mardi 29 novembre 2011

Prisonniers politiques d’ADO: Le Dr Blé Christophe, médecin particulier de Gbagbo, est revenu auprès de lui comme si de rien n’était !

Dr Blé Christophe, medécin particulier de Laurent Gbagbo.

Le 29 novembre 2011 par IVOIREBUSINESS - Pourquoi l’ont-ils mis au vert, hors d’atteinte de son patron Laurent Gbagbo, quelque part dans un conteneur du com’zone barbu Fofié Kouakou, à la compagnie territoriale de Korhogo, la fameuse CTK, qui jusque-là échappe à tout contrôle.
La question n’a pas encore fini de foutre le bordel ! Et la réponse hors d’atteinte.
Ce que l’on sait, c’est que la mise au vert du Dr Blé Christophe n’est pas l’œuvre d’éléments incontrôlés de la CTK, mais plutôt de la frange sous contrôle des FRCI qui y sont en poste.
Ce qui a mis la puce aux oreilles des pro-Gbagbo qui ont flairé bon le fillon, mais pas le François de la primature gaulloise. Un mauvais coup contre Laurent Gbagbo était en préparation. Une « source très crédible » vendit la mêche à votre quotidien favori, qui a son tour la fit tournoyer en boucle sur la toile, à la façon d’une roulette de casino. Et ce fit le Buzz !!!

Des coups de fils par milliers crépitèrent de tous les coins et recoins du monde vers la Côte d’Ivoire. Le gouvernement reçu une bonne part et fit sommé de s’expliquer. L’Onuci chargé de veiller à la tranquillité de Gbagbo et de son médecin Blé reçu un bon paquet de ces appels gênants et reçu l’ordre de tirer l’affaire au clair.
Les FRCI, les geôliers du couple Gbagbo-Blé furent les plus questionnés. Fofié failli se raser et perdre son poste.
Résultats des courses, le Dr Blé Christophe revint trouver le Président Gbagbo, comme si de rien n’était. Aucune explication ne fut donnée aux chancelleries occidentales, ni au peuple ivoirien, ni à la presse. Qui fut sommée de s’en tenir aux faits, « sans en dire mot ».
Cette consigne ne fut pas respectée par votre quotidien préféré, qui en fit des choux gras.
C’est la raison pour laquelle le Dr Blé est revenu dimanche nuit auprès de Gbagbo, comme si de rien n’était, comme s’il avait fait une ballade de santé.
La vérité, c’est qu’un mauvais coup se tramait contre Gbagbo.
Le pire avec un assassinat ourdi par certains faucons tapis dans l’ombre dans un nuage aveuglant. Ou un transfèrement clandestin à la cours pénale internationale (CPI).

Mireille Kouamé

Source : Ivoirebusiness

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