lundi 20 juin 2011

17 PERSONNALITÉS PROCHES DU PR. GBAGBO RELÂCHÉES. VOICI LEURS NOMS:

17 proches du président Gbagbo, récemment en résidence surveillée à l'hotel pergola de marcory, viennent d'être autorisés à sortir et se rendre à leurs domiciles. Pour quelles raisons, les explications restent pour le moment flou.

Ils sont 17 ex-détenus à pouvoir désormais respirer l’air frais de la liberté. Dix-sept personnalités des trente cinq du régime du président Gbagbo, assignées à résidence à l’hôtel la Pergola d’Abidjan Marcory, ont en effet été libérées le vendredi 17 juin dernier, selon des sources bien introduites, qui nous ont fait parvenir leurs noms que voici:



Il s’agit entre autres des ministres Amani N’Guessan Michel, et Danon Djédjé Sébastien, de la présidente de l’organisation des femmes du Front populaire ivoirien, Marie Odette Lorougnon, de la secrétaire particulière du président Gbagbo, Obodou Marcelline, de l’ex-présidente du conseil d’administration du Fonds de régulation et de contrôle du café cacao (Frcc), Angeline Kili, de la N°2 de l’organisation des femmes patriotes Mme Yéyéri Valerie, de Mme Kacou Rolande, membre du cabinet de Mme Gbagbo.



D’autres personnes proches du président qui bénéficiaient d’une relative liberté, notamment Sam l’africain, Koné Largaton et Kima Emile peuvent désormais rentrer chez eux. A ces quelques noms s’ajoute celui de Yanon Yapo, ministre de la Justice dans le gouvernement de Laurent Gbagbo avant le coup d'Etat du 11 avril 2011. Ce dernier a été libéré pour cause de maladie. Nos sources indiquent qu’en dehors de Yanon Yapo, tous les autres membres de l’ancien gouvernement Aké Ngbo, notamment les ministres Alcide Djédjé, Dalo Désiré, Kata Kéké, qui sont à la Pergola, s’y trouvent toujours, attendant d’être situés sur leur sort.



Parmi les personnes qui ont été autorisées à se rendre chez elles, on peut aussi citer Gnamien Léonce Chantal et Yasmine Magoné, toutes deux journalistes stagiaires, Ahipaud Djékou Bertine, évangéliste prophétesse, Djolo Bi Za, pasteur, Dorothée Djakoré (membre de la cellule de prières) et Vanié Bi Tiékoura Michel, un agent de la compagnie ivoirienne d'électricité, qui avait été accusé à tort par le camp ouattara d'avoir volontairement interrompu le courant à l'hotel du golf.

Quels sont les motifs de la libération de ces 17 personnes ? Seront-elles poursuivies devant la justice ou alors aucune charge n’est retenue contre elles ?



Motus et bouche cousue. Aucune explication ne leur aurait été donnée. Des sources, celles-là diplomatiques, expliquent cependant cette sortie de « prison » des collaborateurs du président Laurent Gbagbo, serait due à des pressions extérieures exercées sur le régime Ouattara.

Sources: autres presses

Par thruthway

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