jeudi 22 décembre 2011

PERIODES, LIEUX ET FAITS DES CRIMES ET GENOCIDES COMMIS PAR LES FORCES DU DUO OUATTARA - SORO



Publié par Notre voie n° 4009 du 15 décembre 2011
 Crimes commis par les forces du duo Ouattara- Soro 

PERIODE ALLANT DU 18 SEPTEMBRE 2002 A L’ELECTION PRESIDENTIELLE DE NOVEMBRE 2010

 https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0NnIMtrIneBsh1WdT0PpIqmvWoyOXKaZctusccEpSrbfYIToHQCrGzGGWcsbYLDPQdQ2WM3zfd32wwUtiFEmaoNR-I5EgxmSUZhYut1iMVYSUafgOjrO_G_Ntog1RsK4sXIYwRNRY6rF3/s640/du%25C3%25A9kou%25C3%25A9.png

FAITS CONSTITUTIFS DE :  GENOCIDE    (Art. 5 et  6  DU STATUT DE ROME
                               DE LA COUR  PENALE INTERNATIONALE)





Période & LIEU
       FAITS
      CIRCONSTANCES DE   
        PERPETRATION
         AUTEURS




A Compter d’octobre 2002 Novembre 2002 ( OUEST DE C.I.)
 MAN, TOULEPLEU, BLOLEQUIN, BANGOLO




ASSASSINAT  MASSIF DES MEMBRES DU GROUPE  WE

Dès qu’ils prirent pied dans les localités désignées  ci-contre, les rebelles et des mercenaires libériens et sierra léonais se livrèrent à des massacres des populations wê plus particulièrement dans les villes de Kouibly, Toulepleu, Bangolo, le village de Dah... Ainsi certains corps étaient jetés dans des puits tandis que d’autres dans des rivières.  Aussi, apparait-il extrêmement difficile d’avoir une idée exacte du nombre de personnes assassinées. Toutefois, quoi qu’indéterminé, le nombre de tués est effarant au regard du nombre de villages entièrement rasés, donnant ainsi une idée de l’ampleur du désastre.  ( Voir rapports  Enquêtes  Commission internationale sur la guerre en C.I., Human Right watch, Amnesty International &  Fédération Nationale des victimes de la guerre en C.I. regroupant 27 Associations)







Les  rebelles du MPIGO &  MJP,
démembrements du MPCI, appuyés
 par les supplétifs  sierra léonais,
 libériens, burkinabé, malien, guinéens.


      FAITS CONSTITUTIFS DE :  CRIMES  CONTRE L’HUMANITE ( Art. 5 et 7  DU
STATUT DE ROME DE LA COUR  PENALE INTERNATIONALE)


Période & LIEU
       FAITS
      CIRCONSTANCES DE   
            PERPETRATION
         AUTEURS


DU 18 AU 19/09/2002 A ABIDJAN


ASSASSINAT DU MINISTRE BOGA DOUDOU
Aux environs de 4 h du matin du 19 septembre 2002, des rebelles puissants armés prenaient d’assaut la résidence du Ministre BOGA DOUDOU Emile. Aussi, était-il froidement abattu de plusieurs coups  d’armes lourdes, alors même qu’il avait pu trouver refuge dans la cour de son voisin en en escaladant la clôture. ( Voir rapports  Enquêtes  Commission internationale sur la guerre en C.I., Human Right Watch &  Fédération Nationale des victimes de la guerre en C.I. regroupant 27 Associations)


Un groupe d’assaillants
 membres du MPCI
de SORO Guillaume




A BOUAKE DU 18 SEPTEMBRE AU 6/10/2002


ASSASSINAT DE MILITAIRES ET GENDARMES DESARMES AINSI QUE LES MEMBRES DE LEURS FAMILLES

Les bases militaires de Bouaké ayant été concomitamment attaquées  avec celles d’Abidjan et Korhogo, des militaires et gendarmes étaient froidement  tués lorsque  plusieurs étaient faits prisonniers avec leurs enfants de sexe masculin.
Parmi les militaires assassinés aux premières heures de l’attaque figurait le colonel DAGROU LOULA. Il avait été tué à son domicile de plusieurs balles tirées dans le dos.
 Les gendarmes arrêtés avec leurs enfants étaient tous  gardés dans des cellules de cette base militaire. Mais finalement, 131 d’entre eux
sinon tous, à savoir 61 gendarmes + 61 enfants et 07 autres personnes  étaient  exécutés dans leurs cellules.

Mais pour tenter de masquer ces crimes odieux, les rebelles  transportaient les corps des victimes  à bord des camions, et les enterraient sommairement dans deux (02) fosses  comunes au cimetière du quartier DARES-SALAM.
Par ailleurs, les danseuses traditionnelles d’Adjanou  ressortissantes du département de Sakassou étaient également torturées avant d’être  assassinées à leur tour. ( Voir rapports  Enquêtes  Commission internationale sur la guerre en C.I., Human Right Watch, Amnesty Interntional &  Fédération Nationale des victimes de la guerre en C.I. regroupant 27 Associations)






Les rebelles du MPCI
 dirigé par SORO Guillaume






A KORHOGO DU 18 SEPTEMBRE
A JUIN 2004





ASSASSINATS  DE MILITAIRES DESARMES, ET DES CIVILS

A la suite des affrontements entre factions rebelles, des charniers étaient découverts dans la ville de Korhogo. L’un de ces charniers contenait  99 corps. La plupart  des corps étaient nus.  Il ressort des constatations sur ces corps des amputations de membres des victimes étaient constatées. D’autres corps avaient  les mains attachées dans le dos. Au total, on dénombrait 31 corps par armes à feu, 02 par armes blanches et 66 par asphyxie dans des conteneurs placés au soleil à la Compagnie Territoriale de KORHOGO  (C.T.K). ( Voir rapports  Enquêtes  Commission internationale sur la guerre en C.I., Amnesty International, Human Right Watch &  Fédération Nationale des victimes de la guere en C.I. regroupant 27 Associations)



Ces crimes sont l’œuvre
des rebelles du MPCI
de SORO Guillaume,
 et plus précisément,
de ceux de la Compagnie
Territoriale de Korhogo
 dirigée par KOUAKOU
 FOFIE


Novembre 2002 ( OUEST DE C.I.)
 MAN, TOULEPLEU, BLOLEQUIN, BANGOLO

ASSASSINATS MASSIFS DE POPULATIONS CIVILES

Courant novembre 2002, les villes, villages et campements des localités de l’Ouest mentionnées ci-contre étaient assiégés par des individus armés, parlant majoritairement l’anglais et le malinké. Ceux-ci  assassinaient systématiquement  plusieurs  personnes du groupe wê, à savoir les guéré et wobé.  Les crimes étaient tantôt réalisés par l’incendie de cases où les victimes étaient regroupées, tantôt par armes blanches ou à feu. Ici, les  motivations avouées des assassins furent  politiques et  foncières. ( Voir rapports  Enquêtes  Commission internationale sur la guerre en C.I, Amnesty International., Human Right Watch &  Fédération Nationale des victimes de la guerre en C.I. regroupant 27 Associations)

Les rebelles du MPCI de
 SORO Guillaume et
 de ses démembrements,
le  MPIGO & le MJP,
 appuyés par leurs
 mercenaires sierra
Léonais, libériens,
burkinabé, maliens
 et guinéens.



 FAITS CONSTITUTIFS DE : CRIMES DE GUERRE ( Art. 5 et 8 DU STATUT DE
ROME DE LA COUR PENALE INTERNATIONALE)



Période & LIEU
       FAITS
 CIRCONSTANCES DE   
    PERPETRATION
         AUTEURS









A BOUAKE DU 18 SEPTEMBRE AU 6/10/2002



ASSASSINATS  DE MILITAIRES ET GENDARMES DESARMES, CASSE DE LA BCEAO, EXPLOITATION  FRAUDULEUSE DES PLANTATIONS DE TECK APPARTENENANT A L’ETAT DE C.I., VOL DES ATTRIBUTS ROYAUX A  SAKASSO, PILLAGES ET VOLS DES BIENS MEUBLES, VEHICULES, MOTO ET AUTRES BIENS PERSONNELS  DES AGENTS DE L’ETAT EN SERVICE DANS LA LOCALITE.

Après l’attaque surprise de toutes les bases militaires de Bouaké dans la nuit du 18 au 19 septembre 2002, plusieurs militaires, gendarmes, policiers et autres éléments des forces de l’ordre et de sécurité étaient assassinés dont le colonel DAGROU LOULA, tué à son domicile de plusieurs balles tirées dans le dos.
Par la suite, les rebelles  procédaient à l’arrestation de plusieurs militaires et notamment gendarmes  et les membres de leurs familles de sexe masculin, qu’ils emprisonnaient dans des cellules de la base militaires.  Ces personnes étaient  privées d’aliments et d’eau pendant plusieurs jours avant d’être finalement  exécutées   froidement dans leurs cellules.
Les corps étaient par la suite transportés dans des camions et enterrés sommairement dans deux (02) fosses communes au cimetière de DAR-ES-SALAM. ( Voir rapports  Enquêtes  Commission internationale sur la guerre en C.I.,Amnesty International,  Human Right Watch &  Fédération Nationale des victimes de la guerre en C.I. regroupant 27 Associations)













Les rebelles du MPCI de SORO
 Guillaume




A KORHOGO DU 18 SEPTEMBRE
A JUIN 2004



ASSASSINAT DE MILITAIRES DESARMES, PILLAGES, VOL DES BIENS ABANDONNES PAR  DES CIVILS POURCHASSES

L’assaut lancé par les rebelles contre les sites militaires de Korhogo, dans la nuit du 18 au 19 septembre 2002,  se soldait par l’assassinat systématique de plusieurs militaires et autres forces de sécurité en service dans la ville.

Les biens personnels de ces victimes et ceux abandonnés par les agents de l’Etat chassés de toutes les villes du Nord, étaient emportés  par les rebelles. ( Voir rapports  Enquêtes  Commission internationale sur la guerre en C.I., Amnesty International, Human Right Watch &  Fédération Nationale des victimes de la guerre en C.I. regroupant 27 Associations)






LES REBELLES DU MPCI
 de SORO GUILLAUME  SOUS LE COMMANDEMENT
 DE KOUAKOU FOFIE
DU MPCI


Novembre 2002 ( OUEST DE C.I.)
 MAN, TOULEPLEU, BLOLEQUIN, BANGOLO

Viols, traitements cruels et inhumains, pillages de villes et villages, expulsion forcée des populations, enrôlement de mineurs, casse BCEAO, exploitation frauduleuse de mines d’or, café, cacao et bois

 Au nombre des crimes crapuleux commis par les rebelles à l’Ouest de la Côte d’Ivoire figuraient en bonne place les viols et autres sévices sexuels. Après ces crimes, suivent les incendies de  quartiers entiers, des  villages et des campements dont la plupart ont disparu de la carte de C.I. C’est le lieu de relever la multitude de cas d’incestes que les rebelles ont voulu la perpétration afin que les intéressés aient  la vie sauve. C’est par exemple le cas d’un père qui, après avoir assisté à l’exécution,  par les rebelles, de ses enfants en compagnie desquels il fuyait, était  contraint de coucher avec sa propre fille en présence de la mère, sa femme. Apres l’acte, la mère, l’épouse donc,  est  atteinte de démence jusqu’à ce jour.

En outre, les rebelles s’étaient approprié les plantations de cacaoyers des paysans, de sorte qu’ils s’opposent à ce jour à leur retour sur leurs terres.

Il faut aussi relever la razzia  dont les infrastructures sanitaires et éducatives étaient l’objet. Certaines infrastructures étaient même incendiées après le vol des équipements.

Quant aux enfants soldats auxquels recouraient les rebelles, lesdits enfants soldats  sont visibles un peu  partout à Man et dans les autres localités.

Par ailleurs, à l’instar de l’Agence BCEAO de Bouaké, celle de Man était l’objet de braquage.
Enfin, tout le cacao et le café de la région étaient recueillis et vendus par les rebelles dans les pays limitrophes pour leurs comptes.
L’extraction frauduleuse de l’or relevait de l’une de leurs prérogatives. ( Voir rapports  Enquêtes  Commission internationale sur la guerre en C.I., Amnesty International, Human Right Watch &  Fédération Nationale des victimes de la guerre en C.I. regroupant 27 Associations)

Des mercenaires
 sierra Léonais, libériens,
burkinabé, maliens,
guinéens, supplétifs
 des factions rebelles
 MPCI, MPIGO & MJP


 PENDANT  ET  APRES L’ELECTION PRESIDENTIELLE DU 28 NOVEMBRE 2010

FAITS CONSTITUTIFS  DE : GENOCIDE (Art.  5 et 6 DU STATUT DE ROME
DE LA COUR PENALE INTERNATIONALE)



Période & LIEU
       FAITS
      CIRCONSTANCES DE   
        PERPETRATION
         AUTEURS




A Compter janvier 2011 A BANGOLO, DUEKOUE, GUIGLO, BLOLEQUIN, TAI, TOULEPLEU,




EXTERMINATION DES MEMBRES DU GROUPE    WE

Courant janvier 2011, invoquant l’implication
 d’un jeune guéré dans une attaque à mains armées dans laquelle avait péri une femme malinké, les ressortissants du Nord, appuyés par les burkinabé, les maliens, les guinéens et des rebelles en faction à Bangolo, faisaient une descente musclée dans le quartier  wê. On dénombrait  de nombreuses pertes en vies humaines. Plusieurs maisons des guéré  étaient incendiées  et  d’autres pillées. Les biens des victimes étaient emportés.

C’est dans ce contexte conflictuel que les rebelles, à l’occasion de la crise post-électorale, prenaient  pieds dans la quasi-totalité des localités de l’Ouest  vers la fin  du mois de mars 2011.
Aussi, accusant les populations wê, d’une part de soutenir le pouvoir GBAGBO, et d’autre part, d’exproprier les allogène,  assistait-on  à  des assassinats en règle des membres du  groupe ethnique guéré. Il importe de relever que les victimes étaient d’abord l’objet d’un contrôle identitaire méticuleux avant d’être exécutées. Ainsi, jeunes, vieux, valides ou malades d’ethnie guéré  étaient systématiquement  exécutés. Officiellement, l’on avait  annoncé le chiffre  800 au titre des wê assassinés. Mais la réalité est tout autre d’autant que des puits regorgeant encore de corps foisonnent dans la région. L’objectif poursuivi était manifestement d’exterminer les membres du groupe wê pour des raisons politiques et foncières. ( Voir rapports  Enquêtes  Amnisty International, le C.I.R, ONUCI, Human Right watch &  la national, nationale et internationale)





    FAITS CONSTITUTIFS DE : CRIMES  CONTRE L’HUMANITE (Art. 5 et  7 DU
STATUT DE ROME DE LA COUR PENALE INTERNATIONALE)



Période & LIEU
       FAITS
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            PERPETRATION
         AUTEURS












A Compter du 28 novembre 2010










ASSASSINAT MASSIF DES FORCES DE L’ORDRE, DES POPULATIONS CIVILES ET TRAITEMENTS HUMILIANTS ET DEGRADANTS

Exécutant le mot d’ordre de Messieurs Alassane OUATTARA et GUILLAUME SORO tendant à l’installation aux forceps d’ un nouveau Directeur Général à la RTI, les rebelles transformés  à l’occasion en forces républicaines, s’attaquaient aux institutions et aux populations civiles faisant ainsi  plusieurs blessés graves  et des pertes en vies humaines.

C’est dans cette logique qu’une faction des forces républicaines s’érigeait en commando dit invisible et s’établissait à Abobo où ses éléments surprenaient  chaque nuit les patrouilles des  policiers pour en  assassiner  plusieurs dizaines. Le même commando dit invisible  faisait irruption nuitamment dans le village  Ebrié d’ANONKOI  à Abobo, et y sémait la désolation en assassinant plusieurs dizaines de villageois surpris dans leur sommeil dont certains par le feu.  Des maisons étaient incendiées. Plusieurs disparitions de villageois étaient signalées.

Dans la même foulée,  l’antenne de la RTI à Abobo était attaquée et plusieurs personnes civiles commises à la surveillance des lieux étaient surprises dans leurs  tâches, ligotées et brûlées vives.

Après l’arrestation du Président GBAGBO le 11 avril 2011, les Forces Républicaines de Mr ALASSANE OUATTARA soumettaient  cette Haute personnalité ayant assuré les destinées de la nation ivoirienne pendant plus de 10 ans, son épouse et plusieurs hautes autorités du pays à des traitements dégradants et humiliants.

S’en était suivi des tueries  systématiques et massives de nombreux jeunes, motif principalement  pris  de leur appartenance au clan GBAGBO, tout d’abord,  dans le quartier d’Anono à Cocody. Ils étaient également accusés d’être des étudiants-miliciens de la FESCI.

Ensuite, les autres quartiers étaient pris d’assaut à la recherche de soi-disant miliciens de GBAGBO.

Enfin, c’est dans le quartier de Yopougon où vivent majoritairement les ressortissants de l’Ouest et, de notoriété publique l’électorat de GBAGBO que des massacres des populations civiles  ont été massivement perpétrés.  Une telle situation a occasionné un exode massif des membres de certains groupes ethniques qui ont trouvé  refuge dans les pays frontaliers comme l’ont d’ailleurs attesté plusieurs  rapports des Organisations Internationales des Droits de l’Homme, tels HWR, les médias internationaux et des  O.N.G. nationales tel le  MIDH

Le traitement particulier subi par le Premier Ministre AFFI N’guessan , GBAGBO Michel et les autres pendant leur  détention à Bouna, et dont les images ont fait le tour du monde, ne peut s’analyser autrement que comme  humiliant et dégradant. ( Voir rapports  Enquêtes  Commission internationale sur la guerre en C.I., Amnesty International, Human Right Watch et la presse nationale et internationale )






       LES FORCES
 REPUBLICAINES
 DE    
    COTE D’IVOIRE






FAITS CONSTITUTIFS DE : CRIMES  DE GUERRE (Art. 5 et 8 DU STATUT DE
ROME DE LA COUR PENALE INTERNATIONALE)

Période & LIEU
       FAITS
 CIRCONSTANCES DE   
    PERPETRATION
         AUTEURS

APRES LE 11 AVRIL 2011 DANS TOUTES LES LOCALITES NE FAISANT PAS L’OBJET D’OCCUPATION DE LA REBELLION DEPUIS SEPTEMBRE 2002



Homicide intentionnel, torture ou traitement inhumain , viols. Destruction et appropriation des biens non justifiées, déclaration qu’il ne sera pas fait de quartier. Atteinte à la dignité. Privation délibérée des populations ivoiriennes de médicaments pharmaceutiques. Attaque de la résidence du Président de la République alors qu’elle ne fait pas un objectif militaire
Pillages  des villes, villages, campements, vols des biens de toutes natures, occupations illégales des maisons et résidences .


Après un largage suivi de bombes sur la résidence du Président de la République,  le Ministre TAGRO Désiré, alors Secrétaire Général de la Présidence au moment des faits était chargé de notifier la reddition. Mais alors qu’il se présentait aux forces républicaines pour accomplir cette mission, celles-ci l’abattaient  à vue.

 Ensuite, il est ensuite établi que lesdites forces avaient soumis toutes les personnes trouvées en compagnie du Président GBAGBO, y compris le Président lui-même, à des traitements dégradants et inhumains comme l’attestent éloquemment leurs images ayant fait le tour du monde.

Plusieurs destructions de résidences étaient enregistrées sur l’ensemble du territoire, notamment au détriment des personnes soupçonnées proches du Président GBAGBO. La résidence du Président de la République dans son propre village n’avait point  échappé à ces agissements extrêmement dommageables.

La résidence de la Première dame à Grand-Bassam, celle du Premier Ministre Pascal AFFI N’GUESSAN n’avaient pas non plus échappé à ces destructions et pillages.

Au motif qu’en privant les populations de médicaments pharmaceutiques, il parviendrait à bout  de son adversaire, Monsieur Alassane OUATTARA  n’avait pas hésité à exiger l’interdiction de la livraison de produits pharmaceutiques aux populations ivoiriennes  depuis le mois de février jusqu’en avril 2011.
Il est tout aussi constant que toutes les villes ,  tous les villages et campements,  naguère inoccupés par la rébellion de 2002, étaient pris d’assaut par les FRCI  courant mars 2011, ce, à la demande de Monsieur Alassane OUATTARA. Dans ces localités, ces forces tuent,  violent les femmes et mineure. Elles  rançonnent les populations, elles volent et les exproprient.

Le compte rendu quotidien de la  presse internationale et  surtout nationale l’atteste à suffisance. Plusieurs plaintes des victimes corroborent également cette triste réalité. ( Voir rapports  Enquêtes  Commission internationale sur la guerre en C.I Amnesty International, Human Right watch, la presse nationale et internationale et  ONUCI)




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