajoutant que l’état des lieux du parc nucléaire est alarmant, et que la vigilance sur le parc nucléaire baisse de jour en jour. lien
Bernard Laponche, docteur es-sciences en physique des réacteurs nucléaires, et expert en politiques de l’énergie, a enfoncé le clou en affirmant que « le nucléaire est une technologie du passé sans avenir ». lien
Hervé Kempf ne dit pas autre chose expliquant que « Fukushima n’est que l’aboutissement d’une série annonciatrice ». lien
Sur ce lien, la longue liste des 30 ans d’accidents et de mensonges survenus à la centrale de Fukushima.
Aujourd’hui, il est convenu d’accepter que Fukushima à d’ores et déjà détrôné Tchernobyl, qui avait pourtant contaminé 40% de l’Europe.
En effet, c’est ce qu’affirme Helen Caldicott, experte médicale Australienne en nucléaire.
Elle confirme qu’il y a bien eu 1 million de morts à Tchernobyl, et ajoute que jamais auparavant, 6 réacteurs nucléaires n’ont été gravement endommagés au même moment.lien
Ceux qui affirment à tort que le nucléaire est indispensable ne devraient pas oublier que les veilles de nos appareils domestiques consomment l’équivalent de deux tranches nucléaires, ainsi que l’affirme Olivier Sidler, directeur du cabinet Enertech, lequel est spécialisé dans les questions énergétiques, (lien) et qu’un programme national de réhabilitation des habitations et des entreprises en matière d’isolation ferait économiser le1/5ème de notre consommation.
Récemment le 2 mai, nous avions appris que le cœur des trois réacteurs de Fukushimaavait totalement fondu. lien
C’est ce qu’a affirmé Michio Ishikawa, de l’institut japonais de technologie nucléaire sur cette vidéo.
Et le 7 mai, de la fumée s’est mis à sortir de Fukushima, laissant présager que l’un des réacteurs est en feu.
Une vidéo de 3 minutes est sur ce lien.
Le 8 mai, une série de photos ne laisse aucun doute sur ce qui est en train de se passer.lien
Comme le dit Arnie Gundersen, ingénieur en chef en matière de nucléaire, la quantité de radioactivité relâchée par Fukushima est en train de battre des records dans l’histoire du nucléaire. lien
Quant à Alain de Halleux, lequel a réalisé le documentaire « comprendre le Monde, Tchernobyl 25 ans après », il brosse un tableau apocalyptique de la situation, expliquant en 10 points les raisons de son constat lucide.
Du manque de prises électriques pour assurer la maintenance des centrales, aux 300 milliards minimum que vont couter les démantèlements des 19 centrales françaises, en passant par le danger issu de la prolongation de la vie de ces centrales, le constat est cruel. lien
Pourtant les médias gardent à leur une la Porsche de DSK, (lien) et le cadavre repêché du vol de l’AF447. lien
Que faudra-t-il encore pour que les instances internationales, au nom de la sécurité mondiale, viennent enfin investir ce site et décident d’éradiquer de la surface de la Planète l’énergie nucléaire, avant que ce ne soit elle qui ne nous éradique ?
Dans 2 jours, 2 mois se seront écoulés depuis la catastrophe, et il faut toute la persévérance des internautes pour grappiller ici ou là des informations sur ce qui se passe sur le site nucléaire dévasté au Japon et dans le monde.
La pollution radioactive est, rappelons le, inodore et invisible, et force est de constater qu’elle est en constante augmentation dans le Monde. lien
En effet on constate des pics au Bangladesh, au Botswana, sur la cote Est des Etats Unis, dans le Golfe du Mexique, et que des tremblements de terre viennent d’avoir lieu enCalifornie, en Grèce, en Nouvelle Zélande en Alaska, et bien sur au Japon.
Aux dernières nouvelles, à part l’épisode très médiatisé relatant une incursion rapide dans les locaux mêmes de la centrale, menée par 12 employés de Tepco, (lien) on ne pouvait que constater l’accroissement de la radioactivité dans un environnement de plus en plus large.
Les autorités ont décidé de modifier la norme de dangerosité passant de 100 mSv à 250 mSv, oubliant un peu trop vite que la norme n’empêche pas le danger.
Pire, pour les enfants japonais, le seuil de radiation admissible a été multiplié par 20. lien
Il y a quelques jours, il était question d’un délai de 3 à 6 mois pour refroidir totalement les réacteurs, mais le 5 mai, le délai était repoussé à 9 mois.
Récemment, on pouvait constater le peu de pouvoir qu’a le gouvernement japonais, face au pouvoir nucléaire, car Naoto Kan, le premier ministre japonais ayant décidé la fermeture du site de Hamaoka, s’est vu opposer une fin de non recevoir de la part des autorités nucléaires. lien
En effet, ces derniers ont déclaré qu’il n’était pas question de fermer cette centrale, et souhaitait que le premier ministre réfléchisse un peu plus profondément avant de prendre une telle décision. lien
Les instances nucléaires ont donc considéré que la décision du premier ministre japonais n’était qu’une recommandation, et rien de plus. lien
En fin de compte, seulement 2 réacteurs seraient arrêtés dans cette centrale.
Et puis Fukushima semble vouloir faire des petits : le 6 mai 2011, un dysfonctionnement a été repéré dans le système de refroidissement de la plus grande centrale nucléaire japonaise, celle de Kashiwazaki-Kariwa. lien
Le 7 mai 2011, le réacteur 2 de la centrale de Tsuruga a été fermé suite à de très fortes suites de xénon 133, d’iode 131 et 133 dans le système de refroidissement. lien
Les manifestations se suivent et se ressemblent et les plus surprenantes sont celles qui se déroulent au Japon, pays dont on disait que le peuple était soumis, et obéissant à ses dirigeants. lien
La démission du professeur Toshiso Kosako, conseiller scientifique du premier ministre japonais, lequel en larmes, déclarant que « le gouvernement n’avait pas été rigoureux dans l’application des lois et des règlementations », ajoute la confusion à la fusion des cœurs des réacteurs. lien
Même la Turquie s’y met, et se prend à rêver d’un monde sans nucléaire. lien
Pour la CRIIRAD, depuis le 11 avril dernier, les risques de radiation (contamination à l’iode 131) en France, provenant de Fukushima ne sont plus négligeables. lien
Coté des autres centrales nucléaires de la planète, ça ne s’arrange pas en Bulgarie, ou des fissures viennent d’apparaitre dans les gaines de protection d’un réacteur nucléaire àKozlodoui, et les exploitants affirment qu’aucun relâchement intempestif de radioactivité n’aurait eut lieu. lien
Plus au Nord, en Russie, le réacteur nucléaire d’un sous-marin s’est mis à fuir et les autorités se veulent rassurantes, assurant qu’il n’y a eu qu’une « faible augmentation de la radioactivité de l’air ». lien
En France, le petit président, droit dans ses bottes continue de défendre aveuglement un nucléaire malgré l’opposition de plus en plus forte des citoyens, et malgré l’avertissement de taille que vient de donner le directeur général de l’IRSN, Jacques Repussard : « il faut accepter de se préparer à des situations complètement inimaginables parce que ce qui nous menace le plus, ce n’est pas un accident « standard (…) il peut être lié à des effets dominos avec d’autres installations voisines, des aléas naturels ou des actes de malveillance (…) personne ne peut garantir qu’il n’y aura jamais d’accident nucléaires en France ». lien.
C’est aussi ce qu’écrit un haut responsable d’EDF qui, dans un livre, « vers un Tchernobyl Français ? », (éditions du Nouveau monde) affirme qu’une catastrophe peut éclater à tout moment dans les centrales nucléaires françaises soit à cause d’inondations, d’incendies, de séisme ou d’attentats, ajoutant que l’état des lieux du parc nucléaire est alarmant, et que la vigilance sur le parc nucléaire baisse de jour en jour. lien
Bernard Laponche, docteur es-sciences en physique des réacteurs nucléaires, et expert en politiques de l’énergie, a enfoncé le clou en affirmant que « le nucléaire est une technologie du passé sans avenir ». lien
Hervé Kempf ne dit pas autre chose expliquant que « Fukushima n’est que l’aboutissement d’une série annonciatrice ». lien
Sur ce lien, la longue liste des 30 ans d’accidents et de mensonges survenus à la centrale de Fukushima.
Aujourd’hui, il est convenu d’accepter que Fukushima à d’ores et déjà détrôné Tchernobyl, qui avait pourtant contaminé 40% de l’Europe.
En effet, c’est ce qu’affirme Helen Caldicott, experte médicale Australienne en nucléaire.
Elle confirme qu’il y a bien eu 1 million de morts à Tchernobyl, et ajoute que jamais auparavant, 6 réacteurs nucléaires n’ont été gravement endommagés au même moment.lien
Ceux qui affirment à tort que le nucléaire est indispensable ne devraient pas oublier que les veilles de nos appareils domestiques consomment l’équivalent de deux tranches nucléaires, ainsi que l’affirme Olivier Sidler, directeur du cabinet Enertech, lequel est spécialisé dans les questions énergétiques, (lien) et qu’un programme national de réhabilitation des habitations et des entreprises en matière d’isolation ferait économiser le1/5ème de notre consommation.
Récemment le 2 mai, nous avions appris que le cœur des trois réacteurs de Fukushimaavait totalement fondu. lien
C’est ce qu’a affirmé Michio Ishikawa, de l’institut japonais de technologie nucléaire sur cette vidéo.
Et le 7 mai, de la fumée s’est mis à sortir de Fukushima, laissant présager que l’un des réacteurs est en feu.
Une vidéo de 3 minutes est sur ce lien.
Le 8 mai, une série de photos ne laisse aucun doute sur ce qui est en train de se passer.lien
Comme le dit Arnie Gundersen, ingénieur en chef en matière de nucléaire, la quantité de radioactivité relâchée par Fukushima est en train de battre des records dans l’histoire du nucléaire. lien
Quant à Alain de Halleux, lequel a réalisé le documentaire « comprendre le Monde, Tchernobyl 25 ans après », il brosse un tableau apocalyptique de la situation, expliquant en 10 points les raisons de son constat lucide.
Du manque de prises électriques pour assurer la maintenance des centrales, aux 300 milliards minimum que vont couter les démantèlements des 19 centrales françaises, en passant par le danger issu de la prolongation de la vie de ces centrales, le constat est cruel. lien
Pourtant les médias gardent à leur une la Porsche de DSK, (lien) et le cadavre repêché du vol de l’AF447. lien
Que faudra-t-il encore pour que les instances internationales, au nom de la sécurité mondiale, viennent enfin investir ce site et décident d’éradiquer de la surface de la Planète l’énergie nucléaire, avant que ce ne soit elle qui ne nous éradique ?
Car comme dit mon vieil ami africain :
« Quand il y a de la fumée, c’est que le feu n’est pas loin ».
Source:
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/
La centrale nucléaire japonaise de Hamaoka va être arrêtée à cause d'un risque très élevé d'un méga-tremblement de terre et d'un tsunami
TOKYO (Reuters) - La compagnie japonaise Chubu a annoncé lundi la fermeture temporaire de la centrale nucléaire de Hamaoka, située en bord de mer comme celle de Fukushima-Daiichi, conformément à la demande du gouvernement.
Les réacteurs n°4 et 5 de la centrale vont être stoppés aussi vite que possible et le réacteur n°3 restera à l'arrêt, a précisé la compagnie.
Le ministre nippon du Commerce, Banri Kaieda, a indiqué que la décision de fermer Hamaoka se fondait sur un risque imminent de puissant tsunami.
La centrale d'Hamaoka, dans la préfecture de Shizuoka, est située à 200 km au sud-ouest de Tokyo, au bord du Pacifique, dans une zone où les experts estiment à 87% le risque qu'un tremblement de terre de magnitude 8.0 ou plus survienne dans les trente prochaines années.
Le ministre du Commerce a confirmé que la centrale d'Hamaoka pourrait être remise en marche quand un mur anti-tsunami aurait été achevé et que d'autres mesures de sécurité auraient été prises et approuvées par les autorités, a indiqué Chubu.
La compagnie dit espérer que le mur anti-tsunami et les autres mesures de sécurité soient mis en place dans les deux à trois ans à venir.
Le Premier ministre, Naoto Kan, avait appelé à l'arrêt de la centrale de Hamaoka le temps que les mesures de protection du site soient renforcées.
FUITE ENDIGUÉE À TSURUGA
Chubu dit avoir demandé un soutien de l'Etat afin d'éviter qu'un fardeau financier trop lourd ne pèse en conséquence de cet arrêt sur les clients et les actionnaires de la compagnie.
Le ministre du Commerce a assuré de son côté que l'Etat étudierait les moyens d'éviter de faire porter sur Chubu le coût de l'arrêt de la centrale d'Hamaoka.
"En arrêtant la centrale nucléaire d'Hamaoka, nous causons à court terme un important préjudice non seulement à ceux qui se trouvent dans le secteur de la centrale mais aussi à beaucoup d'autres, y compris à nos clients et nos actionnaires", a déclaré le président de Chubu, Akihisa Mizuno, lors d'une conférence de presse.
"Mais le fait d'appliquer strictement les mesures décidées pour renforcer la sécurité est la clé de la pérennité d'un secteur nucléaire sûr et stable à long terme, ce dont bénéficieront au bout du compte nos clients", a-t-il ajouté.
Depuis le séisme de magnitude 9 et le tsunami survenus le 11 mars, le Japon est confronté à un grave accident nucléaire à la centrale de Fukushima, le pire depuis la catastrophe de Tchernobyl en 1986.
Une petite fuite de gaz contenant des traces radioactives a par ailleurs été observée sur la centrale nucléaire de Tsuruga, dans l'ouest du Japon, sans conséquence pour l'environnement, selon l'opérateur. Japan Atomic Power précise que la fuite a été endiguée. Tsuruga, sur la côte Ouest du Japon, n'a pas été touché par le séisme et le tsunami du 11 mars.
Source: Article de
« Quand il y a de la fumée, c’est que le feu n’est pas loin ».
Source:
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/
La centrale nucléaire japonaise de Hamaoka va être arrêtée à cause d'un risque très élevé d'un méga-tremblement de terre et d'un tsunami
TOKYO (Reuters) - La compagnie japonaise Chubu a annoncé lundi la fermeture temporaire de la centrale nucléaire de Hamaoka, située en bord de mer comme celle de Fukushima-Daiichi, conformément à la demande du gouvernement.
Les réacteurs n°4 et 5 de la centrale vont être stoppés aussi vite que possible et le réacteur n°3 restera à l'arrêt, a précisé la compagnie.
Le ministre nippon du Commerce, Banri Kaieda, a indiqué que la décision de fermer Hamaoka se fondait sur un risque imminent de puissant tsunami.
La centrale d'Hamaoka, dans la préfecture de Shizuoka, est située à 200 km au sud-ouest de Tokyo, au bord du Pacifique, dans une zone où les experts estiment à 87% le risque qu'un tremblement de terre de magnitude 8.0 ou plus survienne dans les trente prochaines années.
Le ministre du Commerce a confirmé que la centrale d'Hamaoka pourrait être remise en marche quand un mur anti-tsunami aurait été achevé et que d'autres mesures de sécurité auraient été prises et approuvées par les autorités, a indiqué Chubu.
La compagnie dit espérer que le mur anti-tsunami et les autres mesures de sécurité soient mis en place dans les deux à trois ans à venir.
Le Premier ministre, Naoto Kan, avait appelé à l'arrêt de la centrale de Hamaoka le temps que les mesures de protection du site soient renforcées.
FUITE ENDIGUÉE À TSURUGA
Chubu dit avoir demandé un soutien de l'Etat afin d'éviter qu'un fardeau financier trop lourd ne pèse en conséquence de cet arrêt sur les clients et les actionnaires de la compagnie.
Le ministre du Commerce a assuré de son côté que l'Etat étudierait les moyens d'éviter de faire porter sur Chubu le coût de l'arrêt de la centrale d'Hamaoka.
"En arrêtant la centrale nucléaire d'Hamaoka, nous causons à court terme un important préjudice non seulement à ceux qui se trouvent dans le secteur de la centrale mais aussi à beaucoup d'autres, y compris à nos clients et nos actionnaires", a déclaré le président de Chubu, Akihisa Mizuno, lors d'une conférence de presse.
"Mais le fait d'appliquer strictement les mesures décidées pour renforcer la sécurité est la clé de la pérennité d'un secteur nucléaire sûr et stable à long terme, ce dont bénéficieront au bout du compte nos clients", a-t-il ajouté.
Depuis le séisme de magnitude 9 et le tsunami survenus le 11 mars, le Japon est confronté à un grave accident nucléaire à la centrale de Fukushima, le pire depuis la catastrophe de Tchernobyl en 1986.
Une petite fuite de gaz contenant des traces radioactives a par ailleurs été observée sur la centrale nucléaire de Tsuruga, dans l'ouest du Japon, sans conséquence pour l'environnement, selon l'opérateur. Japan Atomic Power précise que la fuite a été endiguée. Tsuruga, sur la côte Ouest du Japon, n'a pas été touché par le séisme et le tsunami du 11 mars.
Source: Article de
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20110509.REU9251/la-centrale-nucleaire-japonaise-de-hamaoka-va-etre-arretee.html
Ça fume à Fukushima !
Alors que, jour après jour, la terre ne cesse de trembler au Japon, le 7 mai, le feu a manifestement pris à Fukushima, dans une indifférence provisoirement générale.
Dans 2 jours, 2 mois se seront écoulés depuis la catastrophe, et il faut toute la persévérance des internautes pour grappiller ici ou là des informations sur ce qui se passe sur le site nucléaire dévasté au Japon et dans le monde.
La pollution radioactive est, rappelons le, inodore et invisible, et force est de constater qu’elle est en constante augmentation dans le Monde. lien
En effet on constate des pics au Bangladesh, au Botswana, sur la cote Est des Etats Unis, dans le Golfe du Mexique, et que des tremblements de terre viennent d’avoir lieu enCalifornie, en Grèce, en Nouvelle Zélande en Alaska, et bien sur au Japon.
Aux dernières nouvelles, à part l’épisode très médiatisé relatant une incursion rapide dans les locaux mêmes de la centrale, menée par 12 employés de Tepco, (lien) on ne pouvait que constater l’accroissement de la radioactivité dans un environnement de plus en plus large.
Les autorités ont décidé de modifier la norme de dangerosité passant de 100 mSv à 250 mSv, oubliant un peu trop vite que la norme n’empêche pas le danger.
Pire, pour les enfants japonais, le seuil de radiation admissible a été multiplié par 20. lien
Il y a quelques jours, il était question d’un délai de 3 à 6 mois pour refroidir totalement les réacteurs, mais le 5 mai, le délai était repoussé à 9 mois.
Récemment, on pouvait constater le peu de pouvoir qu’a le gouvernement japonais, face au pouvoir nucléaire, car Naoto Kan, le premier ministre japonais ayant décidé la fermeture du site de Hamaoka, s’est vu opposer une fin de non recevoir de la part des autorités nucléaires. lien
En effet, ces derniers ont déclaré qu’il n’était pas question de fermer cette centrale, et souhaitait que le premier ministre réfléchisse un peu plus profondément avant de prendre une telle décision. lien
Les instances nucléaires ont donc considéré que la décision du premier ministre japonais n’était qu’une recommandation, et rien de plus. lien
En fin de compte, seulement 2 réacteurs seraient arrêtés dans cette centrale.
Et puis Fukushima semble vouloir faire des petits : le 6 mai 2011, un dysfonctionnement a été repéré dans le système de refroidissement de la plus grande centrale nucléaire japonaise, celle de Kashiwazaki-Kariwa. lien
Le 7 mai 2011, le réacteur 2 de la centrale de Tsuruga a été fermé suite à de très fortes suites de xénon 133, d’iode 131 et 133 dans le système de refroidissement. lien
Les manifestations se suivent et se ressemblent et les plus surprenantes sont celles qui se déroulent au Japon, pays dont on disait que le peuple était soumis, et obéissant à ses dirigeants. lien
La démission du professeur Toshiso Kosako, conseiller scientifique du premier ministre japonais, lequel en larmes, déclarant que « le gouvernement n’avait pas été rigoureux dans l’application des lois et des règlementations », ajoute la confusion à la fusion des cœurs des réacteurs. lien
Même la Turquie s’y met, et se prend à rêver d’un monde sans nucléaire. lien
Pour la CRIIRAD, depuis le 11 avril dernier, les risques de radiation (contamination à l’iode 131) en France, provenant de Fukushima ne sont plus négligeables. lien
Coté des autres centrales nucléaires de la planète, ça ne s’arrange pas en Bulgarie, ou des fissures viennent d’apparaitre dans les gaines de protection d’un réacteur nucléaire àKozlodoui, et les exploitants affirment qu’aucun relâchement intempestif de radioactivité n’aurait eut lieu. lien
Plus au Nord, en Russie, le réacteur nucléaire d’un sous-marin s’est mis à fuir et les autorités se veulent rassurantes, assurant qu’il n’y a eu qu’une « faible augmentation de la radioactivité de l’air ». lien
En France, le petit président, droit dans ses bottes continue de défendre aveuglement un nucléaire malgré l’opposition de plus en plus forte des citoyens, et malgré l’avertissement de taille que vient de donner le directeur général de l’IRSN, Jacques Repussard : « il faut accepter de se préparer à des situations complètement inimaginables parce que ce qui nous menace le plus, ce n’est pas un accident « standard (…) il peut être lié à des effets dominos avec d’autres installations voisines, des aléas naturels ou des actes de malveillance (…) personne ne peut garantir qu’il n’y aura jamais d’accident nucléaires en France ». lien.
C’est aussi ce qu’écrit un haut responsable d’EDF qui, dans un livre, « vers un Tchernobyl Français ? », (éditions du Nouveau monde) affirme qu’une catastrophe peut éclater à tout moment dans les centrales nucléaires françaises soit à cause d’inondations, d’incendies, de séisme ou d’attentats, ajoutant que l’état des lieux du parc nucléaire est alarmant, et que la vigilance sur le parc nucléaire baisse de jour en jour. lien
Bernard Laponche, docteur es-sciences en physique des réacteurs nucléaires, et expert en politiques de l’énergie, a enfoncé le clou en affirmant que « le nucléaire est une technologie du passé sans avenir ». lien
Hervé Kempf ne dit pas autre chose expliquant que « Fukushima n’est que l’aboutissement d’une série annonciatrice ». lien
Sur ce lien, la longue liste des 30 ans d’accidents et de mensonges survenus à la centrale de Fukushima.
Aujourd’hui, il est convenu d’accepter que Fukushima à d’ores et déjà détrôné Tchernobyl, qui avait pourtant contaminé 40% de l’Europe.
En effet, c’est ce qu’affirme Helen Caldicott, experte médicale Australienne en nucléaire.
Elle confirme qu’il y a bien eu 1 million de morts à Tchernobyl, et ajoute que jamais auparavant, 6 réacteurs nucléaires n’ont été gravement endommagés au même moment.lien
Ceux qui affirment à tort que le nucléaire est indispensable ne devraient pas oublier que les veilles de nos appareils domestiques consomment l’équivalent de deux tranches nucléaires, ainsi que l’affirme Olivier Sidler, directeur du cabinet Enertech, lequel est spécialisé dans les questions énergétiques, (lien) et qu’un programme national de réhabilitation des habitations et des entreprises en matière d’isolation ferait économiser le1/5ème de notre consommation.
Récemment le 2 mai, nous avions appris que le cœur des trois réacteurs de Fukushimaavait totalement fondu. lien
C’est ce qu’a affirmé Michio Ishikawa, de l’institut japonais de technologie nucléaire sur cette vidéo.
Et le 7 mai, de la fumée s’est mis à sortir de Fukushima, laissant présager que l’un des réacteurs est en feu.
Une vidéo de 3 minutes est sur ce lien.
Le 8 mai, une série de photos ne laisse aucun doute sur ce qui est en train de se passer.lien
Comme le dit Arnie Gundersen, ingénieur en chef en matière de nucléaire, la quantité de radioactivité relâchée par Fukushima est en train de battre des records dans l’histoire du nucléaire. lien
Quant à Alain de Halleux, lequel a réalisé le documentaire « comprendre le Monde, Tchernobyl 25 ans après », il brosse un tableau apocalyptique de la situation, expliquant en 10 points les raisons de son constat lucide.
Du manque de prises électriques pour assurer la maintenance des centrales, aux 300 milliards minimum que vont couter les démantèlements des 19 centrales françaises, en passant par le danger issu de la prolongation de la vie de ces centrales, le constat est cruel. lien
Pourtant les médias gardent à leur une la Porsche de DSK, (lien) et le cadavre repêché du vol de l’AF447. lien
Que faudra-t-il encore pour que les instances internationales, au nom de la sécurité mondiale, viennent enfin investir ce site et décident d’éradiquer de la surface de la Planète l’énergie nucléaire, avant que ce ne soit elle qui ne nous éradique ?
Car comme dit mon vieil ami africain :
« Quand il y a de la fumée, c’est que le feu n’est pas loin ».
Source: article de
http://www.agoravox.fr/actualites/environnement/article/ca-fume-a-fukushima-93598
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20110509.REU9251/la-centrale-nucleaire-japonaise-de-hamaoka-va-etre-arretee.html
Ça fume à Fukushima !
Alors que, jour après jour, la terre ne cesse de trembler au Japon, le 7 mai, le feu a manifestement pris à Fukushima, dans une indifférence provisoirement générale.
Dans 2 jours, 2 mois se seront écoulés depuis la catastrophe, et il faut toute la persévérance des internautes pour grappiller ici ou là des informations sur ce qui se passe sur le site nucléaire dévasté au Japon et dans le monde.
La pollution radioactive est, rappelons le, inodore et invisible, et force est de constater qu’elle est en constante augmentation dans le Monde. lien
En effet on constate des pics au Bangladesh, au Botswana, sur la cote Est des Etats Unis, dans le Golfe du Mexique, et que des tremblements de terre viennent d’avoir lieu enCalifornie, en Grèce, en Nouvelle Zélande en Alaska, et bien sur au Japon.
Aux dernières nouvelles, à part l’épisode très médiatisé relatant une incursion rapide dans les locaux mêmes de la centrale, menée par 12 employés de Tepco, (lien) on ne pouvait que constater l’accroissement de la radioactivité dans un environnement de plus en plus large.
Les autorités ont décidé de modifier la norme de dangerosité passant de 100 mSv à 250 mSv, oubliant un peu trop vite que la norme n’empêche pas le danger.
Pire, pour les enfants japonais, le seuil de radiation admissible a été multiplié par 20. lien
Il y a quelques jours, il était question d’un délai de 3 à 6 mois pour refroidir totalement les réacteurs, mais le 5 mai, le délai était repoussé à 9 mois.
Récemment, on pouvait constater le peu de pouvoir qu’a le gouvernement japonais, face au pouvoir nucléaire, car Naoto Kan, le premier ministre japonais ayant décidé la fermeture du site de Hamaoka, s’est vu opposer une fin de non recevoir de la part des autorités nucléaires. lien
En effet, ces derniers ont déclaré qu’il n’était pas question de fermer cette centrale, et souhaitait que le premier ministre réfléchisse un peu plus profondément avant de prendre une telle décision. lien
Les instances nucléaires ont donc considéré que la décision du premier ministre japonais n’était qu’une recommandation, et rien de plus. lien
En fin de compte, seulement 2 réacteurs seraient arrêtés dans cette centrale.
Et puis Fukushima semble vouloir faire des petits : le 6 mai 2011, un dysfonctionnement a été repéré dans le système de refroidissement de la plus grande centrale nucléaire japonaise, celle de Kashiwazaki-Kariwa. lien
Le 7 mai 2011, le réacteur 2 de la centrale de Tsuruga a été fermé suite à de très fortes suites de xénon 133, d’iode 131 et 133 dans le système de refroidissement. lien
Les manifestations se suivent et se ressemblent et les plus surprenantes sont celles qui se déroulent au Japon, pays dont on disait que le peuple était soumis, et obéissant à ses dirigeants. lien
La démission du professeur Toshiso Kosako, conseiller scientifique du premier ministre japonais, lequel en larmes, déclarant que « le gouvernement n’avait pas été rigoureux dans l’application des lois et des règlementations », ajoute la confusion à la fusion des cœurs des réacteurs. lien
Même la Turquie s’y met, et se prend à rêver d’un monde sans nucléaire. lien
Pour la CRIIRAD, depuis le 11 avril dernier, les risques de radiation (contamination à l’iode 131) en France, provenant de Fukushima ne sont plus négligeables. lien
Coté des autres centrales nucléaires de la planète, ça ne s’arrange pas en Bulgarie, ou des fissures viennent d’apparaitre dans les gaines de protection d’un réacteur nucléaire àKozlodoui, et les exploitants affirment qu’aucun relâchement intempestif de radioactivité n’aurait eut lieu. lien
Plus au Nord, en Russie, le réacteur nucléaire d’un sous-marin s’est mis à fuir et les autorités se veulent rassurantes, assurant qu’il n’y a eu qu’une « faible augmentation de la radioactivité de l’air ». lien
En France, le petit président, droit dans ses bottes continue de défendre aveuglement un nucléaire malgré l’opposition de plus en plus forte des citoyens, et malgré l’avertissement de taille que vient de donner le directeur général de l’IRSN, Jacques Repussard : « il faut accepter de se préparer à des situations complètement inimaginables parce que ce qui nous menace le plus, ce n’est pas un accident « standard (…) il peut être lié à des effets dominos avec d’autres installations voisines, des aléas naturels ou des actes de malveillance (…) personne ne peut garantir qu’il n’y aura jamais d’accident nucléaires en France ». lien.
C’est aussi ce qu’écrit un haut responsable d’EDF qui, dans un livre, « vers un Tchernobyl Français ? », (éditions du Nouveau monde) affirme qu’une catastrophe peut éclater à tout moment dans les centrales nucléaires françaises soit à cause d’inondations, d’incendies, de séisme ou d’attentats, ajoutant que l’état des lieux du parc nucléaire est alarmant, et que la vigilance sur le parc nucléaire baisse de jour en jour. lien
Bernard Laponche, docteur es-sciences en physique des réacteurs nucléaires, et expert en politiques de l’énergie, a enfoncé le clou en affirmant que « le nucléaire est une technologie du passé sans avenir ». lien
Hervé Kempf ne dit pas autre chose expliquant que « Fukushima n’est que l’aboutissement d’une série annonciatrice ». lien
Sur ce lien, la longue liste des 30 ans d’accidents et de mensonges survenus à la centrale de Fukushima.
Aujourd’hui, il est convenu d’accepter que Fukushima à d’ores et déjà détrôné Tchernobyl, qui avait pourtant contaminé 40% de l’Europe.
En effet, c’est ce qu’affirme Helen Caldicott, experte médicale Australienne en nucléaire.
Elle confirme qu’il y a bien eu 1 million de morts à Tchernobyl, et ajoute que jamais auparavant, 6 réacteurs nucléaires n’ont été gravement endommagés au même moment.lien
Ceux qui affirment à tort que le nucléaire est indispensable ne devraient pas oublier que les veilles de nos appareils domestiques consomment l’équivalent de deux tranches nucléaires, ainsi que l’affirme Olivier Sidler, directeur du cabinet Enertech, lequel est spécialisé dans les questions énergétiques, (lien) et qu’un programme national de réhabilitation des habitations et des entreprises en matière d’isolation ferait économiser le1/5ème de notre consommation.
Récemment le 2 mai, nous avions appris que le cœur des trois réacteurs de Fukushimaavait totalement fondu. lien
C’est ce qu’a affirmé Michio Ishikawa, de l’institut japonais de technologie nucléaire sur cette vidéo.
Et le 7 mai, de la fumée s’est mis à sortir de Fukushima, laissant présager que l’un des réacteurs est en feu.
Une vidéo de 3 minutes est sur ce lien.
Le 8 mai, une série de photos ne laisse aucun doute sur ce qui est en train de se passer.lien
Comme le dit Arnie Gundersen, ingénieur en chef en matière de nucléaire, la quantité de radioactivité relâchée par Fukushima est en train de battre des records dans l’histoire du nucléaire. lien
Quant à Alain de Halleux, lequel a réalisé le documentaire « comprendre le Monde, Tchernobyl 25 ans après », il brosse un tableau apocalyptique de la situation, expliquant en 10 points les raisons de son constat lucide.
Du manque de prises électriques pour assurer la maintenance des centrales, aux 300 milliards minimum que vont couter les démantèlements des 19 centrales françaises, en passant par le danger issu de la prolongation de la vie de ces centrales, le constat est cruel. lien
Pourtant les médias gardent à leur une la Porsche de DSK, (lien) et le cadavre repêché du vol de l’AF447. lien
Que faudra-t-il encore pour que les instances internationales, au nom de la sécurité mondiale, viennent enfin investir ce site et décident d’éradiquer de la surface de la Planète l’énergie nucléaire, avant que ce ne soit elle qui ne nous éradique ?
Car comme dit mon vieil ami africain :
« Quand il y a de la fumée, c’est que le feu n’est pas loin ».
Source: article de
http://www.agoravox.fr/actualites/environnement/article/ca-fume-a-fukushima-93598
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/
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