mardi 29 novembre 2011

Déclaration devant notaire de Tara Potter des Forces Spéciales de l’Armée Américaine.

Déclaration devant notaire de Tara Potter des Forces Spéciales de l’Armée Américaine.
Traduction de Rudy Andria
Le 13 août 2009
À qui de droit
En 1977 et 1978, j’ai été mandatée avec une équipe des Forces Spéciales De L’armée Américaine, apparemment pour abattre le régime sanguinaire d’Idi Amin. Nous avons perdu l’élément surprise, et ainsi, nous n’avons pas réalisé cette partie de notre mission. Durant notre séjour, il nous fut également demandé de distribuer un “nouveau vaccin miracle de sauvetage”.



Nos supérieurs étaient vagues en ce qui concerne la maladie ou les maladies que ce vaccin devait prévenir. Le protocole final consistait à vacciner un petit groupe de personnes, puis attendre 48 heures pour observer toute contre-réaction, avant de procéder à une vaste distribution du vaccin.
En toute bonne foi et persuadés que le vaccin était sans risque, nous avions vacciné l’intégralité de notre groupe, donc, j’y étais incluse. Passées 48 heures, en l’espace de deux jours, je crois que nous avions eu entre 2000 à 3000 personnes de vaccinées. Dix-huit mois après la distribution du vaccin, nous avions découvert que 85 % des personnes vaccinées étaient mortes d’une nouvelle maladie terrifiante qui sera vite dénommée sous le sigle SIDA. La majorité des personnes blanches de notre groupe sont devenues séropositives, mais survivent encore , à l’heure actuelle.
J’ai l’intime conviction que la CIA a atteint son but déclaré (dans les documents classés secrets, mais divulgués plus tard) de créer un pathogène mortel , surtout pour les gens de couleur. Nous estimons, par ailleurs, que la CIA a utilisé notre équipe, sans notre consentement, comme un pion sur l’échiquier dans un effroyable acte de génocide contre le peuple innocent de l’Afrique.
Je jure solennellement que la présente déclaration est véridique et exacte pour autant que je sache, et je suis disposée à assumer la responsabilité de l’exactitude de ces déclarations, sous peine de parjure, devant un tribunal, devant le Congrès, aux Nations Unies ou devant un tribunal international. Il s’agit d’un crime de lèse humanité d’une ampleur inimaginable et je demande que justice soit faite.
Tara Potter
alias Ariel Felice Phillips
alias Suzanne Campbell


+ Signature de Diane K. Hendrickson, Notaire, Minnesota.
17 Août 2009



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