le 29 mars 2011 à 17h59, mis à jour le 29 mars 2011 à 18:09
Le commandant de l'Alliance atlantique en Europe explique que les services de renseignements font état de "signes" d'une présence du réseau terroriste parmi le Conseil national de transition.
Depuis le début de l'insurrection en Libye, Mouammar Kadhafi accuse Al-Qaïda et Oussama ben Laden. Il a ainsi affirmé à plusieurs reprises que le réseau terroriste manipule les insurgés. Ce mardi, James Stavridis, le commandant des forces de l'Otan en Europe, a en partie confirmé ces affirmations.
Lors d'une audition devant le Sénat américain, il a en effet expliqué que des informations du renseignement évoquaient les signes d'une présence d'Al Qaïda, voire du Hezbollah libanais, parmi l'opposition libyenne. Il a néanmoins tempéré en soulignant qu'il ne disposait pas "de détails suffisants" pour dire si cette présence était "significative ou non".
James Stavridis a également expliqué que la coalition internationale continuait d'examiner de près la composition de la rébellion. Il a précisé que la direction du Conseil national de transition, en place àBenghazi et reconnu pour l'instant par la France et le Qatar, semblait être composée "d'hommes et de femmes responsables".
Depuis le début de l'insurrection en Libye, Mouammar Kadhafi accuse Al-Qaïda et Oussama ben Laden. Il a ainsi affirmé à plusieurs reprises que le réseau terroriste manipule les insurgés. Ce mardi, James Stavridis, le commandant des forces de l'Otan en Europe, a en partie confirmé ces affirmations.
Lors d'une audition devant le Sénat américain, il a en effet expliqué que des informations du renseignement évoquaient les signes d'une présence d'Al Qaïda, voire du Hezbollah libanais, parmi l'opposition libyenne. Il a néanmoins tempéré en soulignant qu'il ne disposait pas "de détails suffisants" pour dire si cette présence était "significative ou non".
James Stavridis a également expliqué que la coalition internationale continuait d'examiner de près la composition de la rébellion. Il a précisé que la direction du Conseil national de transition, en place àBenghazi et reconnu pour l'instant par la France et le Qatar, semblait être composée "d'hommes et de femmes responsables".
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